Brix

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Brix
Brix
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Cherbourg
Intercommunalité CA du Cotentin
Maire
Mandat
Sophie Buhot
2023-2026
Code postal 50700
Code commune 50087
Démographie
Gentilé Brions
Population
municipale
2 149 hab. (2021 en augmentation de 1,66 % par rapport à 2015)
Densité 67 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 32′ 43″ nord, 1° 34′ 44″ ouest
Altitude Min. 39 m
Max. 176 m
Superficie 32,16 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Cherbourg-en-Cotentin
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Valognes
Législatives 3e circonscription de la Manche
Localisation
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Brix

Brix (prononcé /bʁi:/) est une commune française, située dans le département de la Manche, en région Normandie, peuplée de 2 149 habitants[Note 1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

Vue surf le bourg.

La commune est au nord du Cotentin. Couvrant 3 216 hectares, le territoire de Brix est le plus étendu du canton de Valognes. Son bourg est à 10 km au nord-ouest de Valognes, à 10 km au nord-est de Bricquebec-en-Cotentin et à 13 km au sud de Cherbourg-en-Cotentin[1].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le Massif armoricain[Carte 1]. Une carrière était ouverte dans les grès armoricains[3], rapportés à l'Ordovicien.

Le point culminant (176 m) se situe en limite nord-est, près du lieu-dit de Saussemesnil la Sorellerie. Le point le plus bas (39 m) correspond à la sortie de la rivière de Claire — affluent de la Douve — du territoire, au sud.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le bassin versant de la Douve, qui délimite le territoire à l'ouest, recouvre la majorité de la commune. Ainsi, on y rencontre nombre de ses premiers affluents : l'Eau Gallot, qui marque la limite au nord-ouest, le ruisseau Canelle, la rivière de Rade et la rivière de Claire en limite sud-est. Deux courts affluents de la rivière de Gloire — donc sous-affluents de la Douve — prennent leurs sources à l'est. Une petite partie au nord du territoire se situe dans le bassin versant de la Divette, dont le principal affluent, le Trottebec, borde le territoire après y avoir pris sa source.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Normandie (Cotentin, Orne), caractérisée par une pluviométrie relativement élevée (850 mm/a) et un été frais (15,5 °C) et venté[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 11,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 074 mm, avec 15,3 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Cherbourg-en-Cotentin à 11 km à vol d'oiseau[6], est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 963,9 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Brix est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[10],[11],[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cherbourg-en-Cotentin, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 77 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (88,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (71,2 %), zones agricoles hétérogènes (10,2 %), forêts (8,5 %), terres arables (6,8 %), zones urbanisées (1,4 %), eaux continentales[Note 5] (1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,9 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 974, alors qu'il était de 928 en 2014 et de 875 en 2009[I 1].

Parmi ces logements, 91,7 % étaient des résidences principales, 4,2 % des résidences secondaires et 4,1 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 98,5 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0,8 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Brix en 2019 en comparaison avec celle de la Manche et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (4,2 %) inférieure à celle du département (15 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 85,7 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (85,8 % en 2014), contre 63,4 % pour la Manche et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Brix en 2019.
Typologie Brix[I 1] Manche[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 91,7 76,6 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 4,2 15 9,7
Logements vacants (en %) 4,1 8,4 8,2

Projets d'aménagement[modifier | modifier le code]

En 2022, la réalisation de divers projets d'équipements est prévue par la municipalité. Il s'agit de la construction d'une maison d'assistantes maternelles dans le quartier de la Croix du Parc et celle d'un bâtiment paramédical dont l'aménagement sera modulable, avec quatre cabinets de professionnels, ainsi que la rénovation de la cantine scolaire. La construction de la salle associative et culturelle, est elle bloquée par des défauts de conception et de mise en œuvre.

