Port-Mort

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Port-Mort
Port-Mort
La mairie.
Blason de Port-Mort
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Eure
Arrondissement Les Andelys
Intercommunalité CA Seine Normandie Agglomération
Maire
Mandat
Gilles Auloy
2022-2026
Code postal 27940
Code commune 27473
Démographie
Gentilé Port Mortais
Population
municipale
897 hab. (2021 en diminution de 4,17 % par rapport à 2015)
Densité 74 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 09′ 55″ nord, 1° 24′ 57″ est
Altitude Min. 8 m
Max. 138 m
Superficie 12,17 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Andelys
Législatives 5e circonscription de l'Eure
Localisation
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Port-Mort
Liens
Site web https://www.port-mort.com/

Port-Mort est une commune française située dans le département de l'Eure, en région Normandie.

Ses habitants sont appelés les Pormortais.

Géographie[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

Vue générale vers la Seine et l'écluse.

Port-Mort est située dans la vallée de la Seine.

L'île Besac[1] est partagée entre Port-Mort et Saint-Pierre-la-Garenne.

La commune est desservie par l'ancienne route nationale 313 (actuelle RD 313) sur l'axe Vernon - Les Andelys, tandis que la RD 10 traverse la commune, sur le tronçon commun à la RD 313, entre Courcelles-sur-Seine et Hennezis.

Une liaison piétonnière et cyclable au niveau de l'écluse Notre-Dame-de-la-Garenne[2] a vocation à rouvrir dans le courant de l'année 2017.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est limité au sud-ouest par le cours de la Seine

La commune partage avec Saint-Pierre-la-Garenne l'écluse Notre-Dame-de-la-Garenne en bord de Seine.

La centrale électrique Hydrowatt, dotée de quatre turbines, produit de l'électricité depuis 1988. Elle alimente entre autres — gratuitement — l'école de Port-Mort[4].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Sud-ouest du bassin Parisien » et « Côtes de la Manche orientale »[6]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat des plateaux abrités », correspondant aux plaines agricoles de l’Eure, avec une pluviométrie beaucoup plus faible que dans la plaine de Caen en raison du double effet d’abri provoqué par les collines du Bocage normand et par celles qui s’étendent sur un axe du Pays d'Auge au Perche[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 729 mm, avec 11,7 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Muids à 10 km à vol d'oiseau[8], est de 12,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 609,1 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Port-Mort est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[12],[13],[14].

Par ailleurs, la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (45,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (45,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (43 %), terres arables (28,9 %), zones urbanisées (7,8 %), zones agricoles hétérogènes (7,6 %), eaux continentales[Note 3] (6,7 %), prairies (3,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,5 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 450, alors qu'il était de 436 en 2013 et de 431 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 87,1 % étaient des résidences principales, 8,2 % des résidences secondaires et 4,7 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 98,2 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 1,8 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Port-Mort en 2018 en comparaison avec celle de l'Eure et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (8,2 %) supérieure à celle du département (6,3 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 91,1 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (92 % en 2013), contre 65,3 % pour l'Eure et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Port-Mort en 2018.
Typologie Port-Mort [I 1] Eure[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 87,1 85,4 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 8,2 6,3 9,7
Logements vacants (en %) 4,7 8,3 8,2

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Portus Maurus en 690[18], Port mort vers 1060, Porcus Mortuus (cartulaire de la Trinité-du-Mont) ou Portus Mortuus en 1075[19]; Pormor en 1130 (Vie de St Adjutor) ; Purmor en 1200 (Roger de Hoveden)[20] ; Portmort en 1793[21]; Pormort en 1801.

La première forme ne s'applique peut-être pas à Port-Mort, toujours est-il qu'il s'agit d'une formation toponymique médiévale en Port- (du type de Port-Saint-Ouen, à environ 40 km) désignant un port en Seine, la formule inverse influencée par le germanique ou l'ancien scandinave est représentée par Vatteport (Vatteville, à environ 20 km) également situé en bord de Seine.

L'élément -Mort représente peut-être le nom de personne Maur (latinisé en Maurus dans les textes rédigés en latin médiéval. Voir aussi saint Maur)[19], le dérivé Morin, fréquent comme patronyme, se retrouve dans Port-Morin à Tosny, presque en face. Le même type de formation toponymique basé sur un anthroponyme et l'appellatif port se retrouve dans Vatteport, dont l'élément Vatte- désigne vraisemblablement le même personnage que dans Vatteville situé à côté.

Cependant, il peut aussi s'agir de l'adjectif mort comme l'indiquent des formes anciennes plus régulières et la forme actuelle, dans ce cas, Port-Mort aurait le sens global de « port aux eaux dormantes »[19].

Histoire[modifier | modifier le code]

Le menhir de Port-Mort, mieux connu sous l'appellation « gravier de Gargantua », se trouve sur l'ancienne route nationale 313 (actuelle RD 313) à l'entrée du village sur la gauche en venant de Gaillon ou des Andelys.

