Ballon (Sarthe)

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Ballon
Ballon (Sarthe)
La mairie.
Blason de Ballon
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Sarthe
Arrondissement Le Mans
Intercommunalité Communauté de communes Maine Cœur de Sarthe
Code postal 72290
Code commune 72023
Démographie
Gentilé Ballonnais
Géographie
Coordonnées 48° 10′ 33″ nord, 0° 14′ 07″ est
Altitude Min. 53 m
Max. 106 m
Superficie 13,41 km2
Élections
Départementales Bonnétable
Historique
Dissolution
Fusion
Commune(s) d'intégration Ballon-Saint Mars
Localisation
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Ballon

Ballon est une ancienne commune française, du département de la Sarthe dans la région Pays de la Loire, devenue une commune déléguée de Ballon-Saint Mars au , puis supprimée le .

La commune faisait partie de la province historique du Maine[1], et se situe dans le Haut-Maine (Maine roux).

Géographie[modifier | modifier le code]

La commune est au nord du Haut-Maine, aux confins du Saosnois. Son bourg est à 11 km au sud-est de Beaumont-sur-Sarthe, à 13 km à l'ouest de Marolles-les-Braults, à 17 km au sud-ouest de Bonnétable et à 20 km au nord du Mans[2].

Située sur une colline, elle domine la vallée de l'Orne saosnoise qui la traverse, le panorama est essentiellement constitué d'un paysage bocager.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Lieux-dits et écarts[modifier | modifier le code]

En allant vers l'ouest, par la route de Montbizot qui commence au carrefour Saint-Laurent, se situent plusieurs fermes avant d'arriver à la Blotterie, retirée de la route. À côté de cette ferme est situé un puits d'où l'on peut puiser de l'eau avec une casserole car l'eau arrive au ras de la margelle, sur la droite à l'emplacement d'une ancienne grange en grattant un peu le sol… des fossiles d'ammonites peuvent apparaitre, preuve de la présence de la mer il y a des millions d'années. La Rue d'Orne est un hameau au nord du bourg de Ballon dans la vallée de l'Orne Saosnoise.

Accès et transports[modifier | modifier le code]

Toponymie[modifier | modifier le code]

Les formes Balatonno (époque mérovingienne), Baladon, Balodon (IXe siècle), sont attestées[4]. D'origine celtique, le nom Ballon proviendrait de Balodun ou Baladon (Bala = fort, forteresse ; Dun ou Don = colline fortifiée)[5].

Le gentilé est Ballonnais.

Histoire[modifier | modifier le code]

L'activité humaine à Ballon semble ancienne, comme en témoignent des outils néolithiques et les traces d'une nécropole du Bas-Empire romain. La première trace écrite est relevée dans une charte de Charlemagne en 802.

Trois frères seigneurs de Ballon, Hamelin, Wynebald et Wynoc, passèrent en Angleterre avec le duc Guillaume II de Normandie en 1066.

Au Moyen Âge, il existe trois paroisses à Ballon, celle de Saint Georges de Ballon (château et basse-cour fortifiée), celle de Saint Ouen des Ponts d'Orne (au bord de l'Orne saosnoise), et celle de Saint Médard de Ballon (fondation monastique appartenant à l'abbaye de la Couture au Mans).

C'est à partir du XVIe siècle que la commune commence à devenir florissante, notamment grâce à l'industrie de tissage de drap, à son commerce (foires et marchés), mais au XVIIe siècle, l'activité diminue et l'enceinte du village est détruite.

Le plus gros incendie de Ballon se déclare le 29 août 1705. Le feu ravage entièrement plus d'une cinquantaine de maisons, l'hospice, des écuries, et l'église en partie. Trois personnes sont emportées par les flammes.

