Bricquebec

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Bricquebec
Bricquebec
Vue du centre de Bricquebec et du château.
Blason de Bricquebec
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Cherbourg-Octeville
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Cotentin
Statut commune déléguée
Maire délégué
Mandat
Denis Lefer
2020-2026
Code postal 50260
Code commune 50082
Démographie
Gentilé Bricquebétais
Population 4 104 hab. (2020)
Densité 126 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 28′ 12″ nord, 1° 37′ 45″ ouest
Altitude Min. 7 m
Max. 161 m
Superficie 32,66 km2
Élections
Départementales Bricquebec
Historique
Commune(s) d'intégration Bricquebec-en-Cotentin
Localisation
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Bricquebec
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Bricquebec

Bricquebec est une ancienne commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, devenue le une commune déléguée au sein de la commune nouvelle de Bricquebec-en-Cotentin[1].

Elle est peuplée de 4 104 habitants[Note 1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Les hivers relativement doux caractéristiques d'un climat océanique permettent la culture de palmiers ou de camélias.

La ville de Bricquebec se situe au centre de la péninsule du Cotentin, à environ 20 km au sud de la côte nord, 15 km de la côte ouest et 25 km de la côte est de la presqu'île. Elle occupe le fond d'une cuvette naturelle de quelques kilomètres de diamètre, dont les pentes sont visibles par exemple au travers de la côte de Cattigny qui mène au nord vers Cherbourg via Quettetot. La rivière l'Aizy, affluent de la Scye, traverse la ville du nord vers le sud.

Les principaux axes routiers relient Bricquebec à Cherbourg au nord, Saint-Sauveur-le-Vicomte au sud D 900, Valognes à l'est et Barneville-Carteret au sud-ouest (D 902). Cette situation de nœud routier a probablement joué un rôle dans le développement de la bourgade, qui aujourd'hui s'étire schématiquement sur 3 km le long des routes de Valognes, Barneville-Carteret et de l'axe secondaire qui mène vers Surtainville à l'ouest. La possibilité de surveiller les collines environnantes depuis l'emplacement qui au Moyen Âge sera occupé par le château fut sans doute aussi un élément déterminant.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Hôtel de ville de Bricquebec.

Le nom de la localité est attesté sous les formes Bricrebec en 1050-1066, Brichebec en 1180, Brikebec, Brichebec au XIIe siècle[2].

Il s'agit d'un composé toponymique avec deux appellatifs : le second élément -bec représente manifestement l'ancien normand bec « ruisseau » issu du norrois bekkr « cours d'eau »[2].

Le premier élément Bricque- est plus difficilement identifiable : peut-être faut-il y voir le vieux norrois brekka « pente »[2], mais dans ce cas, il serait devenu Brecque- et il serait situé en seconde position, comme dans le microtoponyme Houllebrecque à Saint-Aubin-de-Crétot[3]. Reste le vieux norrois bryggja « pont » ou encore Briki, anthroponyme norrois déjà rencontré dans les Bricqueville[2], cependant le nom de personne Briki est hypothétique et devrait être noté *Briki. Les mêmes éléments se retrouvent aussi dans Bricquebosq (Brichebot v. 1100, Brickebo 1224), Bricquebost (avec, à côté, le hameau de Bricqueville), Briquedalle à Sassetot-le-Mauconduit, Briquemare à Cauville-sur-Mer et peut-être Briquetonne à Saint-Aubin-sur-Risle.

Le gentilé est Bricquebétais.

Histoire[modifier | modifier le code]

La toponymie atteste l'importance de l'apport scandinave dans le développement régional, et en effet peu de vestiges significatifs témoignent de l'occupation du site avant la fin du Haut Moyen Âge. André Davy signale une allée couverte pour la période du Néolithique moyen[4]. La présence éparse de fragments de tuiles et artefacts gallo-romains laisse néanmoins penser à une occupation rurale relativement dense[5].

