Ambierle

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Ambierle
Ambierle
Blason de Ambierle
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Loire
Arrondissement Roanne
Intercommunalité Roannais Agglomération
Maire
Mandat
Pascal Muzart
2020-2026
Code postal 42820
Code commune 42003
Démographie
Gentilé Ambierlois
Population
municipale
1 884 hab. (2021 en diminution de 0,63 % par rapport à 2015)
Densité 61 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 06′ 19″ nord, 3° 53′ 47″ est
Altitude Min. 297 m
Max. 843 m
Superficie 30,76 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Roanne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Renaison
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Liens
Site web www.ambierle.fr

Ambierle est une commune française située dans le département de la Loire, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Centre et contreforts nord du Massif Central » et « Nord-est du Massif Central »[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 878 mm, avec 10,9 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Nicolas », sur la commune de Saint-Nicolas-des-Biefs à 10 km à vol d'oiseau[3], est de 8,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 387,2 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Ambierle est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Roanne, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 88 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (67 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (67,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (40,7 %), forêts (25,2 %), zones agricoles hétérogènes (23,6 %), zones urbanisées (7,8 %), terres arables (1,8 %), cultures permanentes (0,9 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Ambierle se nommait Amberta mais aussi Ambirliacus (Amberta : attesté en 949 ; proviendrait de ambe « cours d’eau » et rita « gué »).

Histoire[modifier | modifier le code]

De l'époque gallo-romaine à la Révolution[modifier | modifier le code]

Ambierle semble avoir été la capitale de la tribu des Ambluaretis à l'époque romaine. Des fouilles réalisées par Alice et Louis Taverne en 1935 ont mis en mis en évidence les substructions d'une « villa ». Par ailleurs de nombreux objets gallo-romains ont été découverts lors de la culture des vignes.

Fondée au haut Moyen Âge par des Bénédictins (moines noirs) entre le VIIe siècle et le IXe siècle, l'abbaye d'Ambierle est dédiée à Saint-Martin. Le premier document qui atteste de ce monastère (Ecclesia de Amberta in honore Sancti Martini consecrata) date de 902 par l'empereur Louis l'Aveugle (fils de Boson roi de Provence). saint Odon, abbé de Cluny, se fait remettre en 938 l'abbaye alors qu'elle se trouve dans les mains de deux laïcs. Elle sera réduite au rang de prieuré en 1101 par saint Hugues (sixième abbé de Cluny) comme l'abbaye de Charlieu l'avait été précédemment.

Même placés sous l'autorité de Cluny, les prieurs n'en exercent pas moins un certain nombre de prérogatives, dont la signature d'une charte avec les habitants, en 1383, charte passée par le prieur Étienne Tachon dont l'original est archivé aux archives nationales, une copie est accessible à la Diana ainsi qu'au Musée Alice Taverne (traduite en français).

À la fin de la guerre de Cent Ans, vers 1441, un incendie détruit en grande partie le prieuré et l'église (sauf les deux chapelles latérales). Antoine de Balzac d'Entragues entreprend la reconstruction et c'est à lui que l'on doit le style gothique flamboyant des bâtiments. Les armes du prieur figurent sur les voutes, vitraux et sur le mobilier. Il n'hésite pas à utiliser sa cagnotte personnelle pour doter l'église des plus beaux arts décoratifs, comme les vitraux. Antoine de Balzac d'Entragues sera nommé évêque de Die et de Valence en 1474, et sera le prieur d'Ambierle entre 1435 et 1491. Ainsi en 1490 le roi Charles VIII sera reçu à Ambierle pour une rencontre avec Pierre II, duc de Bourbon.

Vers 1494, Antoine de Chabannes succède à Antoine de Balzac d'Entragues ; en 1514 il devient évêque du Puy et de ce fait il ne réside presque plus à Ambierle. L'établissement est ainsi dirigé, à partir du XVIe siècle, par des prieurs commendataires de moins en moins résidents, et des sous-prieurs ou prieurs claustraux. En 1538 c'est Charles de Boucé qui est nommé prieur. Parmi les prieurs commanditaires du XVIIe siècle figurent : Jacques Nicholas Colbert (second fils de Jean-Baptiste Colbert, contrôleur général des finances) et Paul Tallemant le Jeune (1642-1712 ; cousin de François Tallemant l'Aîné et de Gédéon Tallemant des Réaux)

Au XVIIe siècle, l'église paroissiale saint-Nizier est en ruine, les offices se déroulent donc dans l'église prieurale, mais la communauté a des différends avec les religieux et lance la reconstruction d'une nouvelle église paroissiale saint-Nizier. Le clocher (tour carrée massive) sera quant à lui élevé au siècle suivant. Quatre cloches furent bénies en 1891, la cinquième est plus ancienne. Les cloches précédentes ont été refondues pendant la Révolution. Les cinq cloches sont harmonisées et permettent l'utilisation d'un carillon à traction manuelle. Le clocher saint-Nizier sonne encore aujourd'hui l'angélus et les offices religieux qui se tiennent dans l'église Saint Martin. Il est affecté au culte.