S'y rajoute le lancement de la seconde tranche du lotissement de la Croix du Parc, destiné à accueillir 13 logements[16].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Le territoire est traversé par la route nationale 13 menant à Valognes, Caen et Paris au sud et à Cherbourg au nord. Elle croise la route départementale no 56 au nord, qui permet de rejoindre Saint-Martin-le-Gréard à l'ouest et Le Theil au nord-est. Le bourg y est relié par la D 50 qui se prolonge au sud-ouest vers Sottevast. Passant au nord du bourg, la D 119 permet l'accès à la N 13 et se prolonge à l'est vers Ruffosses. Elle mène également à Saint-Martin-le-Gréard à l'ouest. D'autres départementales parcourent la commune permettant l'accès aux autres communes limitrophes et aux différents lieux-dits.

La commune est desservie par le transport en commun départemental par bus (Manéo) via la ligne 001 Cherbourg-en-Cotentin - Valognes - Carentan - Saint-Lô.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Brutius vers 825 (Geste de Fontenelle), Bruoto en 1026 et 1027 (copie XVIIe siècle), Bruis, Bruiz et Bruys entre le XIe et le XIVe siècle, Bris en 1399[17].

Les toponymistes Albert Dauzat et François de Beaurepaire ont considéré Brix comme une formation toponymique obscure et ne proposent aucune hypothèse[18],[17]. Seul ce dernier croit reconnaître un radical Brut- sans doute prélatin et que l’on retrouverait dans Bruz (Ille-et-Vilaine, Brud 1067, Bruth 1084)[17].

Remarques : ces deux auteurs ne rapprochent pas Brix de Bruys (Aisne, Bruyt 1507, Bruy XVIIIe siècle[18]). D'un point de vue phonétique l'ancienne diphtongue [yi] s'est réduite à [i], comme on le constate par exemple dans buisson > bisson ou bruyère > brière, d'où Bruis > Bris, ce qui relève d’une tendance du français populaire cf. et pis pour et puis[19]. En revanche, l'anglo-normand a produit [y], puis [u], d'où Bruis > Brus, Robert de Bruis ou de Brus cf. ancien français ruile « règle » > anglais rule. Cette tendance est aussi observée en normand : pucher / puchi « puiser »; chure (Cotentin) [tʃyre] « cuire », etc.[19].

Le gentilé est Brion. Brix est également indirectement à l'origine du prénom anglais Bruce, qui procède du nom de la famille de Brus[20].

Histoire[modifier | modifier le code]

Le vicus de Brix, site d'une résidence aristocratique, documentée au IXe siècle par la Chronique de Fontenelle, établi d'après cette chronique « sur le replat d'une colline élevée, bordée au midi par une rivière nommée Undva », présente l'aspect d'un éperon barré, défendu à l'ouest par un talus fossoyé de plus de 8 m de haut, englobant une enceinte d'environ 500 m de long sur 250 m de large[21].

Préhistoire[modifier | modifier le code]

Brix est un village édifié à l’intérieur d’une fortification protohistorique[22]. Près du prieuré de la Luthumière fut découvert un gisement datant du bronze ancien[23].

L'occupation précoce du site est attestée dès 1861, quand l'abbé de la paroisse, Le Goupils, signale la présence d'un « haut mur ». Celui-ci est le vestige, long de 250 mètres et haut de 6 mètres, d'un talus, exemple de système défensif de type éperon barré. Les artéfacts retrouvés fortuitement à l'intérieur de l'éperon, ainsi que ceux trouvés dans l'enceinte du château d'Adam, se rapportent à une première occupation au début de l'âge du fer, et une deuxième jusqu'à la fin de l'empire romain où le lieu servit probablement de poste de surveillance de la voie romaine de Cosedia (Coutances) à Coriallo (Cherbourg), via Alauna (Valognes)[24].

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Vers le milieu du VIIIe siècle, Brix devient un lieu de pèlerinage pour les reliques de saint Georges et un morceau de la Vraie Croix, trouvés sur la côte de Portbail. Selon la légende issue des chroniques de l'abbaye de Fontenelle, le seigneur de Cherbourg et les religieux appelés pour décider de la découverte, déposèrent le tout dans un chariot tiré par deux vaches livrées à la déambulation « …sans conducteur et sans guide, au lieu qui jusqu'à présent s'est appelé Brucius et qui appartenait à un homme illustre… ». Afin d’accueillir les reliques, ont construisit une basilique et deux églises. Dans l'état de nos connaissance, mis à part peut-être la localisation de l'église, on ignore l'emplacement de ces édifices et ce qu'il advint du système de défense lors des incursions bretonnes (cf. traité de Compiègne) et scandinaves du IXe siècle[25].

