Bazincourt-sur-Epte

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Bazincourt-sur-Epte
Bazincourt-sur-Epte
Vue de Bazincourt (Camille Pissaro, Brooklyn Museum).
Blason de Bazincourt-sur-Epte
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Eure
Arrondissement Les Andelys
Intercommunalité CC du Vexin Normand
Maire
Mandat
Hervé Glezgo
2020-2026
Code postal 27140
Code commune 27045
Démographie
Gentilé Bazincourtois
Population
municipale
781 hab. (2021 en augmentation de 3,17 % par rapport à 2015)
Densité 71 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 18′ 45″ nord, 1° 46′ 05″ est
Altitude Min. 52 m
Max. 139 m
Superficie 11 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Gisors
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Bazincourt-sur-Epte
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Liens
Site web https://www.bazincourt-sur-epte.fr/

Bazincourt-sur-Epte est une commune française située dans le département de l'Eure, en région Normandie.

Géographie[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

Bazincourt-sur-Epte est un village périurbain du vexin normand dans l'Eure, limitrophe de l'Oise, jouxtant le nord de Gisors et situé à 50 km à vol d'oiseau au sud-est de Rouen, 18 km au sud de Gournay-en-Bray, 26 km au sud-ouest de Beauvais, 38 km au nord-ouest de Pontoise et 66 km au nord-ouest de Paris.

Il est aisément accessible par le tracé initial de l'ancienne route nationale 15 reliant Pontoise à Dieppe.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Comme son nom le suggère, Bazincourt-sur-Epte est limité à l'est par le lit de l'Epte, l'un des affluents de la Seine.

L'association de pêche la Saumonière des Peupliers se trouve dans le village[2]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[4]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat des plateaux abrités », correspondant aux plaines agricoles de l’Eure, avec une pluviométrie beaucoup plus faible que dans la plaine de Caen en raison du double effet d’abri provoqué par les collines du Bocage normand et par celles qui s’étendent sur un axe du Pays d'Auge au Perche[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 724 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 8 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Jaméricourt à 8 km à vol d'oiseau[6], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 695,7 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Bazincourt-sur-Epte est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (61,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (65,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (45 %), forêts (31,4 %), prairies (16,7 %), zones urbanisées (6,8 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 327, alors qu'il était de 311 en 2014 et de 263 en 2009[I 1].

Parmi ces logements, 86,8 % étaient des résidences principales, 8,5 % des résidences secondaires et 4,7 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 98,7 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0,6 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Bazincourt-sur-Epte en 2019 en comparaison avec celle de l'Eure et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (8,5 %) supérieure à celle du département (6,3 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 90,6 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (91,7 % en 2014), contre 65,3 % pour l'Eure et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Bazincourt-sur-Epte en 2019.
Typologie Bazincourt-sur-Epte[I 1] Eure[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 86,8 85,3 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 8,5 6,3 9,7
Logements vacants (en %) 4,7 8,4 8,2

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Bucincurtis vers 1012 (charte de Richard II), Bucin curte vers 1024, Basincuria au XIVe siècle (aveu de Jean de Gisors)[16], Basincort en 1262 (Olim et pouillé d’Eudes Rigaud ).

Ce toponyme pourrait être issu d'un nom de personne germanique Businus + cortem, attiré par Basinus[16].

La référence à la rivière, l'Epte, a été ajoutée en 1950.

Histoire[modifier | modifier le code]

Ordonnance impériale de 1809, ordonnant la fusion de Bazincourt et Thierceville

Sous l'Ancien Régime, c'est une des sept « villes de Bleu », désignation des sept villages de la Seigneurie de Mainneville Amécourt, Tierceville, Saint-Denis-le-Ferment, Hébécourt, Heudicourt, Sancourt et Maineville, qui avait le droit de faire paître les bêtes et prendre du bois dans « la forêt de Bleu », partie de la forêt domaniale de Lyons, qui s'étendait jadis jusqu'à l'actuel bois de Gisors (autrefois « Buisson Bleu »)[17].

La commune est occupée par la Prusse lors de la Guerre franco-allemande de 1870 et les Prussiens fusillent 11 otages dont l'ancien maire auquel un monument commémoratif est inauguré dès le [18].

L'emplacement de la gare d'Éragny - Bazincourt en 2011.