En 1746, le couvent est détruit par un incendie, mais l'église Saint-Martin échappe au sinistre. En 1753 la décision de reconstruire est prise, mais les nouveaux bâtiments ne seront achevés qu'en 1757.

De la Révolution à nos jours[modifier | modifier le code]

À la fondation des cantons (1790), Ambierle est nommé chef-lieu du canton regroupant les communes de : Noailly ; Saint-Bonnet-des-Quarts ; Saint-Forgeux-Lespinasse et Saint-Germain-Lespinasse dans le département de Lyonnais-Forez-Beaujolais, bientôt appelé Rhône-et-Loire. Les arrêtés des 15 et 27 brumaire an X (1801) modifièrent les districts et les cantons ne devinrent que des divisions policières et judiciaires des justices de paix. À ce moment-là, le canton d’Ambierle fut supprimé et réuni, en grande partie, à celui de Saint-Haon-le-Châtel.

À la liquidation des biens du prieuré, la commune conserve l'église et la maison prieurale en se heurtant à l'hostilité du dernier prieur commendataire, Jean-Baptiste François de la Rochefoucauld de Magnac (prieur à partir de 1753). Cette résistance aux changements de la Révolution lui vaudra d'être arrêté le et déporté en Guyane. Quant au dernier prieur claustral (Jean-Gabriel d'Almaric), il sera emprisonné à Roanne.

Le prieuré d'Ambierle aura ainsi dépendu de l'abbaye de Cluny durant plus de 850 ans.

Depuis 1909, la commune était desservie par le « tacot », chemin de fer à voie étroite, avec locomotives à vapeur (ligne Pouilly - Ambierle ; cf. le site Inventaires ferroviaires). Le , l'autobus d’Ambierle remplaça le « tacot » de Renaison pour le transport des voyageurs. Le train continua pour le transport des marchandises jusqu'en , où il disparut définitivement.

Depuis le , la communauté de communes de la Côte roannaise dont faisait partie la commune s'est intégrée à la communauté d'agglomération Grand Roanne Agglomération.

Le prieuré d'Ambierle participe, avec 7 autres sites religieux de la Loire, de la candidature en série portée à l'Unesco par la Fédération européenne des sites clunisiens.

Blasonnement[modifier | modifier le code]

Blason Blasonnement :
Parti : au 1er de gueules à quatre merlettes d'argent, celle du chef à dextre disparaissant sous un franc-canton d'hermine ; au 2e d'azur à trois flanchis d'argent, accompagné d'un écusson de gueules à la croix d’argent en cœur et au chef d’or chargé de trois flanchis de sable.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Il n'y avait qu'une liste aux élections municipales de 2014, représentée par Mme Raymonde Brette (née Mauge) (DVD). Le taux de participation était de 57,76 %[13].

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1977 1983 Georges Brat    
1995 2001 Jean-Marc Bailly    
2001 2008 Michel Magot-Dussot    
2008 2014 Philippe Duverger    
2014 mai 2020 Raymonde Brette-Mauge DVD  
mai 2020 En cours Pascal Muzart[14] DVG  
Les données manquantes sont à compléter.

Vie politique et élections[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Les habitants sont appelés les Ambierlois[15].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[16]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[17].

En 2021, la commune comptait 1 884 habitants[Note 3], en diminution de 0,63 % par rapport à 2015 (Loire : +1,27 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 1002 2551 9801 6971 7811 7342 0322 0321 982
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 9921 9951 9971 9922 2672 3402 4832 5632 577
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 3702 2782 0591 7641 7291 6561 6491 5561 523
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
1 4861 4551 4221 5921 7631 7281 8131 8111 805
2015 2020 2021 - - - - - -
1 8961 8981 884------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[19].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'ancien prieuré et son église.
L'ancien prieuré et son église.

Ambierle fait partie des sites clunisiens et adhère à la Fédération des Sites Clunisiens.

