Alphonse de Brienne

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Alphonse de Brienne
Fonctions
Grand chambrier de France
Titres de noblesse
Seigneur de Chizé
Comte d'Eu
Biographie
Naissance
Décès
Époque
Période d'activité
Famille
Père
Mère
Fratrie

Isabelle II de Jérusalem

Jean de Brienne

Marie de Brienne
Blanche de Brienne
Louis de Brienne
Jean de Brienne
Conjoint
Enfants
Jean II de Brienne
Isabelle de Brienne
Marguerite de Brienne
Blanche de Brienne
Autres informations
Grands-Parents
Conflit
Héritier
Armoiries d'Alphonse de Brienne

Alphonse de Brienne dit d'Acre, né vers 1227 et mort le à Tunis[1], est un noble français, grand chambrier de France[2] de Louis IX, proche du pouvoir capétien. Il devient comte d'Eu par mariage avec l'héritière du comté, Marie d'Exoudun de la Maison de Lusignan.

Biographie[modifier | modifier le code]

Famille[modifier | modifier le code]

Alphonse est le fils aîné et le troisième enfant de Jean de Brienne (v 1170-1237), roi de Jérusalem (1210-1225), empereur latin de Constantinople (1229-1237)[3], et de sa troisième épouse Bérengère de León (v. 1204-1237) ; fille d'Alphonse IX de Léon (1171-1230) et de Bérengère Ire de Castille (1180-1246), sœur aînée de Blanche (1188-1252), reine de France[4].

Alphonse a pour demi-sœur Isabelle (1212-1228), reine de Jérusalem (1212-1228)[5]. Il a pour sœur aînée Marie de Brienne (1225-1275), mariée en 1234 à Baudouin II de Courtenay (1218-1273), empereur latin de Constantinople, et pour frères cadets Louis de Brienne dit d'Acre (♰ ap. 1285), vicomte de Beaumont, et Jean de Brienne (♰ 1296), bouteiller de France[6],[7].

Par sa grand-mère maternelle, Alphonse est apparenté aux Plantagenêt. Il est également le cousin, au second degré, des Capétiens Louis IX de France et Alphonse de Poitiers.

Enfance[modifier | modifier le code]

Alphonse, ainsi que ses frères Louis et Jean (les "enfants d'Acre") grandissent à Constantinople mais passent leur vie d'adulte dans l'entourage de Louis IX à qui ils sont confiés dès 1236[8].

Vie politique[modifier | modifier le code]

En , son épouse Marie d'Exoudun lui lègue la châtellenie de Chizé et demande à Alphonse de Poitiers, son suzerain, de recevoir Alphonse à l'hommage[9].

Le , lors du traité de Paris[10], Louis IX choisit comme procureur pour les négociations et donc interlocuteur des émissaires d'Henri III d'Angleterre, son chambrier, Alphonse de Brienne[2]. Guy et Geoffroy de Lusignan[11], cousins issus de germain de son épouse Marie, et demi-frères d'Henri III[12] représentent le parti anglais[13],[14],[15],[16].

Veuf en 1260, Alphonse assure la régence du comté d'Eu, son fils Jean étant mineur.

En 1265, Alphonse se porte au secours de son cousin, Alphonse X, roi de Castille, dans son combat contre les Maures d'Afrique. Il fait preuve de courage et défend avec une grande réussite la foi chrétienne, ce qui lui vaut un message de congratulations de la part du pape Clément IV[17].

Croisade et décès[modifier | modifier le code]

Alphonse accompagne Louis IX de France lors de la huitième croisade. Ayant contracté, tout comme le roi, la dysenterie, il meurt le même jour que lui, le .

Son corps, ramené en France, est inhumé aux côtés de Louis IX dans l'abbaye de Saint Denis[8].

