Cocquerel

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Cocquerel
Cocquerel
La mairie-école.
Blason de Cocquerel
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Abbeville
Intercommunalité Communauté de communes Ponthieu-Marquenterre
Maire
Mandat
Maurice Crépin
2020-2026
Code postal 80510
Code commune 80200
Démographie
Gentilé Cocquerellois
Population
municipale
218 hab. (2021 en diminution de 6,84 % par rapport à 2015)
Densité 23 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 02′ 39″ nord, 1° 57′ 00″ est
Altitude Min. 7 m
Max. 113 m
Superficie 9,54 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Amiens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Rue
Législatives Première circonscription
Localisation
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Cocquerel
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Cocquerel
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Cocquerel

Cocquerel est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France.

La commune fait partie du parc naturel régional Baie de Somme - Picardie maritime et des villages labellisés Pays d'art et d'histoire qui œuvrent à mettre en avant leur patrimoine[1],[2].


Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La vallée de la Somme, entre Pont-Remy et Cocquerel.

Cocquerel est un village picard du Ponthieu, situé dans la basse vallée de la Somme, à une douzaine de kilomètres à l'est d'Abbeville. Il est accessible par l'ancienne route nationale 1 (actuelle RD 1001) et l'autoroute A16.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Quartiers, hameaux, lieux-dits et écarts[modifier | modifier le code]

  • Longuet, situé à l'est, juste à mi-chemin sur la route de Long.
  • Baillon-Haut et Baillon-Bas (lieux-dits de l'ancienne seigneurie qui appartint à la famille Papin, puis Mercher, sieurs de Baillon, puis par héritage, aux Foublin, puis aux Gaudefroy, qui possèdent encore Baillon-bas.).

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 743 mm, avec 11,7 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Abbeville à 11 km à vol d'oiseau[5], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 806,2 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Cocquerel est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (88,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (64 %), prairies (19,5 %), forêts (8,5 %), zones agricoles hétérogènes (4,7 %), zones urbanisées (3,1 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La localité est desservie par les lignes de bus du réseau Trans'80 (axe Abbeville - Airaines, ligne no 19), chaque jour de la semaine, sauf le dimanche et les jours fériés[15].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Cokerellum (1050.) ; Cocherellum (1109.) ; Cocquerel (1138.) ; Chocherel (1155.) ; Coquerel (1192.) ; Kokerel (1208.) ; Quoquerel (1293.) ; Coqrel (1293.) ; Cokerel (1301.) ; Cocqueril (1608.) ; Coquerelle (1638.) ; Coeucrelle (1657.) ; Cocquerelle (1756.) ; Cocqueret (1763.)[16].

Rencontré en Picardie, c'est peut-être un diminutif de coq ( jeune coq ) ou un sobriquet désignant un jeune homme, beau parleur, vaniteux, prétentieux, ou encore un coureur de jupons. Mais on pensera surtout à un toponyme, avec le sens de moulin ; « nom fréquent de moulins, faisant allusion au bruit ressemblant à celui du coq »[17].

Histoire[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement d'Abbeville du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1958 de la quatrième circonscription de la Somme.

Elle faisait partie depuis 1793 du canton d'Ailly-le-Haut-Clocher[18]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune intègre le canton de Rue, dont elle est désormais membre.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune était membre de la communauté de communes du Haut-Clocher, créée fin 1999 et qui succédait à un SIVOM créé en 1970[19].

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en octobre 2015 un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) qui prévoit la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du Département.

Ce projet prévoit la « fusion des communautés de communes Authie-Maye, de Nouvion et du Haut-Clocher », le nouvel ensemble de 33 400 habitants regroupant 71 communes[20],[21], retrouvant ainsi les limites de l’ancien syndicat du Ponthieu-Marquenterre[22].

Ces intercommunalités fusionnent le pour créer la communauté de communes Ponthieu-Marquenterre, dont la commune est désormais membre.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[23]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
  1903[24] Comte Jules Le Mesre de Pas[25]   Décédé en fonction
Les données manquantes sont à compléter.
  1940 Vicomte Jean de Robien[26]   Propriétaire-Cultivateur et industriel
Gendre du précédent
1959[27] 1995[28] Pierre de Robien[29]   Fils du précédent
Chevalier de la Légion d'honneur
mars 1995 En cours
(au 8 octobre 2020)
Maurice Crépin EXD Agriculteur retraité
Réélu pour le mandat 2014-2020[30],[31],[32]

Politique de développement durable[modifier | modifier le code]

Distinctions et labels[modifier | modifier le code]

En novembre 2019, le village obtient le prix d'honneur, le prix spécial du jardinier et le prix de la première participation au concours des villes et villages fleuris[33],[34].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[36].

