Caumont (Eure)

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Caumont
Caumont (Eure)
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Eure
Arrondissement Bernay
Intercommunalité CC Roumois Seine
Maire
Mandat
Sylvain Bonenfant
2020-2026
Code postal 27310
Code commune 27133
Démographie
Gentilé Caumontais
Population
municipale
1 109 hab. (2021 en augmentation de 8,09 % par rapport à 2015)
Densité 185 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 22′ 02″ nord, 0° 53′ 47″ est
Altitude Min. 1 m
Max. 140 m
Superficie km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Rouen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bourg-Achard
Législatives 3e circonscription de l'Eure
Localisation
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Liens
Site web http://www.caumont-normandie.fr

Caumont est une commune française située dans le département de l'Eure, en région Normandie.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Le Bas-Caumont est enclavé au bord de la Seine entre deux communes de Seine-Maritime (La Bouille et Mauny).

Caumont est à la porte de l'agglomération de Rouen.

Elle fait partie du parc naturel régional des Boucles de la Seine normande.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est riveraine du fleuve la Seine.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[3]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat contrasté des collines », correspondant au Pays d’Auge, Lieuvin et Roumois, moins directement soumis aux flux océaniques et connaissant toutefois des précipitations assez marquées en raison des reliefs collinaires qui favorisent leur formation[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 826 mm, avec 12,7 jours de précipitations en janvier et 8,8 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Jumièges à 9 km à vol d'oiseau[5], est de 12,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 843,5 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

La commune fait partie du réseau Natura 2000 au titre des Boucles de la Seine aval[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Caumont est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Ouen-de-Thouberville, une agglomération inter-départementale regroupant 4 communes[13] et 4 621 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[14],[15].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[16],[17].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (44,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (44,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (44,3 %), zones urbanisées (22,8 %), prairies (15,4 %), terres arables (9,2 %), eaux continentales[Note 3] (7,3 %), zones agricoles hétérogènes (1 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 492, alors qu'il était de 453 en 2015 et de 440 en 2010[I 1].

Parmi ces logements, 89,3 % étaient des résidences principales, 3,7 % des résidences secondaires et 6,9 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 99,1 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0,4 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Caumont en 2020 en comparaison avec celle de l'Eure et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (3,7 %) inférieure à celle du département (6,2 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 89 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (86,6 % en 2015), contre 65,3 % pour l'Eure et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Caumont en 2020.
Typologie Caumont [I 1] Eure[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 89,3 85,5 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 3,7 6,2 9,7
Logements vacants (en %) 6,9 8,2 8,2

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes latinisées Calvimontem au XIIe siècle[19], Calidus mons en 1175 (charte de Rotrou, archevêque de Rouen), Calvus mons en 1271 (sentence d’Eudes Rigaud), puis Caumont-sur-Seine en 1828[20].

Il s'agit d'une formation toponymique médiévale issue du vieux normand cal(s) « chauve » (vieux français chal(s), la forme chauve est refaite sur le féminin[21]), devenu un surnom normand « le Cauf »[22]. et de -mont (appellatif issu du bas latin montem, latin mons), d’où le sens global de « mont chauve », forme équivalente à celle du français central Chaumont.

Histoire[modifier | modifier le code]

Antiquité[modifier | modifier le code]

Des vestiges de constructions antiques ainsi que des fragments de poterie et des médailles ont été mis au jour au hameau de la Ronce, près du chemin des Longues Vallées venant de Honguemare, et au hameau voisin de Beauséjour.

Moyen Âge et temps modernes[modifier | modifier le code]

Extrait de la notice[réf. nécessaire] de M. L. Passy sur le prieuré de Bourg-Achard précisant les détails suivants sur la cure de Caumont : « On désignait alors sous le nom de Touberville un vaste territoire qui comprend aujourd’hui quatre paroisses. En 1175, l'année même où les chanoines se firent donner par Rotrou IV du Perche une charte confirmant leurs biens et leurs droits, Nicolas de la Londe donna à l’église Saint-Lô de Bourg-Achard le patronage des églises de Touberville, c'est-à-dire de la Sainte-Trinité (la Trinité de Thouberville), Saint-Ouen (de Thouberville) et de Sainte-Marie de Caumont et la Bouille. Il fit cette donation pour le salut de son corps et de son âme et pour les âmes de son père (Jean de la Londe), de sa mère Isabelle et surtout pour l’entretien et le salut perpétuel de son frère aîné Guillaume, chanoine de Bourg-Achard. Il résigna ses droits entre les mains de Rotrou, avec le consentement de son frère Robert et de sa mère Isabelle ».

Guillaume de la Londe, le chanoine, meurt. On l'ensevelit avec honneurs dans le chapitre de Bourg-Achard. Mais Nicolas grandit et, comme il avait fait cette donation encore jeune et avant qu’il n’ait été créé chevalier, il suscite aux chanoines querelles et procès et cherche à revenir sur sa donation. Gautier, archevêque de Rouen, intervient et Nicolas de la Londe renonce à toutes ses prétentions. Gautier constate les droits du prieuré de Bourg-Achard dans une charte de 1202.

