Croisy-sur-Eure

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Croisy-sur-Eure
Croisy-sur-Eure
Le château de Croisy et son canal.
Blason de Croisy-sur-Eure
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Eure
Arrondissement Les Andelys
Intercommunalité Seine Normandie Agglomération
Maire
Mandat
Jean-Michel de Monicault
2020-2026
Code postal 27120
Code commune 27190
Démographie
Gentilé Croisillon
Population
municipale
215 hab. (2021 en augmentation de 10,26 % par rapport à 2015)
Densité 54 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 01′ 48″ nord, 1° 20′ 51″ est
Altitude Min. 36 m
Max. 126 m
Superficie 3,95 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Pacy-sur-Eure
Législatives Première circonscription
Localisation
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Croisy-sur-Eure

Croisy-sur-Eure est une commune française située dans le département de l'Eure en région Normandie.

Géographie[modifier | modifier le code]

Croisy-sur-Eure est située dans la vallée de l'Eure, dans l'Est du département, à 4 km de Pacy-sur-Eure, à 16 km d'Évreux, 15 km de Vernon et à 90 km de Paris.

Croisy est une petite commune rurale de 232 habitants, à mi-chemin entre Paris et Rouen. Le territoire de la commune couvre une superficie de 395 ha dont 64,3 % sont utilisés par l’agriculture et 14 % par les bois avec une zone naturelle d’intérêt écologique, faunistique et floristique. On remarque une déclivité relativement importante (80 m) entre le Haut Croisy situé sur le plateau à 120 m d’altitude environ et le fond de la vallée de l’Eure qui n’est qu’à 40 m. Un puits remarquable de plus de 90 m de profondeur a été creusé en 1935 à main d’hommes pour y puiser l’eau de la nappe phréatique située au niveau de la vallée. Ce puits permettra de pomper de l’eau pour alimenter le château d’eau érigé à cet effet dans ce hameau du plateau

On constate également la présence d’une vallée sèche au sud-ouest : la vallée Coqueline. Concernant les zones habitées, on distingue deux pôles bâtis : le village et le hameau du Haut Croisy.

Le village limité par le coteau boisé à l’ouest, s’étire le long des routes de Ménilles (CD 65) et de Vaux-sur-Eure (CD 71).

Le village est scindé en deux parties :

  • le Bas-Croisy, situé dans la vallée, qui constitue le centre du village avec la mairie, une église, un château, un moulin à eau. C'est la partie la plus peuplée.
  • Le Haut-Croisy, situé sur un plateau au-dessus de la vallée, à environ deux kilomètres du centre.

La commune est limitrophe avec Ménilles, Pacy-sur-Eure, Saint-Aquilin-de-Pacy, Caillouet-Orgeville et Vaux-sur-Eure.

Le village est traversé par les routes départementales 65 et 71. Les routes communales 5 et 27 complètent le réseau routier. La commune est située à proximité immédiate de la RN 13, accessible directement par le Haut-Croisy.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est traversée par l'Eure, affluent de la Seine. La rivière principale ne passe qu'à la limite de la commune, hors du village, mais une multitude de canaux et de bras traverse le Bas-Croisy (centre). Ils sont artificiels pour la plupart, mais très anciens. Des vannages récents contrôlent leur niveau en permanence, pour éviter les inondations et les étiages trop importants.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[2]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat des plateaux abrités », correspondant aux plaines agricoles de l’Eure, avec une pluviométrie beaucoup plus faible que dans la plaine de Caen en raison du double effet d’abri provoqué par les collines du Bocage normand et par celles qui s’étendent sur un axe du Pays d'Auge au Perche[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 676 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 7,6 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Huest à 10 km à vol d'oiseau[4], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 600,6 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Croisy-sur-Eure est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Pacy-sur-Eure, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[11] et 7 276 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (78,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (78,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (48,6 %), prairies (29,7 %), forêts (16,3 %), zones urbanisées (5,4 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attestée sous les formes Crusiacum vers 1140[17], Crosiacum en 1219[18], Crosium en 1260[18], Croisi en 1295[18], Croisy en 1329[18], Croisy en 1793[19], Croissy en 1801[19], Croisy-sur-Eure en 1935.

