Quillebeuf-sur-Seine

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Quillebeuf-sur-Seine
Quillebeuf-sur-Seine
L'église Notre-Dame-de-Bonport,
Logo monument historique Classé MH (1862).
Blason de Quillebeuf-sur-Seine
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Eure
Arrondissement Bernay
Intercommunalité Communauté de communes de Pont-Audemer / Val de Risle
Maire
Mandat
Carine Boquet
2020-2026
Code postal 27680
Code commune 27485
Démographie
Gentilé Quillebois
Population
municipale
816 hab. (2021 en diminution de 12,35 % par rapport à 2015)
Densité 81 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 28′ 22″ nord, 0° 31′ 37″ est
Altitude Min. 0 m
Max. 23 m
Superficie 10,11 km2
Type Commune rurale et littorale
Aire d'attraction Le Havre
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bourg-Achard
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Quillebeuf-sur-Seine (/kilbəsyʁsɛn/) est une commune française située dans le département de l'Eure, en région Normandie.

Ses habitants sont les Quillebois.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Quillebeuf-sur-Seine est une commune du Nord-Ouest du département de l'Eure située au sein du parc naturel régional des Boucles de la Seine normande.

Localisée sur la rive gauche de la Seine, la commune est un ancien port.

Un bac (le dernier avant l'estuaire) relie son passage d'eau à celui de la commune de Lillebonne (Port-Jérôme), dans la Seine-Maritime.

Les marins de Quillebeuf avaient[Quand ?], avec ceux de Caudebec-en-Caux, le monopole du pilotage des navires de mer remontant la Seine jusqu'à Rouen.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[3]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat contrasté des collines », correspondant au Pays d’Auge, Lieuvin et Roumois, moins directement soumis aux flux océaniques et connaissant toutefois des précipitations assez marquées en raison des reliefs collinaires qui favorisent leur formation[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 838 mm, avec 13,1 jours de précipitations en janvier et 8,3 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Petiville à 5 km à vol d'oiseau[5], est de 12 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 844,9 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Quillebeuf-sur-Seine est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction du Havre, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 116 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[12],[13].

La commune, bordée par l'estuaire de la Seine, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[14]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (79,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (58,6 %), prairies (21,6 %), eaux continentales[Note 3] (15,1 %), zones urbanisées (4,7 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Quillebeuf au XVIIe siècle.

Le nom de la localité est attesté sous les formes Quelibos en 1018 (charte de Richard II); Cheliboey ou Cheliboy en 1025, ainsi que Chilebo, Chilebue et Chileboi en 1170[18]; Kilebue en 1235; Quileboium et Kileboium en 1258 (cartulaire de Jumiéges), Kilebuf en 1197 (cartulaire de Bonport) ; Kilebof en 1203 ; Kileboë en 1238 (Barabé) ; Quilleboues en 1392 (aveu de Richart, évêque de Dol) ; Quillebeuf sur Seine en 1450 (charte de Charles VII), Quitbœuf en 1631 (Tassin, Plans et profilz) ; Qvillebæve en 1648 (Chastillon, Topogr. française) ; Quilbeuf en 1704 (Th. Corneille) ; Quidebeuf en 1781 (Berey, Carte particul. du dioc. de Rouen) ; Quillebeuf-sur-Seine en 1810 (ann. de l’Eure)[19].

Henri IV, vers 1592, lui donna le nom Henricarville ou Henriqueville qui n’a pas survécu à son règne[19].

François de Beaurepaire a inclus Quillebeuf dans la série des toponymes en -beuf issu du vieux norrois bóð (both) « baraque », sans toutefois donner d'explication à l'élément Quille- qu'il considère comme obscur[18]. Il écrit, en outre, que les formes anciennes semblent « suspectes ». Or elles peuvent très bien s'expliquer par l'évolution romane régulière du vieux norrois boði « rocher à fleur d'eau ».
Le vieux norrois boði a bien été identifié comme second élément du rocher Quillebœuf (au large de Gatteville-le-Phare, Manche), lieu où se sont produit de nombreux naufrages[Note 4]. On ignore la nature du lien qui unit ce toponyme à Quillebeuf, au bord de la Seine, mais l'endroit était réputé également dangereux, à cause du rétrécissement de la Seine après le coude qu'elle forme et l'augmentation de la vitesse du courant. Il est encore visible aujourd'hui malgré l'aménagement du fleuve à l'époque moderne.

Jean Renaud a vu dans le premier élément Quille-, le vieux norrois kelda « source »[20], or, les formes anciennes devrait être en Quelde-, Kelde- > Queude- et il n'y a pas de source à Quillebeuf. En revanche, Quille- est peut-être le même que le mot quille en français, issu du vieux norrois kilir « quilles » (au pluriel), [r] s'étant régulièrement amuï devant une autre consonne. Certains spécialistes, comme René Lepelley, y voient plutôt le vieux norrois kill « long bras de mer, crique étroite, estuaire », pour d'autres « passage, chenal »[21]. On peut en déduire qu'il a pu être utilisé au sens de « passage étroit dans la Seine ». Le sens global est donc celui de « rocher des quilles » ou « rocher du chenal », surnom d'un rocher ou écueil qui jadis effleurait à marée basse. La principale objection se trouve dans la nature des formes les plus anciennes qui montrent qu'on avait initialement Keli- qui a évolué en Kile-. À noter que l'on dit traditionnellement « kilbeu ».

