Igoville

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Igoville
Igoville
Le pont de l'Arche.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Eure
Arrondissement Les Andelys
Intercommunalité Communauté d'agglomération Seine-Eure
Maire
Mandat
Nathalie Breemeersch
2020-2026
Code postal 27460
Code commune 27348
Démographie
Gentilé Igovillais
Population
municipale
1 724 hab. (2021 en diminution de 1,03 % par rapport à 2015)
Densité 307 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 19′ 13″ nord, 1° 09′ 01″ est
Altitude Min. 6 m
Max. 97 m
Superficie 5,61 km2
Unité urbaine Rouen
(banlieue)
Aire d'attraction Rouen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Pont-de-l'Arche
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Liens
Site web Site officiel

Igoville est une commune française située dans le département de l'Eure en région Normandie. Ses habitants sont appelés les Igovillais.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune se trouve entre la rive droite de la Seine et à la limite du département de la Seine-Maritime. Elle occupe un territoire de 561 hectares, de forme rectangulaire.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est riveraine de la Seine.

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La ville est traversée par la ligne 390 du réseau Nomad et par la ligne P du réseau Semo.

Voies routières[modifier | modifier le code]

Igoville est reliée à Pont-de-l'Arche par le pont routier de la D 6015 qui traverse la Seine et l'Eure.

Transport ferroviaire[modifier | modifier le code]

La commune est traversée par la ligne ferroviaire de Paris à Rouen.

Elle est desservie par la gare de Pont-de-l'Arche.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[3]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat des plateaux abrités », correspondant aux plaines agricoles de l’Eure, avec une pluviométrie beaucoup plus faible que dans la plaine de Caen en raison du double effet d’abri provoqué par les collines du Bocage normand et par celles qui s’étendent sur un axe du Pays d'Auge au Perche[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 751 mm, avec 12,3 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Boos à 9 km à vol d'oiseau[5], est de 10,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 847,5 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Igoville est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Rouen, une agglomération inter-départementale regroupant 50 communes[12] et 467 575 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (39,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (47 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (36,7 %), forêts (18,5 %), zones urbanisées (18,3 %), eaux continentales[Note 3] (11,3 %), mines, décharges et chantiers (8,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,7 %), prairies (2,4 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Vigovilla vers 1240 (p. d’Eudes Rigaud), Ymgovilla en 1271, Ygouvilla en 1326, Ygoville (cartulaire de Bonport)[18] et sous sa forme actuelle dès 1340[19].

Il s'agit d'une formation toponymique médiévale en -ville au sens ancien de « domaine rural » (terme issu du gallo-roman VILLA « grand domaine rural »). Il est précédé dans la plupart des cas d'un anthroponyme de type germanique continental ou anglo-scandinave en Normandie.

Les toponymistes identifient dans ce cas précis le nom de personne scandinave Vígautr (variante vieux danois Wigot)[20],[21], cité sous la forme Witgaut par François de Beaurepaire[19]. Jean Renaud propose aussi comme alternative le nom de personne francique Widgaud[21].

François de Beaurepaire fait remarquer que la chute du [v] initial (issu généralement de [w] au XIIe) devant i ou e est fréquente dans la toponymie de la Normandie orientale. Ainsi trouve-t-on dans l'Eure : Illeville-sur-Montfort (Willevilla 13e), Incarville (Wicardi villa 1025) ou Infreville (Wifrevilla 1213)[19].

Par contre, dans le Mesnil-Vigot (Manche, Maisnillum Vigot 1192, Maisnillum Wigoti 1206), le [v] s'est maintenu. Pour ce dernier le même auteur mentionne l'anthroponyme scandinave Vigautr particulièrement bien représenté en Angleterre[22].

Remarque : il n'y a aucune trace d'un [t] ou [d] dans les formes anciennes de Vigo- / Ygo-. De plus, c'est dans la Manche que le patronyme Vigot est très fréquent[22] et dans l'ensemble de la Normandie qu'il est le plus anciennement attesté comme nom de famille. L'élément -got est récurrent dans les patronymes normands comme Turgot, Angot d'origine norroise. Igoville et le Mesnil-Vigot se situent en outre dans l'aire de répartition de la toponymie scandinave.

  • Hameau le Pré-cantui(t) ou le Précantuit : réinterprétation populaire du XIXe siècle, d'un plus ancien Brescantuit (les essars de Brescantuit 1453), composé avec le vieux normand thuit « essart, espace défriché », issu du vieux norrois thveit, même sens. L'analogie avec un pré a aussi été facilitée par la similitude entre un pré et un espace défriché.

Histoire[modifier | modifier le code]

Les 8 et , le 4e groupe franc motorisé de cavalerie y livre le combat de Pont-de-l'Arche.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1904   Nouvel [23]    
1906 1910 Alexandre Périer    
Les données manquantes sont à compléter.
1955   Lucette Bréham    
Les données manquantes sont à compléter.
         
mars 1983 2014 Gérard Saillot DVD Retraité, conseiller général du canton de Pont-de-l'Arche (1985-1998)
mars 2014 2020 Sylvie Blandin DVD  
2020 En cours Nathalie Breemeersch    

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[25].