Croisy (cruciacum), allusion non seulement à des croisements, mais à de réelles croix qui ont souvent été placées, au cours des âges aux carrefours.

Le déterminant complémentaire sur-Eure est donné au village de Croisy au début du XIXe siècle et permet d'éviter la confusion avec d'autres Croisy comme Croisy-sur-Andelle.

Histoire[modifier | modifier le code]

Vers 1150, Herbert de Croisy donna à l’abbaye de Saint-Taurin l’église de Croisy puis se fit religieux à Saint-Taurin. C’est à cette époque que le prieuré fut construit sur le coteau au bord du bras Sagout.

Au moment de la conquête de Normandie, vers 1202, Philippe Auguste voulant récompenser les services d’un ingénieur militaire Amaury Coispel, lui donna la seigneurie de Croisy.

En 1332, Messire Jean de Garencières reçut de Philippe, comte d’Évreux, la terre de Croisy.

En 1419, le roi d’Angleterre accorda à son oncle Thomas, duc d’Exter le château et le domaine de Croisy. Cependant, la famille de Garencières n’était pas éteinte et prenait toujours le titre de seigneur de Croisy. Jean de Garencières laissa pour héritier en 1470 Robert de Gaillon. Au XVIe siècle, le fief civil de Croisy fut alors devisé en plusieurs parts

Louis d’Harcourt, fils de François de Gaillon recueillit la seigneurie de Croisy dans la succession de sa tante Marie de Gaillon. Croisy resta dans la famille d’Harcourt jusqu’à la fin du XVIIe siècle où le domaine passa au comte de Fiesque puis au sire marquis Charles de Bréauté. Celui-ci est à l’origine de la construction du château tel qu’on le voit aujourd’hui. Il date de la fin du XVIIe siècle comme on peut le supposer (analyse des cadastres de l’époque, en notre possession). Charles Claude Breauté vendit en 1713 le fief de Croisy à Pierre Charles de Bosguérard, conseiller à la cour des comptes de Normandie.

Ce dernier devint ainsi propriétaire « en un plain fief de Haubert, auquel il y a le droit de châtellerie et de château, manoir, maison, cour et jardin, clos de fossés pleins d’eau avec pont levis… droit de présenter au bénéfice de la cure ».

L’origine et l’histoire de Croisy sont reprises dans l’ouvrage « Croisy-sur-Eure VIII siècles d’histoire » écrit et publié par JM de Monicault, à partir des archives du département de l’Eure, des précieux renseignements du dictionnaire des communes, des archives de la paroisse intégrant l’état civil tenu par la paroisse de 1685 à 1799, des archives communales d’état civil et des délibérations des conseils municipaux depuis la Révolution, enfin des archives du XVIe siècle à nos jours restées intactes dans les greniers du château nous renseignant sur celui-ci, des dépendances (moulin) et la cure ainsi qu’un cadastre de l’ensemble du village datant de 1700 environ.

L’histoire du village et des villageois y est abordé. Comment y vivait-on aux XVIIe et XVIIIe siècles ? L’apologie du château et de l’église et de tous les sites remarquables de ce village y est faite, ainsi que la description et le rôle des réseaux hydrauliques et l’implantation des deux moulins construits sur les bras de l’Eure (Sagout et Béchet) creusés à la main au XVIIe siècle.