Robert Bruce[Note 6], seigneur de Brix, et ses deux fils, Adam (Adelme) et Guillaume et 200 villageois de Brix, accompagnèrent Guillaume de Normandie à Hastings en 1066. Ils reçurent des terres du comté d'York[27].

Un prieuré Saint-Pierre est fondé en 1106 par Adam de Bruis, évêque de Coutances, à la Luthumière[28], dépendant de l'abbaye de Saint-Sauveur-le-Vicomte. Un château en ce même lieu sera le siège d'une baronnie dont le titre, transmis par les Goyon de Matignon, est aujourd'hui porté par le prince de Monaco. Une autre baronnie est fondée, ayant pour siège le château d'Adam, construit par Adam de Brix[29]. De cette dernière baronnie seront issus des rois d'Écosse, dont Robert de Bruce (les de Brix étant également appelés de Bruce).

Les barons de Brix avaient droit de séance à l'échiquier de Normandie[29].

Une foire annuelle dite de la Saint-Denis se tenait le 9 octobre[30].

Temps modernes[modifier | modifier le code]

La paroisse avait en 1594 pour seigneur Antoine de La Luthumière ( 1619), baron de La Luthumière, et également seigneur de La Haye-d'Ectot, auquel succéda son fils, François Le Tellier de La Luthumière (1579-1658), seigneur et patron de Brix, La Haye-d'Ectot et autres seigneuries, gouverneur de la ville et du château de Cherbourg. Son fils, aussi nommé François Le Tellier de La Luthumière (1617-1699), fonda le séminaire de Valognes [27]. Marie-Françoise de La Luthumière (1625-1695), fille et seule héritière de François, épousa le , Henri de Matignon (1633-1682), comte de Torigni et lieutenant du roi en Normandie.

La baronnie de la Luthumière est devenue possession des princes de Monaco par Jacques IV Goyon de Matignon[31].

Au XVIe siècle, Brix accueille une verrerie, proche de la rivière de Claire. C'est Pierre de Belleville, qui monté en Cotentin et qui travailla en 1548 à la verrerie du Breuil à Couville, s'installe à Brix en 1549 et y fonde avec son frère Guillaume, ainsi que ses deux cousins, Anebert et Nicolas la verrerie de Belleville[32],[33].

En 1773, le fisc de Brix perdit le bailliage au profit de Valognes[34].

Révolution française et Empire[modifier | modifier le code]

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

En 1929, Brix (1 675 habitants en 1926) cède, ainsi que Négreville et Tamerville, une partie au sud-est de son territoire pour la création de la commune de Saint-Joseph (556 habitants en 1931)[35],[36].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Cherbourg-Octeville du département de la Manche.

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Valognes[35]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton de Valognes

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la troisième circonscription de la Manche.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Brix était membre de la communauté de communes du Bocage valognais, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2000 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Cette intercommunamité fusionne avec la communauté de communes du canton de Bricquebec-en-Cotentin pour former, le , la communauté de communes du Cœur du Cotentin

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du , une nouvelle fusion intervient le pour former une vaste intercommunalité dont le territoire est constituée par toute la pointe du Cotentin, la communauté d'agglomération du Cotentin, dont est désormais membre la commune.

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Lors du premier tour des élections municipales de 2014 dans la Manche, la liste SE menée par Noëlle Benoist obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 757 voix (69,70 %, seize conseillers municipaux élus dont trois intercommunaux), devançant très largement celle également SE menée par Philippe Vautier, qui a recueilli 329 voix (30,29 %, 3 conseillers municipaux élus).
Lors de ce scrutin, 35,43 % des électeurs se sont abstenus[37].