En 2021, la commune comptait 1 724 habitants[Note 4], en diminution de 1,03 % par rapport à 2015 (Eure : −0,5 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
350297354331394430423445406
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
417428432413483439468465487
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
514498462568518544565583670
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
7458508891 1071 3121 4741 4771 5901 774
2021 - - - - - - - -
1 724--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église paroissiale Saint-Pierre[28], qui possède des vitraux réalisés par le maître-verrier François Décorchemont.
  • Au n° 255, rue de la Ravine, le Mini Réseau, une installation fixe de modélisme ferroviaire ouverte au public.
  • Ancien château[29], mairie actuelle, construit tout en pierre, au milieu du XVIIIe siècle, composé d'un corps de logis central à un seul rez-de-chaussée, avec un avant-corps central surmonté d'un fronton triangulaire, cantonné à chacune de ses extrémités par un pavillon plus élevé comportant un étage sur rez-de-chaussée. Chacun de ces trois corps de bâtiment est surmonté d'un comble mansardé indépendant. Les deux façades, aux contours identiques, diffèrent par le nombre de leurs ouvertures. Côté parc, l'avant corps central comporte trois ouvertures, une seule côté cour. Les pavillons latéraux comportent cinq travées côté cour, quatre côté parc. À l'intérieur, le principal élément décoratif ancien subsistant est l'escalier central, pourvu d'une rampe en fer forgé de style Louis XV. Le château est mentionné pour la première fois à l'occasion de la bénédiction de sa chapelle en 1747, par Adam Charles Esmangard, vicaire général de l'archevêque de Rouen, frère de son propriétaire, Claude François Esmangard, conseiller du roi, négociant à Rouen et président au grenier à sel de Pont-de-l'Arche. Quelques années plus tard, cette demeure appartient à Louis Jacques des Marets, seigneur de Saint-Aubin, conseiller au Parlement de Normandie, et son épouse, Marie-Madeleine du Val de Morgny, lorsque ceux-ci en dotent leur fille, à l'occasion de son mariage en 1777 avec Alexandre du Moucel, marquis de Torcy, seigneur de La Rivière-Bourdet, président à mortier au Parlement de Normandie. Veuve en 1781, celle-ci se remarie à Igoville le avec Jean Pierre Firmin de Vieux[30], officier. En 1802, elle achète le château du Champ-de-Bataille. Celui d'Igoville est alors loué. Il est ensuite habité par son fils Édouard Marie Firmin de Vieux, mort à Igoville le . En 1872, il est vendu à Louise Adélaïde de Clisson, fondatrice de l'orphelinat Saint-François-Xavier. Cette congrégation ayant été dissoute, le château d'Igoville est acheté en 1904 par Michel Louis Adolphe Avon[31], général, commandeur de la Légion d'honneur, mort en 1918, puis habité par sa fille, Henriette Avon, baronne René de Maulde. Occupé pendant la guerre, il est acheté en 1949 par la famille Morel, fabricant de chaussures à Pont-de-l'Arche, et, en 1990, par la commune d'Igoville[32]. Après travaux de rénovation et mise en valeur, il abrite aujourd'hui la mairie d'Igoville et plusieurs services municipaux.
  • Le fort de Limaie[33].
  • Le monument aux morts date de 1921.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Igoville Blason
De gueules à la fasce ondée d’argent chargé de trois drakkars contournés d'azur, accompagnée en chef d'un léopard d'or armé et lampassé aussi d'azur et en pointe d'un château de trois tours carrées d'or, maçonné de sable, ouvert et ajouré aussi d'azur[34].
Détails
Adopté le 8 avril 2010. Remplacé par un logo.
Création Denis Joulain.

Filmographie[modifier | modifier le code]

  • Les Grandes Vacances, de Jean Girault (1967)
    Prise où l'on voit le débarquement de sacs de charbon d'un camion arrêté au bord de la route (rue du ), devant un café Au Tonneau.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Géoportail (IGN), couche « Communes » activée ».
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  5. « Orthodromie entre Igoville et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Rouen-Boos » (commune de Boos) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Rouen-Boos » (commune de Boos) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 de Rouen », sur insee.fr (consulté le ).
  13. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. Ernest Poret de Blosseville, Dictionnaire topographique du département de l’Eure, Paris, , p. 117.
  19. a b et c François de Beaurepaire (préf. Marcel Baudot), Les Noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, Paris, A. et J. Picard, 1981 (ISBN 2-7084-0067-3) (OCLC 9675154), p. 130 - 131
  20. Nordic Names (anglais) : origine du nom Vígautr
  21. a et b Jean Renaud, Vikings et noms de lieux de Normandie, OREP éditions, 2009 (ISBN 978-2-915762-89-1) p. 126.
  22. a et b François de Beaurepaire (préf. Yves Nédélec), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, Paris, A. et J. Picard, , 253 p. (ISBN 2-7084-0299-4, OCLC 15314425), p. 156
  23. Société libre d'agriculture, sciences, arts et belles-lettres de l'Eure - 1904 [1]
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. Notice no IA00017960, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  29. Notice no IA00017963, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  30. « Notice LH du comte de Vieux », base Léonore, ministère français de la Culture.
  31. « Notice LH du général Avon », base Léonore, ministère français de la Culture.
  32. « Le château d'Igoville et son histoire », sur Pont-de-l'Arche ma ville, (consulté le ).
  33. Notice no IA00017966, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  34. https://armorialdefrance.fr/page_blason.php?ville=11275

Liens externes[modifier | modifier le code]

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