Économie[modifier | modifier le code]

La seule activité industrielle de Croisy, la fromagerie Boursin, est située dans la vallée de l’Eure sur le bras Sagout, route de Saint-Aquilin.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Mairie de Croisy-sur-Eure.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1800 1803 Jacques Panier    
1803 1808 Christophe Durand    
1808 1813 J.L. Rémy de Turicque    
1816 1830 P. Chedeville    
1830 1832 J.L. Panier    
1832 1840 P. Anseaume    
1840 1848 P. Chedeville (père)    
1848 1849 P. Chedeville (fils)    
1849 1860 N. Colombe    
1860 1865 F. Gorgedoux    
1865 1874 J.J. Allais    
1874 1878 F. Gorgedoux    
1878 1884 V. Cousin    
1884 1896 F. Anseaume    
1896 1920 A. Malard    
1920 1938 A. Lamy    
1938 1945 Alfred Masson    
mai 1945 1954 G. Sellenet    
1954 mars 1965 Daniel Garreau    
mars 1965 mars 1983 Edouard de Monicault    
mars 1983 juin 1995 André Garreau    
juin 1995 en cours Jean-Michel de Monicault DVD Retraité
Chevalier de l'ordre national du mérite[20]
Les données manquantes sont à compléter.

Politique de développement durable[modifier | modifier le code]

En 2017, la commune a été labellisée « 3 fleurs » par le Conseil national de villes et villages fleuris de France[21].

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[23].

En 2021, la commune comptait 215 habitants[Note 3], en augmentation de 10,26 % par rapport à 2015 (Eure : −0,5 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
322285345317291269312274284
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
257238223204213187178166160
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
163152152135138132129130123
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
110126161145179233239246232
2015 2020 2021 - - - - - -
195216215------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Église Saint-Germain.
  • L'église Saint-Germain : édifice du XVIe siècle, dépendant de Saint-Taurin d'Évreux, possède des vitraux des XVIe et XVIIe siècles, une Vierge à l'enfant et un lutrin du XVIIIe siècle, et des bancs d'œuvre comportant des boiseries du XVIe siècle. Construite en pierres de taille, son clocher se trouve au-dessus du chœur. La cloche est de 1712.

Les vitraux de la nef sont des verrières polychromes du XVIe siècle. Le chœur est légèrement plus étroit que la nef, et comporte six fenêtres en plein cintre. Celles-ci ont conservé en partie leurs verrières datées de 1613. C'est en 1880 que fut érigé, entre chœur et nef, un arc triomphal en bois composé de trois arcades en anses de panier[25].

  • Monastère Saint-Paul-de-la-Croix, communauté de sœurs passionistes de Saint Paul de la Croix installée en 1976.
  • Le château de Croisy.
  • 3 anciens lavoirs.
  • Les deux moulin du Bras-Sagout et du Béchet. Le premier, au centre du village, a sa roue et son vannage.

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

Site inscrit[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Les armes de la ville se blasonnent ainsi :

écartelé en sautoir : au 1) de gueules au léopard d’or, au 2) d’azur à la roue de moulin d’or, au 3) d’azur à la tête de crosse contournée d’or au 4) de gueules au coq hardi d’or ; aux deux palmes d’argent passées en sautoir brochant sur la partition.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  4. « Orthodromie entre Croisy-sur-Eure et Huest », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Évreux-Huest » (commune de Huest) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Évreux-Huest » (commune de Huest) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Pacy-sur-Eure », sur insee.fr (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. François de Beaurepaire, Les noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure - Page 97.
  18. a b c et d Archives départementales de l'Eure.
  19. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  20. « Dans l’Eure, le maire est fait chevalier de l’ordre national du Mérite », sur Paris-Normandie, (consulté le ).
  21. Site des villes et villages fleuris, consulté le 9 février 2018.
  22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  25. Bulletin de l'Association des Amis des Monuments et Sites de l'Eure - No 47 - p. 24 - 1988.
  26. « L'église, le cimetière », sur Carmen - L'application cartographique au service des données environnementales (consulté le ).
  27. « Le Louvre achète un chef d’œuvre du Maître de la Légende de la Madeleine », Combat, 4 août 1969, sur Gallica.