Neaufles-Saint-Martin

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Neaufles-Saint-Martin
Neaufles-Saint-Martin
Blason de Neaufles-Saint-Martin
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Eure
Arrondissement Les Andelys
Intercommunalité CC du Vexin Normand
Maire
Mandat
Sonia Lacas
2023-2026
Code postal 27830
Code commune 27426
Démographie
Gentilé Neaufléens
Population
municipale
1 324 hab. (2021 en augmentation de 7,82 % par rapport à 2015)
Densité 146 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 16′ 41″ nord, 1° 43′ 26″ est
Altitude Min. 41 m
Max. 101 m
Superficie 9,07 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Gisors
Législatives 5e circonscription de l'Eure
Localisation
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Liens
Site web Site de la commune

Neaufles-Saint-Martin est une commune française située dans le département de l'Eure, en région Normandie.

Géographie[modifier | modifier le code]

Neaufles-Saint-Martin est un bourg du Vexin normand dans l'Eure, limitrophe du département de l'Oise, jouxtant Gisors et situé à 37 km à vol d'oiseau au nord-ouest de Pontoise, 24 [km à l'est des Andelys49 km au sud-est de Rouen] et 32 km au sud-ouest de Beauvais.

Le sentier de grande randonnée GR 125 traverse la commune.

Localisation[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Bernouville, Bézu-Saint-Éloi, Dangu, Gisors et Courcelles-lès-Gisors.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le sud du territoire communal est limité par l'Epte et ses zones humides et étangs.

La Lévrière traverse la commune du nord au sud, avant de confluer dans l'Epte. Celle-ci est l'un des affluents de la Seine.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[2]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat des plateaux abrités », correspondant aux plaines agricoles de l’Eure, avec une pluviométrie beaucoup plus faible que dans la plaine de Caen en raison du double effet d’abri provoqué par les collines du Bocage normand et par celles qui s’étendent sur un axe du Pays d'Auge au Perche[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 723 mm, avec 11,6 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Étrépagny à 9 km à vol d'oiseau[4], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 774,0 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Neaufles-Saint-Martin est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (78,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (80,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (51,9 %), prairies (17,9 %), zones urbanisées (9,8 %), zones agricoles hétérogènes (8,5 %), eaux continentales[Note 3] (6,9 %), forêts (5 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 600, alors qu'il était de 555 en 2013 et de 552 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 87,4 % étaient des résidences principales, 7,4 % des résidences secondaires et 5,2 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 98,2 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 1,5 % des appartements[I 1].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Neaufles-Saint-Martin en 2018 en comparaison avec celle de l'Eure et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (7,4 %) supérieure à celle du département (6,3 %) mais inférieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 91,9 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (90,3 % en 2013), contre 65,3 % pour l'Eure et 57,5 % pour la France entière[I 2].

Le logement à Neaufles-Saint-Martin en 2018.
Typologie Neaufles-Saint-Martin[I 1] Eure[I 3] France entière[I 4]
Résidences principales (en %) 87,4 85,4 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 7,4 6,3 9,7
Logements vacants (en %) 5,2 8,3 8,2

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie, en 2023, par la ligne 609 du réseau interurbain de l'Oise[14] et par les lignes 208 et 210 du réseau Nomad Car 27[15],[16].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Nelpha en 855 (lettre d’Hincmar à Charles le Chauve), Clevilla quæ dicitur Nialfa vers 860 (charte de Charles le Chauve), Nialfa en 872, Nielfam en 1028 - 1033[17], Nielfa en 1096 (charte du duc Robert), Neelfa en 1150 (Hist. de France, t. XII, p. 187), Neaflia en 1160 (Robert du Mont), Neheelpha en 1191 (La Roque), Nefle en 1193 (Roger de Hoveden), Nealpha en 1196 (traité d’Issoudun), Nealfa et Neelfa en 1214 (feoda Normanniæ), Castrum Nealphitum en 1384 (Denyau, Rothomagensis cathedra), Neauffle en 1453 (archives nationales)[18].