Lors des élections municipales de 2020 dans la Manche, une seule liste, menée par le maire sortant DVD Pascal Lebruman se présente et est donc élue en totalité avec 456 voix. Lors de ce scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 71,99 % des électeurs se sont abstenus et 9,16 % des votants ont choisi un bulletin blanc ou nul[38].

À la suite de dissensions au sein du conseil municipal, plus d'un tiers de ses membres ont démissionné entre 2021 et 2022, amenant l'organisation de nouvelles élections municipales le [39],[40].
Lors de ce scrutin, la liste menée par Sophie Buhot obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 539 voix (65 %, 16 conseillers municipaux élus), devançant très largement celle menée par Christian Vimont, ancien maire-adjoint, qui a recueilli 288 voix (35 %, 3 conseillers municipaux élus).
53,42 % des électeurs se sont alors abstenus[41].

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Compte tenu de la population de la commune, son conseil municipal est composé de dix-neuf membres dont le maire et ses adjoints[42].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires[27]
Période Identité Étiquette Qualité
'
…1792 1792… René Hamel    
…1793 1793… Christophe Adam    
…1796 1798… René Hamel    
…1799 1799… Jacques Le Roux    
1800 1813[43] Jouachin Morin    
1813 1822 G. Travert du Mouchel    
1822 1824 J.L. Leroux-Baspre    
1824 1831 Pascal Vrac    
1831 1832 Bon tienne Meurdrac    
1832 1843 Jean-René Hamel[44]    
1843 1846 Eugène Mabire    
1847 1848 Jean-François Laisne    
1848 1864[45] Pascal Vrac    
1864 1868[46] Frédéric Vrac    
1868 1874 Charles-Louis Leroy    
1874 1878 Pierre Langevin    
1878 1884 Germain Hadoy    
1884 1888 Victor Hadoy    
1888 1929 Charles Pasquier    
1929 1959 Désiré Pasquier    
1959 1965 Noël Caen    
1965 mars 1983 Jean Allix    
mars 1983 mars 2001 Désiré Pasquier   Maire honoraire
mars 2001[47] mars 2014 Daniel Lebunetel DVD Chef d'entreprise
Vice-président de la CC du Bocage valognais
Vice-président de la CC du Cœur du Cotentin
mars 2014[48] janvier 2017[49] Noëlle Benoist DVD Inspectrice des finances publiques
Vice-présidente de la CC du Cœur du Cotentin
Démissionnaire
janvier 2017[50] février 2023 Pascal Lebruman[51] SE-DVD Contrôleur en radioprotection
Mandat écourté par la démission d'une partie du conseil municipal
février 2023[52],[53] En cours
(au 9 février 2023)
Sophie Buhot SE Assistante dentaire et aide prothésiste

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

La commune dispose de la salle socio-culturelle du Haut-Mur.

Enseignement[modifier | modifier le code]

Les enfants de Brix sont scolarisés dans une école qui, en 2019-2020, accueille 186 élèves d'âges maternel et primaire[54].

Santé[modifier | modifier le code]

Le bourg accueille un cabinet médical[16].

Postes et télécommunications[modifier | modifier le code]

Après la fermeture du bureau de poste en juillet 2021 et celle d'un premier point relai, un accueil postal est assuré depuis 2022 au bar-épicerie-tabac « L’Horizon »[55],[56].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[57]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[58].

En 2021, la commune comptait 2 149 habitants[Note 7], en augmentation de 1,66 % par rapport à 2015 (Manche : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 6532 9542 8233 2503 0883 0553 0042 8072 756
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 6152 4852 5172 2892 1812 1632 1142 1992 054
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 9311 8741 8261 6331 6751 5571 5371 5031 443
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
1 4471 3571 3231 6001 8281 9282 0202 0692 127
2021 - - - - - - - -
2 149--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[59].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Le premier week-end d'octobre voit se dérouler dans cette commune la foire Saint-Denis, une des grandes foires annuelles traditionnelles du Cotentin[60].