  • Le prieuré d'Ambierle, originellement une abbaye bénédictine, a été reconstruit au XVe siècle par le prieur Antoine de Balzac d'Entragues. Il présente une toiture de tuiles polychromes vernissées de style bourguignon. Inscrit monument historique le [20]. Pour sa part, l'église abbatiale, aujourd'hui paroissiale, Saint-Martin d'Ambierle, fut classée monument historique dès 1840[20]. Elle renferme de magnifiques stalles en bois sculpté, des vitraux du XVe siècle et surtout un exceptionnel retable de la passion également du XVe siècle, lui aussi classé[21],[22]. Le retable a été offert au prieuré par Michel de Chaugy, d'une famille originaire du Forez, officier de la cour de Bourgogne, après sa mort en 1479. Un fragment de texte aujourd'hui disparu mais relevé en 1665 donnait la date de la dédicace du retable : 1466. Il a donc été réalisé avant cette date, probablement entre 1460 et 1463, d'après la coupe de cheveux imposée par le duc de Bourgogne Philippe le Bon à ses officiers à la suite d'une maladie, en 1460. L'auteur des peintures est anonyme par manque de documents (les œuvres de cette époque n'étaient pratiquement jamais signées). Leur style est très proche de celles du retable du Jugement dernier de Beaune, dues à Rogier van der Weyden, mais on n'a pas de preuve décisive qu'il en soit lui-même l'auteur, en dehors de la proximité de Michel de Chaugy avec Rogier van der Weyden entre 1460 et 1463. Les parties sculptées sont également dues à un atelier flamand. Les personnages peints sont Michel de Chaugy, et son père, Jean de Chaugy, son épouse, Laurette de Jaucourt, et sa mère, Guillemette de Montagu.

Sur les autres projets Wikimedia :

  • Le village possède aussi un musée de la vie quotidienne rurale de 1840 à 1940 : le musée Alice-Taverne[23].
Le musée Alice-Taverne est un « Musée de France » au sens du code du patrimoine. Les collections ethnographiques réunies par Alice Taverne dès les années 1930 sont remarquables et ont été installées dans une maison de maître du XVIIIe siècle qui donne une atmosphère particulière à ce musée. Les reconstitutions d'intérieurs voulues par la créatrice ont été conservées et demeurent aujourd'hui des témoins de l'histoire de la muséographie. Les collections relevant majoritairement des arts décoratifs (mobilier, céramiques, costume), de l'art populaire, des sciences et techniques (géologie, outillages, machineries) sont complétées par un fonds d'archives issu d'enquêtes ethnographiques menées sur près d'un siècle et par un fonds d'art graphique (Jean Canard, Georges Daru, Guy Darodes). De plus, chaque année, une ou plusieurs expositions temporaires sont présentées au deuxième étage du musée.
  • La commune abrite à l'embranchement de la route des Villards, un ancien tunnel, dans lequel circulait le « tacot », au début du XIXe siècle, entre Roanne et la Côte Roannaise, des Chemins de fer départementaux de la Loire. Ce tunnel de pierres, long de près de 180 mètres autrefois champignonnière, est aujourd'hui reconverti en salle de repos et de conservation pour la production des maîtres fromagers régionaux, la famille Mons.

Évènements[modifier | modifier le code]

  • Marchés d'été : producteurs locaux de vin, fromage, charcuterie, miel et nombreux artisans d'art (tous les vendredis de juillet et d'août).
  • Marchés du Livre : le 2e dimanche des mois de janvier, juin, septembre et octobre. Depuis 2006, premier village du livre de Rhône-Alpes, sixième en France[24]. Des bouquinistes, éditeurs et relieurs ont leur boutique dans le village. Un circuit de visite est proposé.
  • Course cycliste féminine (nationale) : début juillet. Course cycliste des élus : début juillet).
  • Brocantes : , .
  • Fête d'été : dernière semaine d'août. Festival d'orgue.
  • Gentleman d'Ambierle en octobre.
  • Nombreux concerts classiques et modernes tout au long de l'année.
  • Nombreuses expositions dans le hall de la mairie tout au long de l'année.
  • Six représentations par la troupe théâtrale d'Ambierle.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Ambierle et Saint-Nicolas-des-Biefs », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Saint-Nicolas », sur la commune de Saint-Nicolas-des-Biefs - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Saint-Nicolas », sur la commune de Saint-Nicolas-des-Biefs - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  13. Résultats des élections municipales de 2014 sur le site du Ministère de l'Intérieur
  14. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le )
  15. https://www.habitants.fr/loire-42
  16. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  17. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  18. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  19. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  20. a et b « Ancien prieuré Saint-Martin d'Ambierle », notice no PA00117423, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  21. « Retable : Scènes de la Passion, portraits des donateurs et de leurs saints patrons », notice no PM42000012, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  22. E. Jeannez, Le Retable de la Passion de l'église d'Ambierle en Roannais, p. 221-234, Gazette archéologique : recueil de monuments pour servir à la connaissance et à l'histoire de l'art antique, année 1886
  23. Musée Alice Taverne
  24. Site de l'association "Village du Livre".