Les Adjots

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Les Adjots
Les Adjots
La mairie des Adjots.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Confolens
Intercommunalité Communauté de communes Val de Charente
Maire
Mandat
Alain Dunoyer
2020-2026
Code postal 16700
Code commune 16002
Démographie
Gentilé Adjotois
Population
municipale
529 hab. (2021 en augmentation de 0,19 % par rapport à 2015)
Densité 48 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 04′ 39″ nord, 0° 12′ 26″ est
Altitude Min. 120 m
Max. 168 m
Superficie 10,94 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Ruffec
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de la Charente-Nord
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Les Adjots

Les Adjots est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Ses habitants sont appelés les Adjotois et les Adjotoises.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation et accès[modifier | modifier le code]

Les Adjots est une commune située au nord du département de la Charente. Elle est à la fois limitrophe des départements voisins des Deux-Sèvres (au nord-ouest) et de la Vienne (au nord-est).

Traversée par la N 10 à l'ouest du village et la voie de chemin de fer à l'est, Les Adjots se trouvait sur la route de Paris à Bordeaux, comme l'atteste la planche 28 de l'Atlas de Trudaine[1].

Les routes départementales D 176 puis D 306 puis D 8 permettent de rejoindre Ruffec à 8,5 km au sud.

La ligne de chemin de fer Paris-Austerlitz à Bordeaux-Saint-Jean passe à la limite est de la commune. Ruffec est la gare la plus proche.

La N 10 permet aussi de rejoindre aussi Ruffec, et Angoulême la préfecture à 47 km au sud et Poitiers à 57 km au nord.

Hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Au nord-ouest du bourg des Adjots, Chez Branger est le hameau le plus important de la commune. Il est situé sur l'ancienne N10. Au nord du bourg on trouve aussi Chez Chagnaud et Chez Machet et au sud la Cour, les Robins et les Loges. Enfin au sud-ouest, le hameau de la Batarderie est séparé du reste de la commune par la N 10[2].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Géologiquement, la commune est dans le calcaire du Jurassique du Bassin aquitain, comme tout le Nord-Charente. Le Bathonien apparaît sur une petite zone à l'est du bourg, mais le plateau est toutefois recouvert par des altérites sous forme d'argile rouge à silex, et localement par de l'argile à pisolithes de fer au sud du bourg[3],[4],[5].

Le relief de la commune est celui d'un plateau d'une altitude moyenne de 140 m. Le point culminant est à une altitude de 168 m, situé sur la limite nord-ouest de la commune, dans le prolongement du horst de Montalembert.

Le point le plus bas est à 120 m, situé sur la limite sud-est (bois des Vallons). Du fait de la nature karstique du sol, on trouve aussi quelques dépressions et gouffres. Le bourg est à 127 m d'altitude[2].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier des Adjots.

La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[6]. Aucun cours d'eau permanent n'est répertorié sur la commune[7],[Carte 1].

Climat[modifier | modifier le code]

Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain, légèrement dégradé au nord du département aux abords du seuil du Poitou.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Les Adjots est une commune rurale[Note 1],[8]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Ruffec, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 30 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (69,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (54,5 %), forêts (26,7 %), zones agricoles hétérogènes (14,5 %), zones urbanisées (4,4 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune des Adjots est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[14]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[15].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux des Adjots.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 291 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 291 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[16],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[17].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[14].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[18].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Attesté sous la forme latinisée Adjotis en 1280[19], qui pourrait être « les ajoncs »[20]. Le mot bas-latin adjotum voulant dire : ajonc, terre couverte d'ajoncs[21].

La graphie actuelle s'explique par cette latinisation médiévale du mot vieux français ajou (XIIIe siècle) « ajonc », qui remonte en réalité à un prélatin *ajaugone > *ajon (d'où ajonc qui est graphié avec un c final par analogie avec jonc, issu du latin juncus) > ajou.

Il existe au moins deux variantes dialectales dans la région : ajaillon et jogue (forme féminine, issue de *ajauga) plus au sud.

Histoire[modifier | modifier le code]

Les photos aériennes montrent au lieu-dit le Tertre les marques d'une ancienne construction quadrangulaire d'origine indéterminée[1].

Aux XVIe et XVIIe siècles, Les Adjots étaient le siège d'une importante seigneurie qui appartenait à la famille d'Alloue, qui habitait au logis de la Bastarderie, situé en lisière de la forêt de Ruffec[22].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des Maires[modifier | modifier le code]

Créée en 1793, Les Adjots est passée de l'arrondissement d'Angoulême à l'arrondissement de Confolens le .