Sports et loisirs[modifier | modifier le code]

L'Association sportive de Brix fait évoluer trois équipes de football en divisions de district[61].

La sixième Bri'zeuse, un ensemble de trails et de marches, est organisée le par le FC B2S dans les champs et chemins de Brix[62].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Le château de Brix ou château d'Adam
Le château d'Adam (XIe – XIIIe siècles), rasé en 1215 sous les ordres de Philippe Auguste, est le plus ancien monument de la commune de Brix. Il tire son nom d'Adam de Bruis ou de Brix, seigneur du lieu, vivant au XIe siècle. Vers 1026, Richard III concède en douaire à sa fiancée la duchesse Adèle plusieurs propriétés dont la forteresse de Brix[63].
Il s'agit d'une enceinte formée par une importante levée de terre avec son fossé, et cour intérieure, le tout placé au sommet d'un éperon barré. Cette enceinte principale est accompagnée vers l'ouest d'une basse cour elle-même protégée par une butte et son fossé. Cette dernière enceinte n'est plus que partiellement visible.
Jusqu'en 1204, des constructions de pierres existaient dans l'enceinte située au bout de l'éperon barré. Une tour ronde semble avoir commandé le lieu. Il n'en reste plus que des substructions difficilement lisibles.
L'emplacement a été racheté au XIXe siècle par une autre famille de Brix. En 1912, un château neuf a été construit sur une partie de l'ancienne basse cour, dans le style du XVIIIe siècle français. La Première Guerre mondiale n'en a pas permis l'achèvement, ce qui a sauvé de la destruction une maison presbytérale du XVIIe siècle.
Une levée de terre constitue le principal du Haut-Mur de Brix, la fortification du château initial[64].

On peut également signaler :

L'église Notre-Dame.
La stèle en l'honneur du pilote Lt Cary Lewis Gray, mort dans le crash de son avion.
Outre le colombier, subsiste de l'ancien manoir à cour fermée du XVIe siècle le corps de logis flanqué de pavillons[22]. Construit par la famille Mangon, vassale des seigneurs de la Luthumière, il est la possession au XIXe siècle d'Ernest Milcent (1854-1909).
  • Château du Mont-Épinguet : le château fut bâti sous le Premier Empire au début du XIXe siècle, dont il arbore le style au centre d'un plateau. En 1917 il est acquis par Lucien Ratti, propriétaire du grand magasin de Cherbourg, que les héritiers vendent en 1958[66].
  • Ferme-manoir de la Luthumière (XVIIe siècle). Le premier château est construit, après 1180, par Guillaume de Brix[67]. Catherine-Thérèse de Goyon de Matignon-Thorigny, petite fille de la duchesse d'Estouteville et épouse de Jean-Baptiste Colbert de Seignelay, y est née. Au décès de sa mère, elle reçoit les seigneuries d'Yvetot, de la Haye-d'Ectot et de Carteret[68].
  • Ancien prieuré Saint-Pierre-de la Luthumière (XVe – XVIIe siècles), créé par des donations effectuées par la famille de Brix et plusieurs autres seigneurs du Cotentin au profit des moines bénédictins de l'abbaye de Saint-Sauveur-le-Vicomte. Les moines reçoivent également le droit d’établir un moulin sur le cours de la rivière d’Ouve et celui de couper du bois dans les forêts environnantes pour leur chauffage, la construction et l’entretien de leurs bâtiments0[69].
Rampe de lancement de V1 au Château du Pannelier.
  • Château et chapelle du Pannelier (XIXe siècle).
  • Château Frémond (XIXe siècle).
  • Manoir du Val (XVIe siècle) et son colombier inscrit aux monuments historiques[65].
  • Église Notre-Dame (XIIe, XVIe – XVIIIe siècles) est remarquable par son porche gothique orné d’une Vierge à l'Enfant flanquée de mufles de lions.
Elle abrite un ensemble retable-maître-autel et une Vierge à l'Enfant dite « Notre-Dame des Neiges » du XVIIe siècle, œuvres classés au titre objet aux monuments historiques[70],[71]. L'église conserve également quelques fragments de sarcophages mérovingiens, des éléments sculptés de l’époque romane[22], des fonts baptismaux (XVIIe) à figures d’anges et une verrière (XIXe) de Claudius Lavergne[27].