Neauphle est un type toponymique commun au nord ouest de la France. Il apparaît sous différentes formes recensées par Albert Dauzat et Charles Rostaing : Neauphle (Île-de-France), Neaufles (Eure), Neauphe (Basse-Normandie), Niafles (Mayenne)[19]. Il est issu des termes germaniques niuwe, nivi « neuf, nouveau »[17] (vieux saxon, vieux haut allemand niuwi, vieil anglais nēowe, moyen néerlandais nie(uwe) « neuf, nouveau ») et * alah « temple, santuaire »[17] (cf. gotique ahls, vieux haut-allemand alah, moyen haut-allemand alah), d'où un type *Niwialah signifiant « nouveau temple, nouveau sanctuaire ».

La graphie avec f permet de distinguer les Neaufles de l’Eure des Neauphle de l’Île-de-France dans le département voisin des Yvelines qui ont en revanche une graphie hellénisante ph.

Saint-Martin est un hagionyme, l'église est dédiée à Martin de Tours.

Histoire[modifier | modifier le code]

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

En 856, Charles le Chauve réunit à Neaufles les grands du royaume afin d'organiser une riposte aux attaques des Vikings. Le château était alors déjà existant, probablement en bois.

Neaufles est située au bord de la Levrière (affluent de l'Epte, rivière choisie en 911 dans le traité de Saint-Clair-sur-Epte comme limite de la Normandie). Ces nouvelles frontières font de Neaufles une place stratégique dans l'organisation des défenses, l'Epte voyant progressivement ses rives se couvrir de châteaux (neufs ou reconstruits)…

Du nord au sud :

Le château est ainsi reconstruit en 1097 par Robert de Bellême, pour Guillaume le Roux, en calcaire et silex.

Lorsqu'à l'issue de la troisième croisade, Richard Cœur de Lion est retenu prisonnier par l'empereur du Saint-Empire romain germanique Henri VI, l'occasion apparaît trop belle pour le souverain français, qui, en 1193, se rend maître de la place[20].

En 1196, la signature du traité de Gaillon donne Gisors et le Vexin normand à la couronne de France. C'est ensuite sous le règne d'Henri IV que le château de Neaufles est démantelé.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement des Andelys du département de l'Eure.

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Gisors[21]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton de Gisors porté de 18 à 34 communes.

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la cinquième circonscription de l'Eure.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Neaufles-Saint-Martin était membre de la communauté de communes Gisors-Epte-Lévrière, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2004 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec sa voisine pour former, le , la communauté de communes du Vexin Normand, dont est désormais membre la commune.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[réf. nécessaire]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
    Pierre Ambroise Singeot   Propriétaire
         
vers 1840 après 1897 Abel Marie Le Père   inspecteur des forêts en retraite[22]
propriétaire du château de Grainville,
fils de Jacques-Marie Le Père
         
2001 2008 Bernard Laidier    
mars 2008 juin 2023[23] Jean-Pierre Fondrille SE Employé
Démissionnaire
juin 2023[24] En cours
(au 25 juin 2023)
Sonia Lacas    

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

En 2022, l'école de scolarise 115 enfants[25]

Postes et télécommunications[modifier | modifier le code]

En 2023, la commune dispose d'un bureau de poste[26].

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[28].

En 2021, la commune comptait 1 324 habitants[Note 4], en augmentation de 7,82 % par rapport à 2015 (Eure : −0,5 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
617656892820914903977942898
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
849837762740717736754863863
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
895874865786841788653656693
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
6446047998039311 0351 1441 1591 193
2017 2021 - - - - - - -
1 2941 324-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Croix percée

Neaufles-Saint-Martin compte deux édifices inscrits au titre des monuments historiques :

Par ailleurs, la commune compte sur son territoire plusieurs monuments inscrits à l'inventaire général du patrimoine culturel :

  • ancienne église Saint-Pierre (XIVe et XVIIIe)[33] ; convertie en école, c'est au XXIe siècle une habitation de caractère, ayant conservé son clocher ;
  • l'église Saint-Martin (XIe, XIIe, XIVe et XVIIIe)[34] ;
  • un château des XVIIIe, XIXe et XXe siècles[35] ;
  • un château probablement du XVIIe siècle au lieu-dit Grainville[36] ;
  • une maison du XVIIIe siècle[37].