La tradition attribue la fondation de la place forte et de la baronnie qui s'y installe, aux alentours de l'an Mille, au normand Anslech, d'origine scandinave[Note 2], un personnage proche du duc de Normandie Guillaume Longue Épée (c.927-942). Ses descendants prirent le nom de Bertrand, et ils possédèrent cette baronnie jusqu'au milieu du XIVe siècle[6]. L'édifice original devait revêtir l'aspect d'une motte féodale, forme primitive du château médiéval. Il est probable que cette construction ait eu pour objet d'affermir l'emprise ducale sur ces territoires occidentaux récemment conquis sur les Bretons.

En , le roi de France, Charles le Bel, concède des droits à Robert VIII Bertrand, bailli du Cotentin, sur la création de deux nouvelles foires annuelles : la Saint-Nicolas de mai à l'Étang-Bertrand, et la Sainte-Catherine à Bricquebec, en dédommagement de frais financiers à la suite d'une tournée des divers points du Cotentin, dans l'éventualité d'une attaque anglaise, qui durât quarante-sept jours[7].

En 1332, une charte donnée par Jean, duc de Normandie, fils aîné du roi de France et futur Jean le Bon, pour la forêt de Bricquebec, exempte les barons de Bricquebec du « tiers et danger » (droits à verser au roi sur les ventes de tout bois)[8]. Au milieu du XIVe siècle, la baronnie passa dans la famille de Paisnel, baron de Hambye, puis dans celle d'Estouteville. Lors de l'occupation anglaise, la baronnie fut la possession du comte de Suffolk, puis au sire Berty-Entwizle, et après la bataille de Formigny en 1450, elle revint aux d'Estouteville, puis passa dans la famille de Bourbon Saint-Paul et d'Orléans Longue-Ville, et enfin dans celle de Matignon qui en fut dépossédée en 1792[6].

À la Libération, l'affaire Élisa Lefèbre de Plinval est jugée devant la cour de justice de la Manche, du au [9].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Bricquebec

Les armes de la commune de Bricquebec se blasonnent ainsi :
D'or au lion de sinople armé et lampassé de gueules.

Ce blason ('le lion vert') fut celui de la célèbre famille Bertrand et du maréchal de France Robert VIII Bertrand de Bricquebec.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[10]
Période Identité Étiquette Qualité
1944 1946 Ferdinand Lucas   Capitaine de gendarmerie
1946 mars 1963
(décès)
Marcel Grillard Ind. Industriel laitier
Conseiller général de Bricquebec (1949 → 1963)
avril 1963 mars 1977 Joseph Thiébot DVD Notaire, ancien adjoint au maire
Conseiller régional de Basse-Normandie (1974 → 1977)
Conseiller général de Bricquebec (1945 → 1949 et 1963 → 1989)
mars 1977 septembre 1996
(décès)
Paul Philippe DVD PDG des carrières Leroux-Philippe
octobre 1996 avril 2014 Henri-Louis Védie RPR
puis UMP
Professeur à HEC
Conseiller régional de Basse-Normandie
Conseiller général de Bricquebec (1989 → 2001)
Vice-président du conseil général
avril 2014[11] décembre 2015 Patrice Pillet UMP Docteur vétérinaire
Conseiller général de Bricquebec (2001 → 2015)
Pour les données antérieures, dérouler la boîte ci-dessous.
Liste des maires délégués
Période Identité Étiquette Qualité
janvier 2016[12] mai 2020 Patrice Pillet UMP-LR Vétérinaire
Maire de Bricquebec-en-Cotentin (2016 → 2020)
Conseiller départemental (2015 → 2020)
mai 2020[13] En cours Denis Lefer DVD Chef d'entreprise retraité
Maire de Bricquebec-en-Cotentin (2020 → )

Démographie[modifier | modifier le code]

En 2020, la commune comptait 4 104 habitants. Depuis 2004, les enquêtes de recensement dans les communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans (en 2006, 2011, 2016, etc. pour Bricquebec[14]) et les chiffres de population municipale légale des autres années sont des estimations[Note 3].