Plusieurs chemins de randonnées sillonnent la commune.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Famille Bruce, ancienne graphie de Brix dont elle est originaire, dont des membres régnèrent sur l'Écosse à partir de 1306 avec Robert Ier dit Robert VIII de Bruce (1274-1329).
  • Hervé Dannemont, fils cadet d'un maître verrier de Brix, il quitte la Normandie pour l'île Bourbon, où il arrive le à bord du navire Le Taureau. Il est l'un des vingt premiers colons de l'île de Bourbon. Aujourd'hui, une trentaine de familles vit à La Réunion sous le patronyme un peu modifié de Dennemont. La famille Dannemont disparaît au XVIIIe siècle en se transformant en Dalmont.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Daniel Delattre et Emmanuel Delattre, La Manche les 602 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, , 280 p. (ISBN 978-2-9159-0709-4), p. 42.
  • René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 120.
  • Claude Pithois, Brix, berceau des rois d'Écosse, Condé-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, , 588 p. (ISBN 2-85480-965-3).

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Population municipale 2021, légale en 2024.
  2. Il s'agit de la commune déléguée de La Glacerie.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  6. Il possédait également de nombreux fiefs dans le Cotentin, dont Montaigu-la-Brisette dit la vicomté d'Alençon-en-Cotentin. Il serait le fils de Roger Ier dit Gomer[26].
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. « Carte géologique », sur Géoportail.
    Notice ici : lire en ligne [PDF]
    .
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Chiffres clés - Logement en 2019 à Brix » (consulté le ).
  2. « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Brix - Section LOG T2 » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Brix - Section LOG T7 » (consulté le ).
  4. « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la Manche » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr.
  2. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
  3. « Carrière de Brix : stockage de déchets jugé conforme », sur Ouest-France, .
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Brix et Cherbourg-en-Cotentin », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Cherbourg-homet » (commune de Cherbourg-en-Cotentin) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Cherbourg-homet » (commune de Cherbourg-en-Cotentin) - fiche de métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
  16. a et b « Nouveaux logements, bâtiment paramédical, MAM... Brix multiplie les projets : Les projets sont légion dans la commune de Brix (Manche). Nouveaux logements, bâtiment paramédical, maison d'assistantes maternelles… », La Presse de la Manche,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  17. a b et c François de Beaurepaire, Les noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, éditions Picard 1986, p. 89.
  18. a et b Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6).
  19. a et b René Lepelley, La normandie dialectale, Presses universitaires de Caen 1999, p. 76.
  20. (en) « Bruce », sur etymonline.com.
  21. « S'approprier la presqu'île : encadrement, contrôle territorial et développement des lieux de pouvoir », dans Laurence Jeanne, Laurent Paez-Rezende, Julien Deshayes, Bénédicte Guillot, et la collaboration de Gaël Léon, ArchéoCotentin, t. 2 : Les origines antiques et médiévales du Cotentin à 1500, Bayeux, Éditions OREP, , 127 p. (ISBN 978-2-8151-0790-7), p. 32.
  22. a b et c « Patrimoine. Un joli château et une vieille église du Cotentin à visiter ce mardi 5 juillet : Une visite est organisée, ce mardi 5 juillet 2022, à Brix (Manche). L'occasion de découvrir un joli château et une église de la commune », La Presse de la Manche,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  23. Davy 2014, p. 9.
  24. Michel Pinel (photogr. Patrick Courault), Châteaux et Manoirs de la Manche, t. 5, Rivages de France, coll. « Lumières et histoire », , 256 p. (ISBN 978-2-9561209-6-4), p. 33.
  25. Pinel 2023, p. 33.
  26. Davy 2014, p. 65.
  27. a b c d et e Gautier 2014, p. 120.