Mariage et descendance[modifier | modifier le code]

Marie d'Exoudun[modifier | modifier le code]

Alphonse de Brienne épouse, vers 1250, Marie d'Exoudun (v. 1232-1260), fille et unique héritière de Raoul II d'Exoudun (v. 1207-1246), de la Maison de Lusignan, seigneur d'Exoudun, comte d'Eu, et de sa seconde épouse Yolande de Dreux (1216-1239)[4].

Ce mariage, très politique, est le fruit d'une entente entre la grand-mère de Marie, Alix d'Eu, et Blanche de Castille[18].

Postérité[modifier | modifier le code]

Le couple a quatre enfants[4]:

Ascendance[modifier | modifier le code]

Sceaux et armoiries[modifier | modifier le code]

Sceau [1251][modifier | modifier le code]

Avers : Rond, 65 mm[19].

Description : Écu portant un lion rampant (Brienne) à la bordure chargée de seize châteaux (Castille).

Légende : ✠ S' • ALPHOSI • FILII..... COMITIS AVGI

Contre-sceau[20].

Description : Écu burelé de douze pièces brisé d'un lambel de cinq pendants.

Légende : Détruite.

Références[21],[22],[23]

Sceau [1269][modifier | modifier le code]

Avers : Mutilé.

Description : Equestre à droite, cavalier en cotte ; la housse aux armes : lion contourné (Brienne).

Légende : Aucune.

Contre-sceau : Rond.

Description : Ecu burelé de dix pièces, au lambel de cinq pendants (Lusignan-Exoudun) ; surmonté dans le champ d'une fleur de lis dans le champ et accosté, à dextre, d'un château, à senestre, d'une aigrette.

Légende : ✠ CAMERARII • REGNI.....IE

Références[24],[25]

Sceau [1270][modifier | modifier le code]

Avers : Rond[26].

Description : Equestre à droite, le cheval au galop ; haubert sous la cotte ; l'écu, vu de trois quarts semé de billettes au lion, et la housse aux armes : semé de billettes aux lions contournés (Brienne).

Légende : Aucune / détruite.

Contre-sceau : Rond[27].

Description : Ecu burelé de douze pièces, au lambel de cinq pendants (Lusignan-Exoudun) ; surmonté dans le champ d'une fleur de lis dans le champ et accosté, à dextre, d'un château, à senestre, d'une aigrette.

Légende : ✠ CAMERARII REGNI FRANCIE[28]

Références[29],[30]

Armoiries [1251][modifier | modifier le code]

Blason Blasonnement :
Écu d'azur au lion rampant d'or à la bordure de gueules chargée de seize châteaux d'or
Commentaires : Blason d'Alphonse de Brienne, comte d'Eu, d'après l'empreinte d'un sceau de 1251.

Références[21],[23],[19]

Blason Blasonnement :
Écu burelé d'argent et d'azur de douze pièces brisé d'un lambel de cinq pendants de gueules
Commentaires : Blason d'Alphonse de Brienne, comte d'Eu, d'après l'empreinte d'un contre-sceau de 1251.

Références[22],[23],[20]

Armoiries [1269][modifier | modifier le code]

Blason Blasonnement :
Écu burelé d'azur et d'argent de dix pièces brisé d'un lambel de quatre pendants de gueules
Commentaires : Blason d'Alphonse de Brienne, grand chambrier de France, d'après l'empreinte d'un contre-sceau de 1269 dessinée par Dom Fonteneau au XVIIIe siècle.

Références[24],[25]

Armoiries [1270][modifier | modifier le code]

Blason Blasonnement :
Écu d’azur semé de billettes d’or au lion rampant du même brochant sur le tout
Commentaires : Blason d'Alphonse de Brienne, grand chambrier de France, d'après l'empreinte d'un sceau de 1270.

Références[29],[30],[26]

Blason Blasonnement :
Écu burelé d'argent et d'azur de douze pièces brisé d'un lambel de cinq pendants de gueules
Commentaires : Blason d'Alphonse de Brienne, grand chambrier de France, d'après l'empreinte d'un contre-sceau de 1270 dessinée par Dom Fonteneau au XVIIIe siècle.