           Évolution de la population  [modifier]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
4 2664 0004 3454 3494 2554 4144 4844 5044 446
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
3 9883 9693 7793 6223 6673 7573 6473 6612 761
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 7782 8172 8162 5362 5962 6042 6822 8822 732
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
2 8733 0633 1423 7244 3634 3604 2214 2604 087
2019 - - - - - - - -
3 972--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[15] puis Insee à partir de 2006[16].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

  • Marché tous les lundis matin.
  • Foire Sainte-Anne.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Vestiges du château.
Rempart.
Statue du général Le Marois.

À la suite de la création du pays d'art et d'histoire du Clos du Cotentin en 2001, Bricquebec bénéficie avec Valognes et Saint-Sauveur-le-Vicomte du label Villes et Pays d'art et d'histoire accordé par le ministère de la Culture.

  • Château de Bricquebec des Xe – XIVe siècles. Le Vieux château des Bertran classé aux monuments historiques[17], fondé au XIIe siècle, est l'un des mieux préservés de la région, avec ses remparts, ses tours (XIVe siècle et son donjon polygonal. La Tour de l'Horloge abrite un petit musée régional (meubles, médailles, minerais)[18]. Le château de Bricquebec est dominé par l'imposante silhouette du donjon. Ses 22 mètres de haut viennent s'ajouter aux 18 mètres de la motte sur laquelle il est assis. Il est séparé du châtelet d'entrée, appelé tour de l'Horloge dominée de son clocheton, par une forte courtine. Le chartrier[Note 4], enserré dans le rempart, renfermait quelque 8 482 pièces d'archives[8].
  • Château des Galleries du XVIe siècle. Ancienne propriété des d'Estouteville et actuelle propriété de la famille de Trémiolles, il est inscrit aux monuments historiques[19].
  • Château Saint-Blaise et jardin d'hiver du XVIIIe siècle[20]. Le château est bâti dans le 4e quart du XVIIIe siècle par René de Traynel, né en 1759, fils de Charles-Auguste Traisnel (1723-1780)[21], avec l'aide de la dot de 100 000 livres de son épouse Marie Fouques de Teufles[22], au centre d'un parc de 18 hectares. À noter également les communs qui méritent d'être vu. Dans la seconde moitié du XIXe siècle on lui adjoint un pavillon et on construit un haras dans les dépendances. À l'intérieur, en réemploi dans une salle du rez-de-chaussée, une cheminée du XVIIe provenant du château de Sotteville amenée ici par Marcel Grillard au début du XXe siècle[23]. Le jardin d'hiver est édifié dans la seconde moitié du XIXe siècle. Le château fait l'objet d'un recensement à l'inventaire général des monuments historiques[24].
  • Manoir du Quesnay du XVIIe siècle. En 1646, la terre du Quesnay est la possession de maître Jacques Cheron[25]. Elle est ensuite entre les mains de Jacques Le Poitevin du chef de sa femme, Anne Cheron. Se succèdent, Charles-Auguste Le Poitevin, né à Bricquebec le , écuyer, qualifié de sieur du Quesnay, puis de son frère utérin Adrien-François Pinel ( 1761), écuyer, patron et seigneur de Golleville. Son fils, Jean-Charles-Adrien Pinel (1756-1833) vend le Quesnay le à maîtres Magloire Née et Pierre-François Née[26], qu'ils revendent par acte du , pour 35 250 livres, à René-Louis Traynel, écuyer, sieur de Saint-Blaise, seigneur et patron de Bolleville, résidant en son château des Vallées à Bricquebec (actuel château Saint-Blaise). Le domaine passe à son fils Jules de Traynel (1784-1833), maire de Bricquebec, puis par partage du au fils de ce dernier Henri de Traynel (1831-1893), qui le vend le à M. Auguste Sébire. Sans postérité, ce sont ses neveux qui hérite du domaine. Le château sera vendu aux enchères le à M. Auguste Travers, dont les descendants y résident encore [27].
  • Manoir de la Ramée du XVIe siècle. Le manoir est décrit dans l'acte de vente du entre Olive Le Roux et Georges Le Roux ainsi : « un corps de logis construit de « villes pierres » (grès armoricain) et couvert d'ardoise et d'une autre maison à usage de grange. ». La ferme actuelle est construite par Georges Le Roux. Antoine Le Sage, sieur du Longval, devenu propriétaire de la Ramée en 1748 en modifie les dispositions intérieures, et le manoir est profondément remanié par François Vattier qui en fait l'acquisition le [28].
  • Manoir de la Tourelle du XVIe siècle.
  • Manoir des Petits Prés du début du XVIe siècle). En 1508, Guillaume Le Verrier en fait aveu à Guyon d'Estouteville, baron de Moyon, Bricquebec et Gacé[29]. Le , Guillaume Le Verrier fait aveu pour sa terre des Petits Prés au baron de Bricquebec[30]. François Le Verrier, la vend le à Jean-Pierre Loir, chevalier, seigneur du Lude, baron de Néhou, habitant à Saint-Sauveur-le-Vicomte, contre la somme de 10 000 livres de principal et 500 litres de vin[31]. Daniel-Raoul Loir la revend le à maîtres Jean Deschateaux et Joseph Deschateaux, frères, pour le prix de 12 000 livres[32].
  • Le Piqueret de la fin du XVIe siècle. La terre du Piqueret est dans la dernière partie du XVIe siècle la possession de Philippe Coller, sieur de Sainte-Barbe, et passe à sa fille, Annette Coller, puis au fils cadet de cette dernière, Philippe Pinel, sieur du Danois et Darnetal[33]. Vincent Pinel, sieur d'Éroudeville, au profit de François-Alexandre Guillebert, résident à Vasteville. En 1775, y habitait Jean Le Laidier et sa famille[34].
  • Abbaye cistercienne Notre-Dame-de-Grâce du XIXe siècle, dite La Trappe[35]. Elle fut fondé par Bon Onfroy (1777-1857, né à Réville, curé de Digosville, qui fonda en 1824 un prieuré qui deviendra en 1836 l'abbaye Notre-Dame-de-Grâce, et dont il sera le premier abbé sous le nom de Dom Augustin[35].
  • Vestiges de l'ancienne église paroissiale Notre-Dame des XIIe – XVIe siècles détruite en 1897. Il n'en subsiste que trois arcades à chapiteaux romans à la sortie de la ville en direction de Saint-Sauveur-le-Vicomte qui marque son emplacement, et son portail roman qui a été remonté dans la rue de la République (rue principale), près de la poste[36].
  • Église néogothique Notre-Dame de l'Annonciation du XIXe siècle. Elle abrite quatre œuvres classées au titre objet aux monuments historiques : un bas-relief la Prédication de saint Jean-Baptiste dans le désert (XVe), calice et sa patène (XVIIe), un tableau le Sauveur tenant le Monde (XVIIe) et chasuble, deux dalmatiques, deux étoles, trois manipules, un voile de calice et une bourse de corporal[35].
  • Ermitage Sainte-Anne des Bois du XIIe siècle.
  • Hôtel de ville des XIXe – XXe siècles.