  28. « Site du diocèse de Coutances et Avranches - Pèlerinage à Saint Jouvin ».
  29. a et b Delattre, 2002, p. 42.
  30. Comité Gille de Gouberville et al. (préf. Annick Perrot, ill. Kévin Bazot, sous la direction de Julien Deshayes), Voyage en Cotentin avec Gilles de Gouberville, Éditions Heimdal, , 95 p., 30 cm, illustrations couleur (ISBN 978-2-84048-581-0, EAN 9782840485810, BNF 46897276), p. 77.
  31. « La Luthumière (baronnie de) / Lieux / Histoire et Patrimoine / Gouvernement et Institutions / Portail du Gouvernement - Monaco », sur gouv.mc (consulté le ).
  32. Université Inter-Âges de Basse-Normandie - Antenne de Cherbourg (préf. Rodolphe de Mons), Blasons armoriés du Clos du Cotentin, Condé-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, , 214 p. (ISBN 2-85480-543-7), p. 59.
  33. Voyage en Cotentin avec Gilles de Gouberville, 2021, p. 31.
  34. Davy 2014, p. 41.
  35. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Saint-Joseph », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le )..
  37. Résultats officiels pour la commune Brix.
  38. « Manche (50) - Brix », Résultats des élections municipales et communautaires 2020, Ministère de l'intérieur (consulté le ).
  39. Raphael Aubry, « Cinq élues démissionnent à Brix et dénoncent "des comportements inappropriés" du maire : Cinq conseillères municipales, dont la première adjointe, ont présenté leur démission la semaine dernière à Brix, au sud de Cherbourg. Elles reprochent au maire un climat de tensions au sein de la mairie, un manque de reconnaissance et des attitudes inappropriées », France Bleu,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  40. Corinne Gallier, « Cotentin. Après des démissions au sein de ce conseil municipal, il va falloir revoter ! : La démission de Sophie Buhot, première ajointe au maire de Brix (Manche), a été validée par le préfet. Les habitants de la commune vont donc devoir retourner aux urnes. », La Presse de la Manche,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  41. « Cotentin. Dans quelques jours, cette commune va avoir un nouveau maire : Des élections municipales étaient organisées ce dimanche 29 janvier 2023 à Brix (Manche), après les démissions d'un tiers des élus. La liste « Agir pour un avenir commun » a gagné », La Presse de la Manche,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  42. 2121-2 Article L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance.
  43. Décédé en exercice le .
  44. Annuaire du département de la Manche, 12e année, 1840, p. 228.
  45. Décédé en exercice le .
  46. Décédé en exercice le .
  47. « Jacques Coquelin et Christèle Castelein, candidats », Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  48. « Noëlle Benoist a été élue maire », Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  49. « Brix : Noëlle Benoist démissionne de ses fonctions de maire : Lors de la séance du conseil municipal de Brix, mercredi 28 décembre, consacrée à l'élection des conseillers communautaires, Noëlle Benoist, maire, a proposé sa candidature comme titulaire. Mais le conseil municipal en a décidé autrement », Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  50. « Brix. Un nouveau maire pour Brix », sur lamanchelibre.fr, La Manche libre (consulté le ).
  51. Réélu pour le mandat 2020-2026 : « Municipales 2020 : à Brix, Pascal Lebruman élu à l'unanimité pour un second mandat : Élu à l'unanimité le 15 mars dernier à Brix, Pascal Lebruman a procédé à l’élection des adjoints, au nombre de cinq, pour la commune de la Manche », La Presse de la Manche,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  52. « Brix. Sophie Buhot a été élue maire : Vendredi 3 février 2023, dans la salle du conseil municipal, Sophie Buhot a été élue maire de Brix (Manche). Elle était auparavant première adjointe », Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Sophie Buhot a été élue à l’unanimité des votants du nouveau conseil municipal ».