Références[29],[30],[27]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Durant la huitième croisade.
  2. a et b Layettes du trésor des chartes (éd. Joseph de Laborde), t. III : de l'année 1247 à l'année 1260, Paris, Plon, (lire en ligne), n°4417 : Litterae nuntiorum Henrici, regis Angliae, quibus testificantur quaedam a Ludovico, rege Franciae, in juramento pacis fuisse reservata, p. 413-414 :

    « idem dominus rex Francie, cum procuratores ipsius, nobiles viri, dominus Alfonsus, comes Augi, Francie camerarius »

    Mardi 28 mai 1258.
  3. (en) Guy Perry, John of Brienne. King of Jerusalem, Emperor of Constantinople, c. 1175-1237, Cambridge, Cambridge University Press, (lire en ligne)
  4. a b et c Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 4 : Annexes 7 à 10 - Bibliographie (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 10 : Tableaux de filiation et schémas, chap. 11 (« Le sous-lignage d'Eu »), p. 170
  5. Née du premier mariage de Jean de Brienne avec Marie de Montferrat (1191-1212).
  6. (en) Guy Perry, John of Brienne. King of Jerusalem, Emperor of Constantinople, c. 1175-1237, Cambridge, Cambridge University Press, (lire en ligne), Genealogy 1 : The main branches of the Brienne family in the late twelfth and early thirteenth centuries, p. 16
  7. Marie-Adélaïde Nielen, « Du comté de Champagne aux royaumes d’Orient : sceaux et armoiries des comtes de Brienne », dans Damien Coulon, Catherine Otten-Froux, Paule Pagès et Dominique Valérian, Chemins d'outre-mer : Études d'histoire sur la Méditerranée médiévale offertes à Michel Balard, Paris, Publications de la Sorbonne, coll. « Byzantina Sorbonensia » (no 20), (lire en ligne), Aux origines d'un grand lignage / Tableau généalogique des comtes de Brienne, § 5
  8. a et b Marie-Adélaïde Nielen, « Du comté de Champagne aux royaumes d’Orient : sceaux et armoiries des comtes de Brienne », dans Damien Coulon, Catherine Otten-Froux, Paule Pagès et Dominique Valérian, Chemins d'outre-mer : Études d'histoire sur la Méditerranée médiévale offertes à Michel Balard, Paris, Publications de la Sorbonne, coll. « Byzantina Sorbonensia » (no 20), (lire en ligne), Le service du Prince, § 29
  9. Layettes du trésor des chartes (éd. Joseph de Laborde), t. III : de l'année 1247 à l'année 1260, Paris, Plon, (lire en ligne), n°4295 : Litteræ Mariæ, Augi comitissæ, quibus, cum conjugi suo, Alphonso de Brena, castrum Chisiaci concesserit, comitem Pictaviæ et Tolosæ rogat ut eumdem Alphonsum in hominem ligium recipere velit, p. 326-327.
    1256, jeudi 5 octobre, Poitiers : Marie [d'Exoudun], comtesse d'Eu, dame de Civray, Chizé, Melle, Benet, La Mothe et Villeneuve, décide de conférer la châtellenie de Chizé à son époux, Alphonse de Brienne et demande à son suzerain, Alphonse, comte de Poitiers, de le recevoir à l'hommage lige.
  10. Ratifié le .