A partir de 1870, le village devient proche de Paris par le chemin de fer. Il est desservi par la gare d'Éragny - Bazincourt de 1870 à 2009.

En 1809, une ordonnance impériale ordonne la fusion des communes de Bazincourt et de Thierceville et la municipalité de Thierceville est supprimée.

En avril 1884, le peintre impressionniste Camille Pissarro quitte Osny pour Éragny-sur-Epte. Ce village est situé sur la rive opposée de l'Epte par rapport à Bazincourt qui lui devient accessible à pied en quinze minutes ou moins, par une route qui traverse la rivière sur un petit pont[19]. Il réalise quarante vues du village, à diférents moments de la journée et des saisons[20].


Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement des Andelys du département de l'Eure.

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Gisors[21]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton de Gisors

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la cinquième circonscription de l'Eure.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Bazincourt-sur-Epte était membre de la communauté de communes Gisors-Epte-Lévrière, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2004 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec sa voisine pour former, le , la communauté de communes du Vexin Normand dont est désormais membre la commune.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1833 1848 Charles Heurteux[Note 3]    
avant 1870-1871   M. de Briey    
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 2014 Jean-Pierre Moneuse[22]   Animateur de formations professionnelles
Ancien maire-adjoint de Vauréal
2014 juillet 2020[23] Béatrice Lecat-Dumontier SE-DVG  
juillet 2020[24] En cours
(au 22 novembre 2022[25])
Hervé Glezgo SE-DVD Artisan

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[27].

En 2021, la commune comptait 781 habitants[Note 4], en augmentation de 3,17 % par rapport à 2015 (Eure : −0,5 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
217228271419468480495487503
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
462497452462466450446424457
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
498491480529421349318344392
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
332310316354496578626633744
2017 2021 - - - - - - -
757781-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

La commune de Bazincourt-sur-Epte compte plusieurs édifices inscrits à l'inventaire général du patrimoine culturel :

  • l'église Saint-Denis (XIe siècle, XIVe siècle et XVIIIe siècle)[29]. L'église a été construite au XIe siècle, agrandie au XIVe siècle et réaménagée au XVIIIe siècle (le chœur a notamment été déplacé à l'ouest)[30] ; la fondation du patrimoine s'associe à la préservation de l'édifice (2018) ;
  • Un beffroi a été construit place de l'église en 2022 afin de supporter la cloche « Hélène », coulée en 1733[25]. Cette cloche était celle de l'église de Thierceville, démolie à la suite de la fusion des deux communes en 1809[31].
  • un château du XIXe siècle au lieu-dit Thierceville[32] et la chapelle Sainte-Jovine (1841) ; la ville de Bobigny y entretient un centre de vacances[25]
  • deux châteaux forts : l'un dont la localisation est inconnue[33], l'autre situé au lieu-dit Saussart (route du Château Saussard)[34] ;
  • deux manoirs : l'un des XVIe et XVIIIe siècles au lieu-dit Thierceville[35], l'autre probablement du XVIIe siècle au lieu-dit les Ursulines[36].

On doit également signaler :

Beffroi de la cloche Hélène, inauguré en 2022

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Bazincourt-sur-Epte dans les arts et la culture[modifier | modifier le code]

Un livre retraçant l'histoire de la commune, "Bazincourt, Terre d'inspiration", rédigé par Pierre Molkhou, historien des collectivités, a été édité par la commune en 2021.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Bazincourt-sur-Epte Blason
De sinople à une aigle bicéphale d'argent, languée et armée de gueules, soutenue de deux tours d'argent, ouvertes et ajourées du champ, celle de dextre crénelée de deux merlons à dextre et celle de senestre de trois merlons, à la fasce ondée d'argent chargée d'un filet ondé de sable, en pointe[40].
Détails
  • L'aigle bicéphale représente l'union entre la commune et Thierceville, aujourd'hui hameau ; de plus elle est également reprise des armes d'Aymar de Mainneville (1552-1617), ancien seigneur du village.
  • Les deux tours rappellent l'existence de six constructions fortifiées dont un château qui fut détruit, d'où le merlon manquant.
  • L'onde est pour l'Epte qui arrose la commune.
  • Enfin, le sinople rappelle que Bazincourt est l'un des sept « villages de Bleu » qui avait un privilège d'utilisation de la forêt de Bleu.

    Création Romuald Deschamps en collaboration avec Pierre Molkou, adoptée le .

