Ainhice-Mongelos

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Ainhice-Mongelos
Ainhice-Mongelos
L'église de l'Assomption.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Bayonne
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays Basque
Maire
Mandat
Jean-Pierre Irigoin
2020-2026
Code postal 64220
Code commune 64013
Démographie
Gentilé Ainhiztar
Population
municipale
169 hab. (2021 en diminution de 0,59 % par rapport à 2015)
Densité 16 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 12′ 22″ nord, 1° 09′ 15″ ouest
Altitude Min. 195 m
Max. 546 m
Superficie 10,30 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Saint-Jean-Pied-de-Port
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Montagne Basque
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Ainhice-Mongelos
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Ainhice-Mongelos

Ainhice-Mongelos est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Carte

La commune d'Ainhice-Mongelos se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

Elle se situe à 108 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, à 52 km de Bayonne[3], sous-préfecture, et à 32 km de Mauléon-Licharre[4], bureau centralisateur du canton de Montagne Basque dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Saint-Jean-Pied-de-Port[1].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Gamarthe (1,1 km), Lacarre (1,8 km), Bustince-Iriberry (2,7 km), Jaxu (3,1 km), Suhescun (4,7 km), Bussunarits-Sarrasquette (4,8 km), Ibarrolle (5,0 km), Jaxu (5,4 km).

Sur le plan historique et culturel, Ainhice-Mongelos fait partie de la province de la Basse-Navarre, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3],[6]. La Basse-Navarre en est la province la plus variée en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement géographique[7]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise la Basse-Navarre en six zones[8],[9]. La commune est dans le pays de Cize (Garazi), au sud-est de ce territoire.

Accès[modifier | modifier le code]

Ainhice-Mongelos est desservie par les routes départementales 933 (ancienne route nationale 133) et 422 ainsi que par le GR 65 (via Podiensis, l'un des chemins contemporains du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle, qui part du Puy-en-Velay et se prolonge jusqu'au col de Roncevaux et, de là, à Saint-Jacques-de-Compostelle.

La ligne 871 du réseau interurbain des Pyrénées-Atlantiques, reliant Saint-Étienne-de-Baïgorry à Saint-Palais, dessert la commune.

Lieux-dits et hameaux[modifier | modifier le code]

Paysages[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier d'Ainhice-Mongelos.

La commune est drainée par le ruisseau Arzuby, Artikaitéko erreka, Arangorriko erreka, le ruisseau d'Idiondoa, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 14 km de longueur totale[15],[16].

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un micro climat océanique basque[17]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[18].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 447 mm, avec 12,3 jours de précipitations en janvier et 8,5 jours en juillet[19]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Bustince-Iriberry à 3 km à vol d'oiseau[20], est de 13,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 327,4 mm[21],[22]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[23].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Réseau Natura 2000[modifier | modifier le code]

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la « directive Habitats »[25],[Carte 1] :

  • « la Nive », d'une superficie de 9 473 ha, un des rares bassins versants à accueillir l'ensemble des espèces de poissons migrateurs du territoire français, excepté l'Esturgeon européen[26] ;
  • « la Bidouze (cours d'eau) », d'une superficie de 2 570 ha, un vaste réseau hydrographique drainant les coteaux du Pays basque[27].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Une ZNIEFF de type 2[Note 5] est recensée sur la commune[28],[Carte 2] : les « landes, bois et prairies du bassin de la Bidouze » (11 263,46 ha), couvrant 25 communes du département[29].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Ainhice-Mongelos est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[30],[31],[32].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Jean-Pied-de-Port, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 22 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[33],[34].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (62,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (70,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (35,4 %), prairies (27,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (22,9 %), forêts (14,4 %)[35]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune d'Ainhice-Mongelos est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité moyenne)[36]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[37].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment l'Hartzubiko erreka et leLakako erreka. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983 et 2009[38],[36].

Ainhice-Mongelos est exposée au risque de feu de forêt. En 2020, le premier plan de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2020-2030[39]. La réglementation des usages du feu à l’air libre et les obligations légales de débroussaillement dans le département des Pyrénées-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[40],[41].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Ainhice-Mongelos.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[42]. 98,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 8],[43].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Attestations anciennes[modifier | modifier le code]

Le toponyme Ainhice apparaît sous les formes Anfiz (1135[44] et 1136[45]), Aniça (1264[45] et 1309[44]), Anhice (1304[45] et 1307[44]), Aniça (1350[45]), Anhice (1366[45] et 1413[44]), Ainza (1513[11], titres de Pampelune[46]), Añiza, Aniça et Aynice (1621[11] pour les trois formes, Martin Biscay[47]) et Ainhisse (1665[11], règlement des États de Navarre[48]).

Le toponyme basque est Aïnhice, Ainhiza ou Ainhiz(e)[44]. Pour Jean-Baptiste Orpustan, l'origine du toponyme reste inconnue.