« Le samedy vingtneufvieme jour daoust fette de la decollation de St Jean baptiste arriva un effroyable embrazement dans la ville de ballon qui commenca à trois heures et demie par le feu de la fournaise de certains chaudronniers qui faisoient leur fonte dans la petite rüe de deriere la maison Dieu, qui est aussi embraze dans laquelle il y avoit une bibliotheque qui valoit bien sept a huit mil livres aussi embrazee, laquelle fournaize etoit proche la grande porte de lecurie de la croix vert qui conduit au carrefour du grand Sauvage, qui par un souffle de vent de... fist pousser le feu dans lad Ecurie qui ensuitte consuma et brula entièrement quarante cinq maisons qui contenoint soixante menages qui pour la plupart vivoint assez commodement de leurs travaux et le tout sans y comprendre les halles qui sans comme un miracle penserent faire bruler leglise qui même fut endomagee par plusieurs cheverons et lambris qui furent demy brules, dans led embrazement y bruleron deux hommes scavoir un pauvre inconnu de dans lhopital, et francois gaultier fils de lhotelerie de la crois vert, et de lautre coté une pauvre dame vefve JOUYE y fut aussi etouffee par la fumee du feu qui fut le lendemains avec une partie retrouvée demie brulee desd pauvres cidessus ensepulture dans le cimetière dud ballon par mr. DREUX cure dud lieu.
Chose épouvantable cette pauvre dame JOUYE malgré les flammes du feu fut fouillee et volee de quarante ou cinquante Escus, elle ne fut pas la seule, il ni a pas presque dhabitants qui pour cuiter lentier embrasement portoint tous leurs meubles et effets dans les champs voisins et de plus de trois mille personnes qui vinrent soit par curiosité, ou pour soulager les habitans a tirer leurs effets et meubles de leurs maisons qui etoint touttes menacees dun entier embrasement pour voler comme cela ce fit par plus de la moitié de ces malheureux qui voleront et pilleront les meubles et effets de ces pauvres affliges qui ont été obligés den avoir un monitoire.
Le mercredy deuxieme septembre par ordonnance de mre. Estienne JODEAUX baillif dud lieu qui a agi pendant tout cet embrazement avec grandes prudence, vigilance et charité fut faitte montree pour présenter a un commissaire de lelection du mans pour ensuite le représenter a mr. Lintendant, lad montree faite par les plus habiles, charpentiers, couvreurs, massons de la ville du mans, de ballon et de St Mars laquelle monte pour les charpentiers a soixante dix huit mil sept cent livres, pour les couvreurs soixante et douze mil cinq cent livres, pour les massons soixante et quatorze mil six cent cinq livres, sans comprendre les ferrures la menuiserie le vitrage qui monte a plus de trente mil livres.

Touttes les quelles choses Jassure véritables pour etre temoin oculaire dud embrasement et du raport desd experts devant led sieur Juge. Fait ce sixieme septembre mil sept cent cinq. »

— Angoulvent[6].

Le jeudi fou de Ballon : le climat en France est tendu, les villageois réclament des réformes (justice, impôts…), puis le 18 juillet, l'annonce de la prise de la Bastille parvient et la panique se répand à Ballon. Trois jours plus tard, le jeudi 23 juillet 1789, messieurs Cureau et son gendre de Montesson, se font arrêter à Ballon par le peuple et massacrer. Leurs têtes sont exposées et promenées dans Ballon sur des piques. Ces deux hommes étaient en réalité accusés de spéculer, ce qui provoquait un renchérissement des prix.

En 1809, la commune de Saint-Ouen-sous-Ballon (290 habitants en 1806) se rattache à Ballon (3 918 habitants), tandis que la commune se sépare officiellement de Saint-Mars-sous-Ballon, qui devient autonome, en 1835[7].

En 1825, le général Coutard achète le champ de la chapelle, dépendant de l'hospice. Il finance également, en 1833, les travaux de reconstruction de l'église actuelle, Saint-Georges.

Le groupe scolaire situé sur le champ de foire est inauguré en 1881. En 1883, la place du marché, place de la République, est créée. En 1849, il est décidé de la création d'une route départementale, route de Mamers, cette construction fait disparaître une partie des halles, la cour du presbytère et les jardins devant l'église, qui s'est donc retrouvée au bord de la route.

Le , après plusieurs mois de travail, les communes de Ballon et Saint-Mars-sous-Ballon ont décidé de se regrouper au sein d'une commune nouvelle qui sera baptisée Ballon-Saint-Mars[8]. Ce regroupement permettra de pallier la baisse programmée des dotations globales de fonctionnement versée par l'État durant les prochaine années. La création de la nouvelle commune doit être effective le 1er janvier 2016, entraînant la transformation des deux anciennes communes en « communes déléguées » de la nouvelle entité dont la création a été entériné par arrêté préfectoral du 7 août 2015[9]. Le , le conseil municipal de Ballon-Saint Mars vote la suppression des communes déléguées[10].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Armes de Ballon

Blasonnement : D'azur à la fasce d'or accompagnée de trois besants d'argent[11].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires
Période Identité Étiquette Qualité
1947 1953 Louis Trouillet    
1953 1957 Hippolyte Charpentier   Notaire
1957 1965 Jules Vallée   Charcutier
1965 1983 Marcel Bouteloup   Agent d'assurances
1983 2008 Michel Lalos   Maître de conférences
2008 décembre 2015 Maurice Vavasseur[12]   Ingénieur territorial
Les données manquantes sont à compléter.