Quelques années après, le différend se renouvelle. Il avait été convenu que les chanoines entreraient en possession à la mort d’un certain Philippe, qui tenait le service de l’église. Or ce Philippe étant mort après Nicolas de la Londe, Jean (fils de Nicolas) se mit violemment en possession de l’église Sainte-Marie de Caumont. Les chanoines portèrent plainte devant l’archevêque de Rouen. En 1223, Jean de la Londe fut condamné. Il ne parut pas cependant accepter franchement cette sentence car c’est seulement en 1239 qu’il se désista de tous droits sur les églises ou chapelles, revenus, terres ou autres possessions qu’il prétendait avoir à Touberville (comprendre ici le pays de Touberville).

En 1290, Guillaume de Flavacourt, archevêque de Rouen, décida que le service divin serait fait et les sacrements administrés dans les deux églises de Saint-Ouen et la Trinité, comme ils l’étaient dans l’église de Caumont, mais que tous les habitants de Touberville continueraient à être tenus de faire leurs pâques et d’assister aux offices de Pentecôte, de la Toussaint, de Noël et des fêtes de la Vierge dans l’église Sainte-Marie de Caumont.

L'église de Caumont avait été primitivement église paroissiale, puis, peu à peu, les églises de Saint-Ouen et de la Trinité prirent la place et eurent bientôt le rang de paroisse. Le prieur de Bourg-Achard eut alors le droit de présenter un chanoine régulier à ces trois cures. Enfin, la paroisse de Caumont fut démembrée au XVIIe siècle, lorsqu’on érigea en cure la chapelle bâtie à la Bouille, sur la prière et pour le service des seigneurs de Mauni (Mauny).

La famille de la Londe paraît avoir possédé le territoire de Touberville depuis le XIIIe siècle. En 1464, Robert de Graville en avait une partie. Dans un rôle des fiefs dressé en 1540, on voit que le fief de Touberville appartenait alors à Robert Dangerville, prêtre curé de Tresly. Il valait alors 80 Livres et était disputé par Louise de Brézé, dame de la baronnie de Mauni et Louis de Bigars, seigneur de la Londe.

Le territoire de Touberville fut réuni à la terre de la Londe lorsque cette terre fut érigée en marquisat en 1546 (date à prendre avec réserve compte tenu de la typologie du document original). Quant à Caumont, M. Canel dit que les Mallet en furent seigneurs du XVIe au XVIIe siècle sous la suzeraineté des seigneurs de la Londe[Note 4].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

En 1943-1944, l'armée allemande construit à Caumont une usine d'oxygène liquide pour les V2 dans les anciennes carrières [23].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Bernay du département de l'Eure.

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Routot[24]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Bourg-Achard

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la troisième circonscription de l'Eure.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Caumont était membre de la communauté de communes du Roumois Nord, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1992 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté de communes Roumois Seine, dont est désormais membre la commune.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1988 1995 Charles Hulin UDF Conseiller général de Roulot (1982 → 1988)
1995 2001 Michel Gosselin    
mars 2001 2014 Michel Lallemand[25]   Agent immobilier
Président de la caisse locale du Crédit agricole
mars 2014 mai 2020[26] Alain Fontaine DVD Agent technique
mai 2020[27],[28] En cours
(au 27 novembre 2023)
Sylvain Bonenfant SE Directeur de la sûreté et de la sécurité du département de la Seine-Maritime
Vice-président (2020 → 2023) puis président (2023 → ) de la CC Roumois Seine
Conseiller départemental de Bourg-Achard (2021 → )

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune dispose d'une école qui scolarise environ 150 élèves en 2022 et dotée d'un restaurant scolaire, que la municipalité a décidé de reconstruire afon de satisfaire à la croissance de ses effectifs[29],[30].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[32].

En 2021, la commune comptait 1 109 habitants[Note 5], en augmentation de 8,09 % par rapport à 2015 (Eure : −0,5 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
952871877831931887930888884
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
819844782729714675716631690
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
690643617662517533520522579
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
5916056337599519951 0059991 035
2021 - - - - - - - -
1 109--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Sports et loisirs[modifier | modifier le code]