Activité et manifestations[modifier | modifier le code]

Jumelages[modifier | modifier le code]

Manifestations[modifier | modifier le code]

  • La Sainte-Anne, grande fête foraine traditionnelle, le dernier week-end de juillet.

Personnalités liées[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Farid Abdelouahab (dir.) (préf. Jack Lang), Regards objectifs : Mieusement et Lesueur photographes à Blois, Paris, Somogy, , 183 p. (ISBN 2-85056-436-2), p. 59.
    Photographie de Séraphin-Médéric Mieusement du château et de la statue du général Le Marois.
  • Daniel Delattre et Emmanuel Delattre, La Manche les 602 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, , 280 p. (ISBN 978-2-9159-0709-4), p. 39-40.
  • René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 115.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Population municipale 2020.
  2. Asleikr ; cf. Anlec, patronyme encore attesté à Hémevez en 1420 et dans tous les Anneville de Normandie.
  3. Dans le tableau des recensements et le graphique, par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu, pour les populations légales postérieures à 1999 de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique que les populations correspondant à l'année 2006, première population légale publiée calculée conformément aux concepts définis dans le décret no 2003-485 du 5 juin 2003, et les années correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee.
  4. La famille de Gontaut-Biron a accepté de déposer le chartrier de Bricquebec aux Archives départementales de la Manche.