Le château de la Roque, hameau de Châteauneuf[22] ou Château-Neuf (dont une tour demeure à titre de vestige) a été érigé par le duc-roi Richard Cœur de Lion, après la perte d'autres châteaux sur la frontières de l'Epte et dans le Vexin normand[23].

Comme suite immédiate du traité du Goulet, Louis VIII de France (surnommé Le Lion) épouse Blanche de Castille le . Son père Philippe Auguste étant frappé d'excommunication, le mariage ne pouvait être célébré en royaume de France.

Le fief au roi de Port-Mort releva de l'abbaye de Mortemer entre 1319[24] et le XVIIIe siècle.

En 2004, l'ancien presbytère est réaménagé et devient la nouvelle mairie de Port-Mort[25].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement des Andelys du département de l'Eure.

Elle faisait partie depuis 1793 du canton des Andelys[26]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton des Andelys

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la cinquième circonscription de l'Eure.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Port-Mort était membre de la communauté de communes des Andelys et de ses environs, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2002 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté d'agglomération dénommée Seine Normandie Agglomération dont est désormais membre la commune.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
septembre 1974 mai 1989 Serge Chrétien[27]   Comptable
    Picard[réf. nécessaire]    
mai 1995 mars 2014[28] Guillemette Alquier   Présidence[pas clair] CCAE (2003 → 2008)
mars 2014[29] janvier 2022 Christian Lordi   Démissionnaire
mars 2022[30] En cours
(au 2 décembre 2020)
Gilles Auloy    

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[32].