En 2021, la commune comptait 218 habitants[Note 3], en diminution de 6,84 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
473516538496493495459442424
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
417420412380343310286255237
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
244233205188193188187163177
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
151138117114141172199202226
2017 2021 - - - - - - -
229218-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[37].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

La communauté de communes du Haut-Clocher a construit l'école intercommunale Robert-Mallet à Pont-Remy. Cette entité accueille, entre autres, les enfants d'âge scolaire primaire de la localité[38].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • 'Église Saint-Martin de Coquerel du XVIe siècle[39],[40],[41].
    La nef basse, précédée d'un clocher dentelé, est prolongée par un chœur plus élevé. La voûte en charpente est décorée de blochets sculptés de figures de saints.
  • Château[42],[43],[44] détruit en 1940 et remplacé par une grande demeure en pierre. Corps de dépendances du XIXe siècle.
  • Chapelle Saint Julien l'Hospitalier, construite en pierre locale et surmontée d'un campenard, au hameau de Longuet[45]. Le vitrail installé en 1939 parle de la vie du saint. Des travaux de réparation sont effectués en 1998[46].
  • Château du XIXe siècle, au hameau de Longuet.
  • Les vestiges d'un moulin à vent, déjà présent au XVIIIe siècle et que l’on désignait sous le nom de Moulin Marcel, ont été découverts en 2019 lors du creusement d'une mare[47],[48].
  • Chapelle Saint-Christophe, datée du XIXe siècle, dans le parc du château de Cocquerel[46]
  • Monument aux morts pour la patrie dans le cimetière.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Marguerite Papin (Cocquerel 16/4/1636, décédée à La Motte en Santerre le 17/2/1716), dame de Baillon. Descendante de Binet Papin qui fut à Azincourt. Fille de André Papin, seigneur de Baillon (à Cocquerel), et de Marie Lentulle. Elle fut mariée à Jean Mercher dont la famille hérita la seigneurie de Baillon[réf. nécessaire].
  • Aux XIIIe et XIVe siècles, la famille de Cocquerel, originaire du village, donnera des maires à la ville d'Amiens[49].
  • Gilles de Robien, vicomte, (1941- ), ancien ministre et député de la Somme, maire d'Amiens, né à Cocquerel en 1941, fils de Jean de Robien, maire de la commune jusqu'en 1940.
  • Rosemonde Libraire (1923-1941), née à Cocquerel, résistante française, Médaille Commémorative de la Guerre et de la Résistance (Belgique, 1946), reconnue « Morte pour la France » en 2013. Une plaque souvenir honore sa mémoire sur le monument aux morts de la commune[52].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Cocquerel Blason
D'azur à trois coqs hardis d'argent.