Références[modifier | modifier le code]

  1. « recueil des actes administratifs de la Manche » (consulté le ).
  2. a b c et d François de Beaurepaire (préf. Yves Nédélec), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, Paris, A. et J. Picard, , 253 p. (ISBN 2-7084-0299-4, OCLC 15314425), p. 87-88.
  3. (en) Eilert Ekwall (en), The Concise Oxford Dictionary of English Place-names, Oxford, Oxford University Press, , 4e éd..
  4. André Davy, Les barons du Cotentin, Condé-sur-Noireau, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits et introuvables du patrimoine Normand », , 319 p. (ISBN 978-2-91454-196-1), p. 8.
  5. Consulter l'inventaire archéologique de la Manche, disponible par exemple à la bibliothèque municipale de Valognes.
  6. a et b Delattre, 2002, p. 39.
  7. Davy 2014, p. 136.
  8. a et b Jack Lepetit-Vattier, « La baronnie de Bricquebec - L'emprise d'un grand domaine seigneurial », Vieilles maisons françaises (vmf), patrimoine en mouvement, no 232,‎ , p. 23-24 (ISSN 0049-6316).
  9. Jean-François Miniac, Les Nouvelles Affaires criminelles de la Manche, De Borée, Paris, avril 2012.
  10. Jacques Blin, étude sur les maires des communes du canton de Bricquebec à partir des registres d'état civil
  11. « Patrice Pillet devient premier magistrat de la commune », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  12. « Bricquebec-en-Cotentin a élu son maire et ses adjoints », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  13. « Denis Lefer premier magistrat de la cité du Donjon », sur actu.fr, La Presse de la Manche (consulté le ).
  14. Date du prochain recensement à Bricquebec, sur le-recensement-et-moi.fr, site spécifique de l'Insee.
  15. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  16. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 20112012201320142015 2016 2017 2018 .
  17. « Restes du château », notice no PA00110344, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  18. Musée du vieux château.
  19. « Château des Galleries », notice no PA00110345, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  20. Norbert Girard et Maurice Lecœur, Trésors du Cotentin : Architecture civile & art religieux, Mayenne, Éditions Isoète, , 296 p. (ISBN 978-2-913920-38-5), p. 233.
  21. Gautier 2014, p. 99.
  22. Girard et Lecœur 2005, p. 27.
  23. Michel Pinel (photogr. Patrick Courault), Châteaux et Manoirs de la Manche, t. 5, Rivages de France, coll. « Lumières et histoire », , 256 p. (ISBN 978-2-9561209-6-4), p. 22.
  24. « Château de Saint-Blaise », notice no IA50000080, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  25. Lepetit-Vattier 2001, p. 40.
  26. Lepetit-Vattier 2001, p. 47.
  27. Lepetit-Vattier 2001, p. 48.
  28. Lepetit-Vattier 2001, p. 68-72.
  29. Jack Lepetit-Vattier, Demeures de Bricquebec et de ses environs, Saint-Lô, Société d'Archéologie et d'Histoire de la Manche, coll. « Études et documents », , 306 p. (ISBN 2-914329-03-2), p. 23.
  30. Lepetit-Vattier 2001, p. 24.
  31. Lepetit-Vattier 2001, p. 26.
  32. Lepetit-Vattier 2001, p. 27.
  33. Lepetit-Vattier 2001, p. 31.
  34. Lepetit-Vattier 2001, p. 37.
  35. a b et c Gautier 2014, p. 115.
  36. Girard et Lecœur 2005, p. 55.