En 2021, la commune comptait 897 habitants[Note 4], en diminution de 4,17 % par rapport à 2015 (Eure : −0,5 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
665698669684680661640614587
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
542488484450450538480443440
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
433414412383357352323383425
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
4414315636728398201 008951936
2021 - - - - - - - -
897--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Le menhir dit Gravier de Gargantua.
  • Le menhir de Port-Mort, dit « gravier de Gargantua », classé au titre des monuments historiques par arrêté du [34]. Il se trouve sur la D 313 à l'entrée ouest du village, sur la gauche en venant de Gaillon ou des Andelys.
  • La butte de Château-Neuf. Elle domine par un abrupt de 40 mètres la Seine, dont un des bras, jusqu'à une époque récente, en bordait quasiment le pied. L'ouvrage fortifié[35], dont il reste les soubassements du donjon, est construit en 1198 pour Richard Cœur de Lion. C'est en l'église Saint-Martin de Château-Neuf[36], aujourd'hui détruite, qu'est célébré le mariage entre le prince Louis et Blanche de Castille, le [37].
  • Le tombeau de saint Ethbin[38], de la fin du XIXe siècle, à proximité de la rive droite de la Seine, érigé à l'emplacement d'un ancien dolmen.
  • La proximité de l'architecte Jean-Jacques Lequeu (1757-1826) et de Marie-Alexandre-Gabriel Jubert, comte de Bouville (1756-1793) vaut le dessin [2] d'un Temple du Silence[39] réalisé par ce premier en 1788. Sa mention surprenante figure à l'inventaire général du patrimoine culturel[40],[41].
  • Le château de Port-Mort des XVIIe et XVIIIe siècles[42], ayant appartenu à la famille Jubert de Bouville.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Les familles Jubert et Croismare sont établies à Port-Mort. Elles sont citées entre les années 1540 et années 1790[44]
  • André Castelot (1911-2004), écrivain, historien et journaliste, vit à Port-Mort jusqu'à sa mort.
  • Jacques Castelot (1914-1989), frère du précédent, acteur.
  • Famille Hatt : Jacques et Yvonne Hatt, les parents de l'archéologue Jean-Jacques Hatt, se sont attachés à la villa dite ingénieur Schmid (Henri Alfred Schmid, 1851-1920), du nom du père de Mme Yvonne Hatt (°1888), ingénieur qui a supervisé les travaux de construction du barrage sur la Seine entre 1879 et 1889 et s'est ainsi épris de Port-Mort.
  • Françoise Bourdin (1952-2022), romancière, y a vécu.
  • Géori Boué, artiste lyrique, mère de Françoise Bourdin, (1918-2017) y a vécu.
  • Eugène Pujol (1876-1946), ingénieur A&M / directeur d'entreprise, Accomplissement à Nice, la grue Applevage n°14, construit par la société parisienne Applevage en 1937, est installée sur le port Lympia à Nice, il a été l'un des ingénieurs et inventeur de système de levage (dont les déplacements de grue sur rail, les crochets de levage et bien d'autres systèmes pour la société Applevage) Elle est classée monument historique par arrêté du 27 mars 2000 et obtient le label ½ Patrimoine XXe siècle, le et décédera à Port-Mort dans sa seconde résidence[45].
  • Louis Joseph Marchand (1848-1928), instituteur, secrétaire de mairie, instituteur de Port-Mort durant de nombreuses années, par son éminent dévouement pour la commune, il est fait chevalier des Palmes académiques par le recteur académique de l'Eure, et quelques années par monsieur le maire de Port-Mort, il reçoit la médaille de la commune 14 juillet 1890 en reconnaissance de l'instruction des enfants de Port-Mort ; à sa mort, il fut inhumé dans le caveau familial au cimetière communal[45].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Port-Mort Blason
Écartelé : au 1er de gueules à deux léopards d'or l'un au-dessus de l'autre, au 2e d'or au cep de vigne au naturel fruité de gueules, au 3e d'or à la nef de sable habillée de gueules voguant sur trois burelles ondées et alésées d'azur, au 4e d'azur à trois fleurs de lis d'or.
Détails
Les deux léopards d'or sur champ de gueules rappellent les armes de la Normandie.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Chiffres clés - Logement en 2018 à Port-Mort » (consulté le ).
  2. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Port-Mort - Section LOG T2 » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Port-Mort - Section LOG T7 » (consulté le ).
  4. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Eure » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. ZNIEFF 230030978 - L'île Besac sur le site de l’INPN..
  2. « Accord entre le Département de l'Eure, VNF et l'Etat » [archive du ] [PDF], sur eure-en-ligne.fr, .
  3. « Géoportail (IGN), couche « Communes 2016 » activée ».
  4. « À la découverte de la centrale électrique Hydrowatt installée à Port-Mort dans l'Eure : Les adhérents de l'Association de Sauvegarde du Site de Port-Mort ont été invités à découvrir les infrastructures de la centrale électrique Hydrowatt, installée à Port-Mort (Eure) », L'Impartial,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  8. « Orthodromie entre Port-Mort et Muids », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Muids » (commune de Muids) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Muids » (commune de Muids) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  12. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. Portus Maurus en dans une charte de Vandemir (à la fin du règne de Thierry III), rapporté par Charpillon et Caresme op. cit..
  19. a b et c François de Beaurepaire (préf. Marcel Baudot), Les Noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, Paris, A. et J. Picard, , 221 p. (ISBN 2-7084-0067-3, OCLC 9675154), p. 160-161.
  20. Ernest Poret de Blosseville, Dictionnaire topographique du département de l’Eure, Paris, , p. 173
  21. Sur la carte de Cassini, éditée en 1757.
  22. https://carmen.developpement-durable.gouv.fr/IHM/metadata/HN/Publication/donneesnature/donneessi27000048.pdf
  23. En ligne sur Gallica [1].
  24. Décision de Philippe V le Long. Le roi cède à l'abbaye de Lyons le passage de la Garenne.
  25. Christian Lordi, « Nouvelle mairie : la date de l'emménagement apoproche », Le Journal de Port-Mort, no 27,‎ , p. 7 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
  26. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. Réélu pour le mandat 1983-1989 : Gilles Auloy, « 37 ans d'infos », Le Journal de Port-Mort, no 78,‎ , p. 1 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
  28. Jean-Paul Gosselin, « Le dernier budget du conseil communautaire fait l’unanimité : Lundi soir dernier s’est tenu le dernier Conseil communautaire de la mandature. L’occasion aussi pour Guy Burette, le président, de saluer les maires qui ne se représentent pas », L'Impartial,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  29. Jean-Paul Gosselin, « Port-Mort : Christian Lordi nouveau maire », L'Impartial,‎ (lire en ligne, consulté le ) « L’adjoint sortant succède à Guillemette Alquier, qui après trois mandats ne se représentait pas ».
  30. Guillaume Voisenet, « Gilles Auloy est le nouveau maire de Port-Mort : Après l'élection municipale complémentaire, le Conseil municipal de Port-Mort s'est réuni samedi 26 mars pour élire le maire et ses adjoints », L'Impartial,‎ (lire en ligne) « Le seul à se présenter était Gilles Auloy. Il a été élu avec 14 voix sur 15 ».
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. « Menhir dit Gravier de Gargantua », notice no PA00099522.
  35. « Château fort », notice no IA00017601.
  36. « Église Paroissiale Saint-Martin », notice no IA00017605.
  37. Gérard Sivéry, Blanche de Castille, Fayard, , p. 11.
  38. « Le tombeau de Saint Ethbin », sur Le site de la commune de Port-Mort (consulté le ).
  39. Les Grandes galeries européennes XVIIe – XIXe siècles, Claire Constans, Mathieu da Vinha, Les Editions de la MSH, 23 sept. 2010 - 429 pages.
  40. « Temple du Silence », notice no IA00019001.
  41. Résumé sur les dessins cy-joints pour le recueil des châteaux et maisons de campagne de Mr Krafft : Temple du Silence élevé à Port-Mort pour le comte de Bouville.
  42. « Château au lieu-dit Château-Neuf », notice no IA00017599.
  43. « Les restes du château de la Roque à Châteauneuf », sur Carmen - L'application cartographique au service des données environnementales (consulté le ).
  44. Charpillon et Caresme op. cit..
  45. a et b « Je vous parle avec mon cœur », sur Lulu (consulté le ).