On peut également signaler :

  • Un moulin du XIIe siècle. Situé sur les bords de la Levrière, ce moulin fait l'objet d'un important projet de rénovation mené par le propriétaire du site et par le collectif des Amis du Moulin de Neaufles-Saint-Martin. Trois objectifs sont visés : produire à nouveau de l'énergie électrique pour une puissance de 40 kW, faire de l'édifice une vitrine de l'ancienne usine Vitrex et créer un espace d'accueil pour les entreprises[38].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Neaufles-Saint-Martin dans les arts et la culture[modifier | modifier le code]

Camille Pissaro : Neaufles-Saint-Martin près de Gisors (1885).

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Neaufles-Saint-Martin Blason
Parti au 1) de gueules à la croix percée du lieu de type celtique d'or, au 2) de sable à la tour ronde du lieu d'or ajourée du champ posée sur une terrasse cousue d'azur ; le tout sommé d'un chef d'azur chargé de trois fleurs de lys d'or rangées surmontées d'un lambel d'argent.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  4. « Orthodromie entre Neaufles-Saint-Martin et Étrépagny », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Etrepagny » (commune d'Étrépagny) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Etrepagny » (commune d'Étrépagny) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. « Transports en commun à Neaufles-Saint-Martin », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  15. « Fiche horaires de la ligne 208 » [PDF], sur nomad.normandie.fr, (consulté le ).
  16. « Fiche horaires de la ligne 210 » [PDF], sur nomad.normandie.fr, (consulté le ).
  17. a b et c François de Beaurepaire (préf. Marcel Baudot), Les Noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, Paris, A. et J. Picard, , 221 p. (ISBN 2-7084-0067-3, OCLC 9675154), p. 149.
  18. Ernest Poret de Blosseville, Dictionnaire topographique du département de l’Eure, Paris, , p. 153.
  19. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, éditions Larousse 1968 (réédition Guénégaud 1979).
  20. Anne-Marie Flambard Héricher (préf. Vincent Juhel), Le château de Vatteville et son environnement, de la résidence comtale au manoir de chasse royal, XIe – XVIe siècle, vol. Mémoire de la Société des antiquaires de Normandie, t. XLVIII, Caen, Société des antiquaires de Normandie, , 393 p. (ISBN 978-2-919026-27-2), p. 59.
  21. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. « Liste générale des membres de la société d'économie sociale et des unions de la paix sociale au  », La Réforme sociale, t. III,‎ , p. 10-45 (lire en ligne, consulté le ).
  23. Matthieu Le Tirant, « Près de Gisors, ce maire démissionne : Après avoir été réélu maire de Neaufles-Saint-Martin en 2020 pour un troisième mandat, Jean-Pierre Fondrille a finalement choisi de jeter l'éponge trois ans plus tard, en mai 2023. », L'Impartial,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Élu pour la première fois en 2008, il avait entamé à un troisième mandat en 2020 ».
  24. « Neaufles-Saint-Martin a un nouveau maire : Après la démission de Jean-Pierre Fondrille, les élus de Neaufles-Saint-Martin (Eure) ont désigné celle qui lui succède à la tête de la commune. », L'Impartial,‎ (lire en ligne, consulté le ) « C’est finalement Sonia Lacas qui a été élue dès le premier tour, et à la majorité absolue, sur le score de douze voix contre trois ».
  25. « Eure. Neaufles-Saint-Martin : après 31 ans de dévouement, la directrice de l'école a pris sa retraite : L'au-revoir était forcément marqué par une émotion vive. Joëlle Hatton a pris sa retraite après plusieurs décennies au service des élèves et des familles. », L'Impartial,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  26. « Vœux 2023 à Neaufles-Saint-Martin : la commune conservera sa poste : C'est une annonce saluée par les habitants de Neaufles-Saint-Martin. Le maire, Jean-Pierre Fondrille, a confirmé durant ses vœux le maintien d'un bureau de poste à la mairie », L'Impartial,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. « Croix percée », notice no PA00099496, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  31. « Château », notice no IA00017857, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  32. « Donjon du château », notice no PA00099495, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  33. « Église paroissiale Saint-Pierre », notice no IA00017862, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  34. « Église paroissiale Saint-Martin », notice no IA00017858, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  35. « Château », notice no IA00017860, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  36. « Château de Grainville », notice no IA00017859, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  37. « Maison », notice no IA00017861, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  38. « Le moulin de Neaufles-Saint-Martin dans l'Eure va-t-il reproduire de l'électricité ? », sur Actu.fr (consulté le ).