Quillebeuf se situe sur la rive gauche de la Seine. Jusqu'aux aménagements du XXe siècle, Quillebeuf formait une petite péninsule entourée à l'ouest et à l'est par la Seine[Carte 1].

Histoire[modifier | modifier le code]

Dessin de Christophe Tassin, 1634, bibliothèque Carnegie (Reims).

Le port d'étape particulièrement important de Quillebeuf, l'un des deux avec celui de Caudebec, entre Rouen et la mer, appartenait depuis 1027 à l'abbaye de Jumièges qui y prélevait des droits sur les navires amarrés aux quais[22].

Henri IV en fit une place forte et donna aux habitants l'exclusivité du pilotage. Les fortifications furent démantelées en 1621[23].

Le , naufrage du brick Télémaque qui d'après une tradition non confirmée (par l'archéologie et la recherche documentaire) aurait transporté les trésors des abbayes de Jumièges et Boscherville ainsi que les joyaux de la couronne[24].

En 1910, Quillebeuf prend le nom de Quillebeuf-sur-Seine.

À la fin de la bataille de Normandie, fin août 1944, Quillebeuf est un des lieux de franchissement de la Seine par les troupes allemandes ayant réussi à s'extraire de la poche de Falaise. Tandis que les arrière-gardes allemandes ralentissent les Alliés sur la Risle, plusieurs milliers de soldats allemands traversent le fleuve à bord d'un bac, qui sera coulé le , et d'embarcations de fortune. Le , les Belges de la brigade Piron franchissent la Risle à Pont-Audemer et prennent Quillebeuf le lendemain, .

Héraldique[modifier | modifier le code]

Armes de

Ces armes peuvent se blasonner ainsi aujourd’hui :

de gueules au bœuf d'or surmonté de trois fleurs de lys du même.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1977 mars 2014 Ladislas Poniatowski UDF-PR
puis UMP
Cadre
Député de l'Eure (1986 → 1998)
Sénateur de l'Eure (1998 → 2020)
Conseiller général de Quillebeuf-sur-Seine (1981 → 2015)
mars 2014 En cours Alain Tessier LREMRE Consultant et formateur

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[26].

En 2021, la commune comptait 816 habitants[Note 5], en diminution de 12,35 % par rapport à 2015 (Eure : −0,5 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 1371 1371 2051 4671 3441 3661 4471 6271 698
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 5721 4491 4411 3721 4021 4141 5011 3181 217
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 2651 1029187146657137799361 080
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1 0871 2451 2011 1001 0441 0111 0181 022948
2018 2021 - - - - - - -
839816-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Dans la littérature[modifier | modifier le code]

« Puis il traita la question des bancs de sable de la Seine, qui se déplacent à chaque marée et mettent en défaut les pilotes de Quilleboeuf eux-mêmes, s'ils ne font pas tous les jours le parcours du chenal. »

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Quillebeuf, embouchure de la Seine par Joseph Mallord William Turner (1833).

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Le terme dialectal de la Hague boue ou bau « rocher lointain dégagé par la marée basse » procède de boði. On le retrouve dans la Grande Boue, rocher au large de Sulvy à Saint-Germain-des-Vaux et dans les différents le Bau nom de plusieurs rochers au large de la Hague.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. a et b IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Géoportail (IGN), couche « Communes 2016 » activée ».
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  5. « Orthodromie entre Quillebeuf-sur-Seine et Petiville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Petiville » (commune de Petiville) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Petiville » (commune de Petiville) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
  15. « La loi littoral »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. a et b François de Beaurepaire, Les noms des communes et des anciennes paroisses de l'Eure, Picard, 1985, p. 163.
  19. a et b Ernest Poret de Blosseville, Dictionnaire topographique du département de l’Eure, Paris, , p. 178.
  20. Jean Renaud, Vikings et Noms de lieux de Normandie : Dictionnaire des toponymes d'origine scandinave en Normandie, Collection Mots et Noms de Normandie, Orep éditions, p. 87.
  21. Ibid., p. 33.
  22. Anne-Marie Flambard Héricher (préf. Vincent Juhel), Le château de Vatteville et son environnement, de la résidence comtale au manoir de chasse royal, XIe – XVIe siècle, vol. Mémoire de la Société des antiquaires de Normandie, t. XLVIII, Caen, Société des antiquaires de Normandie, , 393 p. (ISBN 978-2-919026-27-2), p. 98.
  23. Bernard Beck, Châteaux forts de Normandie, Rennes, Ouest-France, , 158 p. (ISBN 2-85882-479-7), p. 92.
  24. INA : Le trésor du Télémaque.
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. Notice no PA00099527.
  30. Notice no IA00018886.
  31. Gilles Henry, Promenades littéraires en Normandie, Condé-sur-Noireau, C. Corlet, , 213 p., 27 cm (ISBN 2-85480-516-X et 978-2-85480-516-1, OCLC 36104323, BNF 35804179, lire en ligne), « Nous entrons en Seine... Maritime », p. 173.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]