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Un square de la commune porte le nom de ce maire, fusillé par les Allemands pendant la Guerre de 1870-1871 : « Eure. Bazincourt-sur-Epte rend hommage aux 11 martyrs de 1870 : La municipalité de Bazincourt-sur-Epte, dans l’Eure, a inauguré, dimanche 10 octobre 2021, un square portant le nom de Charles Heurteux, maire de la commune entre 1833 et 1848. Il est l’un des onze hommes du village à être tombés sous les balles prussiennes, les 9 et 10 octobre 1870. Il avait 73 ans. Récit », Paris Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Chiffres clés - Logement en 2019 à Bazincourt-sur-Epte » (consulté le ).
  2. « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Bazincourt-sur-Epte - Section LOG T2 » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Bazincourt-sur-Epte - Section LOG T7 » (consulté le ).
  4. « Chiffres clés - Logement en 2019 dans l'Eure » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. « Géoportail (IGN), couche « Communes » activée ».
  2. Matthieu Le Tirant, « Pêche : le bureau de La saumonière des Peupliers reconduit à Bazincourt-sur-Epte (Eure) : L'association tenait récemment son assemblée générale. La stabilité est au programme de cette saison puisque le bureau a été reconduit dans son intégralité », L'Impartial,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  6. « Orthodromie entre Bazincourt-sur-Epte et Jaméricourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Jamericourt » (commune de Jaméricourt) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Jamericourt » (commune de Jaméricourt) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a et b NEGRE (Ernest) Toponymie générale de la France (1996), t. 2, p.883.
  17. Antoine Follain - Le village sous l'Ancien Régime.
  18. [file:///C:/Users/phili/Desktop/etnor_0014-2158_2009_num_58_1_1753.pdf].
  19. Notice Christie's 2012
  20. Notice du Saint Louis Museum
  21. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. Guillaume Voisenet, « Bazincourt-sur-Epte [Décès] Jean-Pierre Moneuse, ancien maire : Jean-Pierre Moneuse, maire de Bazincourt-sur-Epte/Thierceville entre 2001 et 2014 nous a quitté vendredi 27 mai dans sa 58e année », L'Impartial,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  23. Matthieu Le Tirant, « La maire, Béatrice Dumontier, absente de la cérémonie des vœux à Bazincourt-sur-Epte (Eure) : Ce devait être la dernière pour l'élue qui ne se représentera pas aux élections municipales. Dans un contexte de tensions, le maire était finalement absent pour cause de santé », L'Impartial,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  24. « Répertoire national des maires » [csv], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  25. a b et c « Eure. À Bazincourt-sur-Epte, le beffroi inauguré : C'est un monument de la commune qui a été inauguré en présence de nombreux élus. Le beffroi trône désormais fièrement sur les hauteurs du village », L'Impartial,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. « Église paroissiale Saint-Denis », notice no IA00017813, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  30. Matthieu Le Tirant, « Dans l'Eure, l'église Saint-Denis de Bazincourt-sur-Epte revit après plusieurs années de travaux : Le chantier a été long mais a porté ses fruits. L'église de Bazincourt-sur-Epte a retrouvé son cachet après d'importants travaux. », L'Impartial,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  31. Pierre Molkhou, Bazincourt, Terre d'inspiration
  32. « Château », notice no IA00017812, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  33. « Château fort », notice no IA00017814, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  34. « Château fort », notice no IA00017809, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  35. « Manoir », notice no IA00017811, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  36. « Manoir », notice no IA00017810, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  37. « L'église », sur Carmen - L'application cartographique au service des données environnementales (consulté le ).
  38. « Qui a volé la croix du monument aux morts de Bazincourt-sur-Epte, dans l'Eure ? : Lundi 8 novembre 2021, les autorités locales de Bazincourt-sur-Epte, près de Gisors, dans l'Eure, ont découvert que la distinction militaire rendant hommage aux habitants du village tués lors de la Première Guerre mondiale, entre 1914 et 1918, avait disparu de son emplacement », Paris Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  39. Benjamin Merieau, « Linda de Suza avait habité l’Oise et aussi composé l’hymne du parc Saint-Paul : La chanteuse d’origine portugaise, décédée à 74 ans, vivait près de Gisors, à deux pas de l’Oise, où elle s’était beaucoup impliquée », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  40. « 27045 Bazincourt-sur-Epte (Eure) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).