Le conseil municipal était composé de quinze membres dont le maire et quatre adjoints[13].

Démographie[modifier | modifier le code]

En 2018, la commune comptait 1 379 habitants. Depuis 2004, les enquêtes de recensement dans les communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans (en 2008, 2013, 2018, etc. pour Ballon[14]) et les chiffres de population municipale légale des autres années sont des estimations[Note 1]. Ballon a compté jusqu'à 4 078 habitants en 1831, avant la cession de Saint-Mars-sous-Ballon.

           Évolution de la population  [modifier]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
3 4813 5613 9183 9224 0782 3222 1842 1292 129
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 9491 9391 8181 7221 7561 7271 6811 5911 578
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 5291 4661 4291 3451 2651 2521 2681 2301 152
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2008 2013 2018
1 2581 1691 2311 2361 2691 3821 2861 3451 379
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[15] puis Insee à partir de 2006[16].)
Histogramme de l'évolution démographique

Sécurité et santé[modifier | modifier le code]

La commune dispose d'une gendarmerie et d'un centre de secours.

Dans le domaine de la santé, on trouve : des médecins, un pédicure-podologue, un dentiste, des kinésithérapeutes, des infirmières, une pharmacie, deux sociétés d'ambulances, un centre social, une maison de retraite et une clinique vétérinaire.

Enseignement[modifier | modifier le code]

  • École publique intercommunale Élisabeth-et-Robert-Badinter.
  • Collège public René-Cassin.

Activité et manifestations[modifier | modifier le code]

Culture et loisirs[modifier | modifier le code]

  • Bibliothèque municipale.
  • Maison des associations.
  • Salle des fêtes.
  • Foyer communal.
  • Cinéma : Cinéambule.
  • Associations :
    • MJC Joël Sadeler, théâtre, judo, gymnastique, danse…
    • Union musicale de Ballon, école de musique, orchestre d'harmonie.
    • Le Sporting Club ballonnais fait évoluer une équipe de football en division de district[17].

Économie[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Le château[modifier | modifier le code]

Importante forteresse lors de la guerre de Cent Ans, le château a pris son aspect actuel au XVe siècle. Son donjon domine la ville et la vallée de l'Orne saosnoise. Ses jardins sont labellisés « Jardin remarquable ». Il fait l'objet d'un classement au titre des Monuments historiques depuis le [18].

L'église Saint-Georges[modifier | modifier le code]

L'église est dédiée à saint Georges, martyr d'Orient. Au XIVe siècle, l'église était une simple nef rectangulaire qui dépendait de l'abbaye de la Couture au Mans. Le bâtiment actuel date de 1833, année de sa reconstruction. Il conserve une chapelle seigneuriale (de la Vierge) de 1652. Le chœur fut reconstruit vers 1755. Le clocher ajouté en 1839 est un campanile avec une très belle charpente.

L'église abrite :

  • trois tableaux remarquables restaurés en 2008 : un tableau classé au titre objet aux monuments historiques[19] (Christ en Croix) du XIXe siècle, réalisé par Eugène Deveria, et deux tableaux inscrits[réf. nécessaire] (Vierge à l'Enfant et saint Henri) du XIXe siècle, réalisés par Coutan ;
  • des vitraux des XIXe et XXe siècles.

Sur la place de l'église se trouvent aussi les halles, attenants à l'église, et le monument aux morts, en face de l'église.

Les halles[modifier | modifier le code]

Ces halles aux blés étaient à l'origine entièrement en charpente. Au premier étage était aménagée une salle commune où avaient lieu les délibérations des habitants et une resserre pour le curé. Délabrées, elles ont été en partie détruites en 1849, pour la construction de la route de Mamers et remplacées par un nouveau bâtiment qui sera occupé par la caserne des pompiers jusque dans les années 1980.

Le pavillon de Lansac et la chapelle[modifier | modifier le code]

Le pavillon de Lansac et la chapelle, avec bibliothèque relais.

Le pavillon de Lansac est un ancien hospice édifié en 1735, après l'incendie de 1705. La chapelle accolée au bâtiment date de 1860. Pour la réhabilitation de cet ensemble, la commune a été lauréate, en 2004, du prix national des Rubans du Patrimoine (communes de moins de 3 500 habitants). Le pavillon abrite désormais les services de la mairie et la chapelle abrite la bibliothèque.