Le centre de loisirs RandoParc[34], situé en pleine nature, propose plusieurs activités comme l'accrobranche dans la forêt, la découverte des grottes du bord de Seine en spéléologie, son club de Football FC Caumont et un centre équestre.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église.
L'ancienne auberge du Grand Chouquet Royal.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. La notice[réf. nécessaire] de M. L. Passy a été reproduit dans sa syntaxe d'origine
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Chiffres clés - Logement en 2020 à Caugé » (consulté le ).
  2. « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Caumont - Section LOG T2 » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Caugé - Section LOG T7 » (consulté le ).
  4. « Chiffres clés - Logement en 2020 dans l'Eure » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2020 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. « Géoportail (IGN), couche « Communes 2016 » activée ».
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  5. « Orthodromie entre Caumont et Lieuvillers », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Jumieges » (commune de Jumièges) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Jumieges » (commune de Jumièges) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. FR2300123 Boucles de la Seine aval.
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Unité urbaine 2020 de Saint-Ouen-de-Thouberville », sur insee.fr (consulté le ).
  14. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. François de Beaurepaire (préf. Marcel Baudot), Les Noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, Paris, A. et J. Picard, , 221 p. (ISBN 2-7084-0067-3, OCLC 9675154), p. 85.
  20. Ernest Poret de Blosseville, Dictionnaire topographique du département de l’Eure, Paris, , p. 48.
  21. Site du CNRTL : étymologie de "chauve".
  22. Jean Adigard des Gautries et Fernand Lechanteur, Les noms des communes de Normandie (suite) : Supplément aux Annales de Normandie, vol. 1, , p. 3.
  23. Site sur l'usine souterraine par François Bayeux
  24. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. « L'ancien maire de Caumont, Michel Lallemand, est décédé : En vacances aux Iles Canaries, l'ancien maire de Caumont Michel Lallemand est décédé. Il avait 77 ans », L'Éveil de Pont-Audemer,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Avant d’être élu maire, il avait brigué plusieurs postes dont celui de premier adjoint sous la mandature de Charles Hulin, puis celui de conseiller municipal sous la mandature de Michel Gosselin, de 1995 à 2001 ».
  26. « Municipales 2020 : le maire de Caumont, Alain Fontaine, ne se représente pas : Le maire de Caumont (Eure), Alain Fontaine, ne sera pas candidat à sa succession lors des prochaines élections municipales de mars 2020 », L'Éveil de Pont-Audemer,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Le maire de Caumont (Eure), Alain Fontaine, a annoncé lors de la cérémonie des vœux, ce samedi 25 janvier 2020, à la salle des fêtes, qu’il ne se représenterait pas aux élections municipales de mars prochain. Élu depuis 2014, Alain Fontaine a évoqué son âge (il est né le 23 décembre 1946) et l’envie de « profiter de la vie d’une façon différente ».
  27. « Municipales 2020 : Sylvain Bonenfant espère succéder à Alain Fontaine, maire de Caumont : Pour succéder au maire sortant, Alain Fontaine, l'adjoint au maire de Caumont, Sylvain Bonenfant, sera candidat aux prochaines élections municipales », L'Éveil de Pont-Audemer,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  28. « Compte-rendu du conseil municipal du 23 mai 2020 », Compte-rendus [sic] du Conseil Municipal, sur caumont-normandie.fr (consulté le ).
  29. Stéphane Fouilleul, « A Caumont, près de Bourg-Achard, le maire veut transformer son école : Face à l'augmentation de la population à Caumont (Eure), les salles de classe et le restaurant scolaire sont surchargés. Un grand projet d'aménagement de l'école est lancé en 2021 », L'Éveil de Pont-Audemer,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Nous avons 155 élèves dont 150 qui déjeunent au restaurant scolaire. À l'été 2020, nous avons dû abattre une cloison pour agrandir des salles de classe. Mais à la rentrée de septembre, nous avons été contraints de refuser des inscriptions d'élèves résidant hors de Caumont ».
  30. Joce Hue, « Bientôt une nouvelle cantine pour les écoliers de Caumont : Un nouveau restaurant scolaire, mais aussi un atelier, vont être construits à Caumont d'ici deux ans », L'Éveil de Pont-Audemer,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Un nouveau restaurant scolaire, mais aussi un atelier, vont être construits à Caumont d'ici deux ans ».
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. Site RandoParc
  35. « Ancienne auberge du Grand Chouquet Royal, dite aussi auberge du Pérou », notice no PA27000058, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  36. Notice no PA00099367, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  37. Notice no IA00018549, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  38. « Les Carrières de Caumont », sur Exxplore (consulté le ).
  39. « Caumont et le vécu d’un vieux spéléo », sur scof.eu, revue spéléo magazine n°101, mars 2018 (consulté le ).
  40. Jean-Luc Rochefort, « Les grottes de Caumont en Seine-Maritime », (consulté le ).
  41. Site sur les carrières par François Bayeux.
  42. Pierre Beaufils (Groupe Méandres, Rouen), « Spéléologie en Normandie - 44 ans de désobstruction et recherche à Caumont (Eure) », revue spelunca 144, 2016 (consulté le ).
  43. « Les terrains des bords de la Seine », sur Carmen - L'application cartographique au service des données environnementales (consulté le ).
  44. Lucie Drieu, « Pierre Cardin, le célèbre couturier français, avait offert un spectacle aux habitants de Caumont en 2016 : Le célèbre couturier français, Pierre Cardin, est décédé ce mardi 29 décembre. Il était connu près de Bourg-Achard (Eure) notamment pour avoir offert un spectacle aux habitants », L'Éveil de Pont-Audemer,‎ (lire en ligne, consulté le ) « À Caumont, il avait racheté, sur la commune, il y a une dizaine d’années, un château à l’ancien autre grand créateur de mode, Jean-Louis Scherrer ».