  11. Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 4 : Annexes 7 à 10 - Bibliographie (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe, chap. 20 (« Les enfants d'Hugues X et d'Isabelle d'Angoulême (1221-1296) »), p. 179
  12. Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 4 : Annexes 7 à 10 - Bibliographie (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe, chap. 12 (« Liens de parenté entre Lusignan, Plantagenêt et Montfort »), p. 171
  13. Layettes du trésor des chartes, ancienne série des sacs dite aujourd'hui supplément (éd. Henri-François Delaborde), t. V, Paris, Plon, (lire en ligne), n°687 : Henricus, rex Angliae, procuratores ad pacem cum rege Franciae tractandam designat, p. 229
    1258, 8 mai, Westminster : Le roi d'Angleterre, Henri [III], désigne ses frères, Geoffroy [Ier] de Lusignan [seigneur de Jarnac] et Guy de Lusignan [seigneur de Cognac], Simon [VI] de Montfort, comte de Leicester, Pierre de Savoie et Hugues Bigod comme ambassadeurs pour négocier la paix avec le roi de France, Louis [IX].
  14. Layettes du trésor des chartes (éd. Joseph de Laborde), t. III : de l'année 1247 à l'année 1260, Paris, Plon, (lire en ligne), n°4418 : Litterae nuntiorum Henrici, regis Angliae, de induciis prorogandis, p. 414
    1258, 29 mai, Paris : Geoffroy [Ier] de Lusignan [seigneur de Jarnac], Guy de Lusignan [seigneur de Cognac], Simon [V] de Montfort, comte de Leicester, Pierre de Savoie et Hugues Bigod, ambassadeurs du roi d'Angleterre, se sont accordés avec le roi de France, Louis [IX], attendu que la trêve doit s'achever à la Saint-Michel [29 septembre], pour la prolonger jusqu'à la quinzaine de Pâques [13 avril 1259], promettant que le roi d'Angleterre, [Henri III] interdira que quiconque ne porte atteinte au roi de France, à ses hommes ou à ses biens.
  15. Layettes du trésor des chartes (éd. Joseph de Laborde), t. III : de l'année 1247 à l'année 1260, Paris, Plon, (lire en ligne), n°4420 : Litterae nuntiorum regis Angliae, quibus profitentur se pacem, inter Ludovicum et Henricum reges pactam, juravisse, p. 415
    1258, 1er juin, Paris : Geoffroy [Ier] de Lusignan [seigneur de Jarnac], Guy de Lusignan [seigneur de Cognac], Simon [V] de Montfort, comte de Leicester, Pierre de Savoie et Hugues Bigod, ambassadeurs du roi d'Angleterre, se sont accordés avec le roi de France, Louis [IX], et signent au nom de leur roi [Henri III] le traité de Paris.
  16. Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 4 : Annexes 7 à 10 - Bibliographie (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 10 : Tableaux de filiation et schémas, chap. 27 (« Liens de parenté entre les négociateurs du traité de Paris (1259) »), p. 186
  17. Louis-Sébastien Le Nain de Tillemont, Vie de Saint Louis, Roi de France, 1848.
  18. Chronique des comtes d'Eu depuis 1130 jusqu'à 1390 (éd. Natalis de Wailly et Léopold Delisle), t. XXIII : Recueil des historiens des Gaules et de la France, Scriptores, Paris, (lire en ligne), p. 443 :