  53. Corinne Gallier, « Cotentin. Le même jour, Sophie Buhot est devenue maire... et grand-mère ! : Sophie Buhot a officiellement été désignée, le vendredi 3 février 2023, nouvelle maire de Brix (Manche), après les élections organisées le 29 janvier dans la commune », La Presse de la Manche,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Brionne depuis avril 2004, est entrée au conseil municipal en juin 2015, « en tant que simple conseillère ». Après avoir autrefois fait partie de l’association locale des parents d’élèves, elle cherchait par ce biais « à être active au niveau de la commune ». Par la suite, elle est devenue la première adjointe de Pascal Lebruman, après la démission à ce poste de Sylvie Gosselin-Grard au début de l’été 2021 ».
  54. Corinne Gallier, « A Brix, la sous-préfète rend visite aux enfants de retour à l'école : Ce mardi 14 mai 2020, la sous-préfète de Cherbourg, Elisabeth Castellotti, est allée faire une visite à l'école de Brix qui rouvrait ses portes pour une partie des élèves », La Presse de la Manche,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  55. « Après des années de combat, cette commune du Cotentin abandonne son bureau de poste : Le bureau de poste de Brix va prochainement fermer ses portes, après des années de lutte pour le maintenir ouvert. Le maire regrette cette décision », La Presse de la Manche,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  56. « Cotentin : après le bureau de Poste, le point relais de cette commune ferme lui aussi ses portes... : Suite à la fermeture du fleuriste du bourg, la commune de Brix (Manche) se retrouve sans point relais La Poste. Il est désormais transféré au bar-épicerie-tabac « L'Horizon » », La Presse de la Manche,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  57. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  58. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  59. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  60. Jean-Philippe Massieu, « Cotentin : à la foire millénaire de Brix, un dimanche gâché par la pluie : La foire millénaire de Brix (Manche) s'est achevé ce dimanche 2 octobre 2022. Une seconde journée gâchée, malheureusement, par les fortes pluies », La Presse de la Manche,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  61. « Site officiel de la Ligue Basse-Normandie – AS Brix » (consulté le ).
  62. « Cotentin : la Bri'zeuse revient en mai avec une grande nouveauté : Organisés par le FC B2S, les trails et marches de la Bri'zeuse reviennent pour une 6e édition le samedi 28 mai 2022, avec une nouvelle course de 42 km », La Presse de la Manche,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  63. Stéphane William Gondoin, « Les châteaux forts au temps de Guillaume le Conquérant », Patrimoine normand, no 94,‎ juillet-août-septembre 2015, p. 36 (ISSN 1271-6006).
  64. Serge Martin, « Histoire du Cotentin : d'où vient l'appellation du Haut-Mur ? : A Brix (Manche), la salle socioculturelle du Haut-Mur est connue de tous. Mais savez-vous d'où provient l'appellation du Haut-Mur ? », La Presse de la Manche,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  65. a et b « Manoir du Val », notice no PA00110348, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  66. Norbert Girard et Maurice Lecœur, Trésors du Cotentin : Architecture civile & art religieux, Mayenne, Éditions Isoète, , 296 p. (ISBN 978-2-913920-38-5), p. 270.
  67. André Davy, Les barons du Cotentin, Condé-sur-Noireau, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits et introuvables du patrimoine Normand », , 319 p. (ISBN 978-2-91454-196-1), p. 66.
  68. Girard et Lecœur 2005, p. 20.
  69. a et b « Cotentin : une visite guidée pour découvrir un prieuré et une chapelle : Une visite guidée est organisée le mardi 17 août 2021 par le Pays d'art et d'histoire, au prieuré de la Luthumière et à la chapelle Saint-Jouvin (Manche) », La Presse de la Manche,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  70. « Maître-autel, tabernacle, retable, portes », notice no PM50000150.
  71. « Statue : Vierge à l'Enfant, dite Notre-Dame des Neiges », notice no PM50000149.
  72. Guy Le Hallé (préf. Hervé Morin, photogr. Yves Buffetaut), Châteaux forts de Basse-Normandie, t. II, Louviers, Ysec Éditions, , 160 p. (ISBN 978-284673-215-4), p. 82 (Brix).
  73. « Parc de Clair Bois », notice no IA50000262.
  74. « Jardin de Clairbois », notice no JAR0000253, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.