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1995 2008 Josette Pacton    
2008 2020 Francis Grimaud SE Retraité cadre Sécurité sociale
2020 En cours Alain Dunoyer    

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Élection présidentielle de 2002 (second tour)[modifier | modifier le code]

Inscrits : 344 - Abst. : 16,2 % - Jacques Chirac : 226 voix (83,70 %) - Jean-Marie Le Pen : 44 voix (16,30 %)

Élection présidentielle de 2007 (second tour)[modifier | modifier le code]

Inscrits : 309 - Abst. : 11,33 % - Ségolène Royal : 150 voix (56,82 %) - Nicolas Sarkozy : 114 voix (43,18 %)

Élection présidentielle de 2012 (second tour)[modifier | modifier le code]

Inscrits : 340 - Abst. : 14,71 % - François Hollande : 164 voix (63,08 %) - Nicolas Sarkozy : 96 voix (36,92 %)

(source : Ministère de l'Intérieur[réf. incomplète])

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[24].

En 2021, la commune comptait 529 habitants[Note 3], en augmentation de 0,19 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
661683646749896821864942879
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
810781744727690690695601593
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
580562520512502494469512513
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021
488515453448390440509529529
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Après avoir perdu 45 % de sa population de 1851 à 1921, les Adjots a stabilisé sa démographie entre 390 et 530 habitants.

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,3 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 26,1 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 275 hommes pour 247 femmes, soit un taux de 52,68 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,41 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[27]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,7 
90 ou +
0,8 
8,0 
75-89 ans
5,7 
19,0 
60-74 ans
17,8 
16,6 
45-59 ans
19,7 
19,0 
30-44 ans
20,2 
16,5 
15-29 ans
14,3 
20,1 
0-14 ans
21,6 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2020 en pourcentage[28]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,6 
75-89 ans
11,8 
20,3 
60-74 ans
20,9 
20,9 
45-59 ans
20,5 
16,8 
30-44 ans
16,1 
15,6 
15-29 ans
13,6 
16,4 
0-14 ans
14,5 

Économie[modifier | modifier le code]

Les Adjots est une commune agricole avec quelques artisans, tracto-services, maçons, peintre.

Au bourg se trouve une épicerie.

Équipements et services[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

L'école est un regroupement pédagogique intercommunal entre Les Adjots et Taizé-Aizie, qui accueillent chacune une école élémentaire[29].

Médico-social[modifier | modifier le code]

L'IME Marc-Signac se trouve à La Cour.

Autres services[modifier | modifier le code]

Ils sont tous à Ruffec à 8,5 km.

Vivre aux Adjots[modifier | modifier le code]

Sports[modifier | modifier le code]

Le club de foot est une entente entre Taizé-Aizie et les Adjots.

Fête communale et patronale[modifier | modifier le code]

La fête communale est à Pâques et la fête patronale le dimanche suivant le .

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église des Adjots.

L'église paroissiale Saint-Laurent était le siège d'une cure dont l'origine remonte au XIe siècle. Elle fut fondée et construite par l'abbaye de Nanteuil dont elle dépendait. Elle a été souvent remaniée, et restaurée au XIXe siècle[30].

La tour du Pavillon daterait du XVIIe siècle[31].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique des Adjots » sur Géoportail (consulté le 19 juin 2022).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Les Adjots », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture
  2. a et b Carte IGN sous Géoportail
  3. Carte du BRGM sous Géoportail
  4. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
  5. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Ruffec », sur Infoterre, (consulté le ).
  6. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  7. « Fiche communale des Adjots », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
  8. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a et b « Les risques près de chez moi - commune des Adjots », sur Géorisques (consulté le ).
  15. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  16. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  17. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune des Adjots », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  19. Henri Beauchet-Filleau, Pouillé historique du diocèse de Poitiers, t. III, Niort, Clouzot, , 574 p. (lire en ligne), p. 231.
  20. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 3.
  21. Charles du Fresne du Cange, Glossarium mediae et infimae latinitatis, Paris, Firmin Didot, (lire en ligne), p. 78
  22. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 36
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune des Adjots (16002) », (consulté le ).
  28. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
  29. Site de l'inspection d'académie
  30. Christian Gillet, Églises et chapelles de la Charente, imprimé à Rioux-Martin, Le vent se lève, , 387 p. (ISBN 978-2-7466-7404-2), p. 13
  31. Jean-Claude Vrillac, « Les grandes familles du Pays ruffécois - Les Adjots », sur cgcp.asso.fr, (consulté le ).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]