Le blason est adopté en 1989 par le conseil municipal[49].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Création du Pays d'Art et d'Histoire Ponthieu-Baie de Somme » (consulté le ).
  2. Jade Desmaret, « 48 communes du Ponthieu et de la baie de Somme labellisées «Pays d’art et d’histoire» », Courrier picard,‎ (lire en ligne)
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Cocquerel et Abbeville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Abbeville » (commune d'Abbeville) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Abbeville » (commune d'Abbeville) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Amiens », sur insee.fr (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. « Trans80, Abbeville », sur trans80.hautsdefrance.fr.
  16. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 246 (lire en ligne sur DicoTopo) [1].
  17. Gérard Bacquet, Le Ponthieu, G. Bacquet, , p. 239.
  18. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  19. « La Communauté de communes », sur cc-hautclocher.fr (consulté le ).
  20. « Coopération intercommunale : La préfète présente un nouveau schéma départemental » [doc], Communiqué de presse, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  21. Benoît Delespierre, « Intercommunalité : La carte qui fait peur aux élus locaux », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
  22. Olivier Bacquet, « La préfète dévoile ses propositions pour les futures communautés de communes : Quelles seront les communautés de communes de demain ? Après des semaines de discussions et d'incertitudes, les propositions de la préfète viennent d'être dévoilées. », Le Journal d'Abbeville,‎ (lire en ligne).
  23. « Les maires de Cocquerel », sur francegenweb.org (consulté le ).
  24. « Faire-part de décès », sur Delcampe.fr.
  25. Base collaborative Pierfit, « Jules Le MESRE de PAS », sur gw.geneanet.org (consulté le ).
  26. Jacques Chanis, « Jean de Robien, Comte de Robien », sur gw.geneanet.org (consulté le ).
  27. « Listes des élus ayant présenté les candidats à l'élection" du Président de la République », Journal officiel de la République française,‎ , p. 1062 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
  28. « Avis de décès », Courrier picard,‎ , p. 14-15
  29. Cédric TOUVET, « Fernand DU MAISNIEL de SAVEUSE », sur gw.geneanet.org (consulté le ).
  30. Réélu pour le mandat 2014-2020 : Le Courrier picard, édition d'Abbeville, 14 avril 2014, p. 11.
  31. « Six sortants, dont le maire, sur la liste à Cocquerel », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  32. « Liste des élus de la Somme » [ods], Listes des élus, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  33. « Les communes de la Somme labellisées sur le site national des villes et villages fleuris » (consulté le ).
  34. Olivier Bacquet, « Villes et villages fleuris : Cocquerel triplement récompensée pour sa première participation : La remise des prix des villes et villages fleuris de la Somme aura lieu ce mardi à Saint-Valery-sur-Somme. Parmi les grands gagnants, le village de Cocquerel, avec trois prix », Le Journal d'Abbeville,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  38. Jacques Dulphy, « « Pont-Remy - La commune confirme sa volonté de rejoindre l'Abbevillois » », le Courrier picard, édition Picardie maritime,‎ , p. 12.
  39. Oswald Macqueron, « Aquarelle : Église de Coquerel sur Somme. D'après nature 19 mai 1850 », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
  40. L. Gillard, « Dessin : Église de Cocquerelle », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville, (consulté le ).
  41. « A) Bouts de poutres sculptés dans l'église de Coquerel, d'après nature . B) Spécimen de la bordure en pierre sculptée qui règne autour du chœur de l'église de Coquerel .C) Blason de charles Roger du Maisniel de Saveuse dans le cimetière de Coquerel. », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
  42. Oswald Macqueron, « Aquarelle : Château de Coquerel. d'après nature 22 avril 1865. », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
  43. L. Gillard, « Dessin : Château de Cocquerelle. Habitation de M. du Maisniel de Saveuse. », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
  44. Calque d'Oswald Macqueron, d'après une esquisse de L. Gillard, 1864, « Château de Cocquerel, commune de Bailleul. », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
  45. Clochers.org
  46. a et b André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, imp. Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 79 (ASIN B000WR15W8).
  47. « La meule de «Ch’Molin Marcel» mise à jour lors du chantier de creusement à Cocquerel de la future mare », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  48. Jérémy Hébras, « À la recherche de la meule volée de Cocquerel : Maurice Crépin, le maire du village, espère récupérer ce morceau de patrimoine qui raconte une partie de l’histoire de Cocquerel », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  49. a et b « Le village dans l'Armorial de France » (consulté le ).
  50. « 1792-1796 Les martyrs pendant les massacres de septembre : Martyrisés le 2 septembre 1792, à l'Abbaye de Saint-Germain des Près, à Paris », sur causa.sanctorum.free.fr, Causes des saints - Les Saints et Bienheureux de l'Église Catholique et les causes en cours (consulté le ).
  51. (en) « Blessed Jean-Louis Guyard de Saint-Clair », sur catholicsaints.info (consulté le ).
  52. « Rosemonde Libraire reconnue « Morte pour la France » », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « La mention « Morte pour la France » a été attribuée à Rosemonde Libraire pour honorer la mémoire de cette jeune résistante née le 24 mars 1923, à Cocquerel et décédée le 26 avril 1941 à Pont-Rémy (...) Ainsi devrait être reconnu officiellement le sacrifice de cette jeune femme, qui s'était engagée dans un réseau de résistance baptisé Ali-France. À l'époque, la Somme délimitait la zone interdite au Nord, de la zone occupée par les Allemands. Et Rosemonde Libraire faisait passer d'une rive à l'autre, sur une barge reliée à un fil d'acier, des résistants, des aviateurs, des évadés, notamment belges. Elle est morte noyée alors qu'elle assurait une de ces missions ».