    « La dite Alis en son vivant maria Marie sa [petite-]fille à noble seigneur messire Alphons, lequel Alphons estoit filz au roy Jehan de Hierusalem. »

  19. a et b SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Alfonse de Brienne - sceau », sur sigilla.org, Université de Poitiers.
  20. a et b SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Alfonse de Brienne - Contre-sceau », sur sigilla.org, Université de Poitiers.
  21. a et b Inventaires et documents publiés par ordre de l'Empereur : Collection de sceaux (éd. Louis Douët d'Arcq), t. I, Paris, Henri Plon, (lire en ligne), n°922 : Alfonse, Comte d'Eu (1251), p. 412
  22. a et b Inventaires et documents publiés par ordre de l'Empereur : Collection de sceaux (éd. Louis Douët d'Arcq), t. I, Paris, Henri Plon, (lire en ligne), n°922 bis : Alfonse, Comte d'Eu (1251) / Contre-sceau, p. 412
  23. a b et c Marie-Adélaïde Nielen, « Du comté de Champagne aux royaumes d’Orient : sceaux et armoiries des comtes de Brienne », dans Damien Coulon, Catherine Otten-Froux, Paule Pagès et Dominique Valérian, Chemins d'outre-mer : Études d'histoire sur la Méditerranée médiévale offertes à Michel Balard, Paris, Publications de la Sorbonne, coll. « Byzantina Sorbonensia » (no 20), (DOI 10.4000/books.psorbonne.3907, lire en ligne), Le service du Prince, par. 30-31
  24. a et b Dom Fonteneau, « Recueil de sceaux. Inventaire des sceaux dessinés », dans Collection de sceaux, vol. 1, t. LXXXII : Généalogies. A-B / Dom Fonteneau (manuscrit latin, manuscrit français), Poitiers, Médiathèque François Mitterrand, coll. « Dom Fonteneau / VIe série » (no 538-1), (lire en ligne), n°8 : 1269, p. 5
  25. a et b Dom Fonteneau, « Recueil de sceaux, dessinés d'après les chartes et titres originaux, pour servir à l'histoire et au nobiliaire du Poitou », dans Collection de sceaux, vol. 1, t. LXXXII : Généalogies. A-B / Dom Fonteneau (manuscrit latin, manuscrit français), Poitiers, Médiathèque François Mitterrand, coll. « Dom Fonteneau / VIe série » (no 538-1), (lire en ligne), n°8 : 1269, p. 80
  26. a et b SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Alphonse, comte d'Eu, seigneur de Civray et de Chizé-sceau », sur sigilla.org, Université de Poitiers.
  27. a et b SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Alphonse, comte d'Eu, seigneur de Civray et de Chizé-contre-sceau », sur sigilla.org, Université de Poitiers.
  28. Chambre du royaume de France.
  29. a b et c Dom Fonteneau, « Recueil de sceaux. Inventaire des sceaux dessinés », dans Collection de sceaux, vol. 1, t. LXXXII : Généalogies. A-B / Dom Fonteneau (manuscrit latin, manuscrit français), Poitiers, Médiathèque François Mitterrand, coll. « Dom Fonteneau / VIe série » (no 538-1), (lire en ligne), n°50 : 1270, p. 16
  30. a b et c Dom Fonteneau, « Recueil de sceaux, dessinés d'après les chartes et titres originaux, pour servir à l'histoire et au nobiliaire du Poitou », dans Collection de sceaux, vol. 1, t. LXXXII : Généalogies. A-B / Dom Fonteneau (manuscrit latin, manuscrit français), Poitiers, Médiathèque François Mitterrand, coll. « Dom Fonteneau / VIe série » (no 538-1), (lire en ligne), n°50 : 1270, p. 87

Sources et bibliographie[modifier | modifier le code]

Sources diplomatiques[modifier | modifier le code]

Sources sigillographiques[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Marie-Adélaïde Nielen, « Du comté de Champagne aux royaumes d’Orient : sceaux et armoiries des comtes de Brienne », dans Damien Coulon, Catherine Otten-Froux, Paule Pagès et Dominique Valérian, Chemins d'outre-mer : Études d'histoire sur la Méditerranée médiévale offertes à Michel Balard, Paris, Publications de la Sorbonne, 2004, p. 589-606. [lire en ligne]
  • Guy Perry, The Briennes : The Rise and Fall of a Champenois Dynasty in the Age of the Crusades, c. 950-1356, Padstow, Cambridge University Press, 2018. [lire en ligne]
  • Guy Perry, John of Brienne. King of Jerusalem, Emperor of Constantinople, c. 1175-1237, Cambridge, Cambridge University Press, 2013. [lire en ligne]
  • Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (XeXIVe siècle) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell, Université de Nantes, 4 vol., 2 797 p., décembre 2018. [lire en ligne]

Articles connexes[modifier | modifier le code]