Le champ de foire[modifier | modifier le code]

Le terrain dit « du champ de foire » a été acquis par le général Coutard et mis à disposition des Ballonnais. Au fond du champ de foire se trouve l'ancienne école de garçons (1881), actuellement cantine scolaire et logements locatifs.

La pelouse calcaire et les randonnées[modifier | modifier le code]

En utilisant les sentiers de randonnées pédestres, équestres et VTT, on peut découvrir cette pelouse calcaire au lieu-dit les Buttes avec ses nombreuses orchidées en mai et juin. C'est un site reconnu « zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique » d'un peu plus de quatre hectares.

Cinq circuits s'articulent autour de la commune, de 5 à 55 km. Le départ de ces cinq chemins se situe à l'arrière de la mairie, près du jardin médiéval.

Autres lieux[modifier | modifier le code]

  • L'arboretum : il se situe à la résidence Bel Air (maison de retraite).
  • Jardin d'inspiration médiévale L'arbre de vie.

Jumelages[modifier | modifier le code]

Personnalités liées[modifier | modifier le code]

  • La famille Iynurse. Jacques Iynurse (seigneur de Ballon entre le XVIe et le XVIIe siècle) mourut sans descendance, son pouvoir fut alors donné à sa sœur Nicole Le Roy. À son tour celle-ci céda son titre à sa fille Antoinette Raffin Pothon, future épouse du marquis de Lansac. En 1602, elle se sépare de biens du marquis de Lansac et devient alors dame de Ballon avec comme nom « marquise de Lansac ». Elle finança à Ballon de nombreuses œuvres de charité, ainsi que la reconstruction de l'hôpital (hôtel Dieu à l'époque), destiné à accueillir les indigents. Une rue et l'immeuble actuel de la mairie portent son nom.
  • Louis François Coutard (1769 - 1852), général et parlementaire français. Il prouve son attachement à sa ville natale à de nombreuses occasions. C'est ainsi qu'en 1824, il décide de financer et de reconstruire l'église, d'offrir trois vitraux et deux tableaux de valeur, puis le champ de foire. À Ballon, il est surnommé « le bienfaiteur ». Le long du champ de foire, une rue porte son nom.
  • Joël Sadeler (1938 - 2000), poète français. Il arrive à Ballon en 1960 et enseigne le français au collège pendant la totalité de sa carrière. Il va, dès 1967, créer à Ballon la Maison des jeunes et de la culture (MJC) qui porte maintenant son nom. Élu au conseil municipal de Ballon pendant plus de trente ans, il s'intéresse à la vie associative et culturelle de sa commune.

Ballon dans les arts[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Dans le tableau des recensements et le graphique, par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu, pour les populations légales postérieures à 1999 de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique que les populations correspondant à l'année 2006, première population légale publiée calculée conformément aux concepts définis dans le décret no 2003-485 du 5 juin 2003, et les années correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee.

Références[modifier | modifier le code]

  1. Claude-Marin Saugrain, Dictionnaire universel de la France ancienne et moderne et de la Nouvelle France, vol. 1, , p. 286
  2. Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr
  3. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée »
  4. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse,
  5. Daniel Delattre, La Sarthe, les 375 communes, Grandvilliers, Editions Delattre, , 224 p. (ISBN 978-2-915907-56-8), p. 17
  6. Source : Archives départementales de la Sarthe - Courcebœufs (1 MI 840 RI)
  7. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Ballon », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
  8. « Commune nouvelle. Ballon et Saint-Mars se disent "oui" », sur Ouest-France, (consulté le )
  9. « recueil des actes administratifs de la Sarthe », (consulté le ), p. 24 à 27
  10. « conseil municipal - séance du 4 juin 2020 », sur ballonsaintmars.fr, mairie de Ballon-Saint Mars (consulté le )
  11. « GASO, la banque du blason - Ballon Sarthe » (consulté le )
  12. Réélection 2014 : « De nouveaux maires et adjoints élus », Le Maine libre, (consulté le ).
  13. « Ballon (72290) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
  14. Date du prochain recensement à Ballon, sur le-recensement-et-moi.fr, site spécifique de l'Insee.
  15. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  16. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 20112012201320142015 2016 2017 2018 .
  17. « Site officiel de la Fédération française de football – SC ballonnais » (consulté le )
  18. « Château (donjon et ruines) », notice no PA00109676, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  19. « Tableau : La Crucifixion », notice no PM72001358, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.

Liens externes[modifier | modifier le code]

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