Le toponyme Mongelos apparaît sous les formes Mongelos (1249[45], 1264[44], 1309[44] et 1413[44]), Mont gelos (1292[45], 1307[44] et 1350[44]), Montis gelosi (1304[45]), Monjelos (1321[11], titres de la Camara de Comptos[49]), Mont gelos (1350[45]), Mongelos en Cize (1477[11], contrats d'Ohix[50]) et Saint-Jean de Mongelos (1703[11], visites du diocèse de Bayonne[51]). Mongelos est, d’après Brigitte Jobbé-Duval[52],[45], un nom gascon signifiant mont Jaloux.

Autres toponymes[modifier | modifier le code]

Achurdé désigne un col de montagne entre Lantabat et Ainhice-Mongelos (1863, dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[11]).

Le toponyme Elizaldea apparaît sous la graphie Eliçalde (1412[45], liste des feux du royaume de Navarre).

Elizetchékoborda est évoqué sous la forme Élissetche par Paul Raymond[11], comme étant un fief vassal du royaume de Navarre, tout comme Erdoïs. Le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque mentionne qu'il y avait une prébende de ce dernier nom, « fondée dans l’église d’Ainhice »[11].

Le fief Fleur-de-Lys, vassal du royaume de Navarre, est cité en 1621 sous la graphie Flor-de-Lis (Martin Biscay[47]).

Graphie basque[modifier | modifier le code]

Son nom basque actuel est Ainhize-Monjolose[53].

Histoire[modifier | modifier le code]

Le village de Mongelos, bastide médiévale, fut créé en 1240[45] et dépendait du roi de Navarre[52].

À l'automne 1512, Jean d'Albret tente une première contre-offensive après que le royaume de Navarre ait été presque entièrement conquis par Ferdinand d'Aragon. Épaulé par des renforts français envoyés par Louis XII et les Navarrais, l'armée de Jean d'Albret traverse la Soule (Mauléon, puis le port de Larrau pour pénétrer dans la vallée de Salazar), tandis que le dauphin de France, le futur François Ier, attaque depuis le Béarn et entre par Saint-Jean-Pied-de-Port. Une première bataille rangée a lieu devant Ainhice-Mongelos que les Castillans incendient avant de s'enfuir[54].

Les paroisses d' Ainhice et de Mongelos sont réunies pour former une seule commune en 1790.

Le [55] une rectification des limites d' Ainhice-Mongelos et de Lacarre entraine un échange de territoire entre ces deux communes.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1995 2004 Guillaume Eyharts    
2004 En cours Jean-Pierre Irigoin DVD Agriculteur
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune appartient à la communauté d'agglomération du Pays Basque. Elle est membre du syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques, de l'Agence publique de gestion locale et du syndicat intercommunal pour l’aménagement et la gestion de l’abattoir de Saint-Jean-Pied-de-Port[56].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[57]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[58].

En 2021, la commune comptait 169 habitants[Note 9], en diminution de 0,59 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
427379363415398510549500474
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
430417406412388395390354330
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
327333355310286276275268249
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
230226199179173175164164161
2015 2020 2021 - - - - - -
170172169------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[59] puis Insee à partir de 2006[60].)
Histogramme de l'évolution démographique

Le gentilé est Ainhiztar[52],[53].

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune ne dispose plus d'école élémentaire publique depuis .

Économie[modifier | modifier le code]

L'activité est principalement agricole. La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

Euskal Herriko Laborantza Ganbara ou chambre d'agriculture du Pays basque est une association loi de 1901, créée le et dont le siège se trouve à Ainhice-Mongelos.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Porte de ferme.
Point d'eau.

Langues[modifier | modifier le code]

D'après la Carte des Sept Provinces Basques éditée en 1863 par le prince Louis-Lucien Bonaparte, le dialecte basque parlé à Ainhice-Mongelos est le bas-navarrais oriental.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

Les fermes Barnetxea[12], Elizaldea[61], Etxeparea[13] et Irazabalea[14] datent du XVIIe siècle.

Fenêtre à linteau (1741).
Maison du XIXe siècle (1857).

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

L'église de l'Assomption[62] date du milieu du Moyen Âge. Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel[62]. L'église est dédiée à l'Assomption de Marie.

Équipements[modifier | modifier le code]

Enseignement

La commune dispose d'une école maternelle.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Jean Jacques Schilt (1761-1842), général de brigade de la Révolution et de l'Empire, mort à Ainhice-Mongelos.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Le Pays Basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
  4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[24].
  5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  8. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Sites Natura2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune d'Ainhice-Mongelos », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  2. « ZNIEFF de type II sur la commune d'Ainhice-Mongelos », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

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  2. Stephan Georg, « Distance entre Ainhice-Mongelos et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Ainhice-Mongelos et Bayonne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. Stephan Georg, « Distance entre Ainhice-Mongelos et Mauléon-Licharre », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Communes les plus proches d'Ainhice-Mongelos », sur villorama.com (consulté le ).
  6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 22.
  7. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 25.
  8. « Toponymes Nafarroa Beherea », sur le site de l'Académie de la langue basque (consulté le ).
  9. (eu) Euskal Herriko udalerrien zerrenda alfabetikoa (Liste alphabétique des communes du Pays basque).
  10. a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z aa ab ac ad ae et af Géoportail - IGN, « Géoportail » (consulté le ).
  11. a b c d e f g h i et j Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (BNF 31182570, lire en ligne)..
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  13. a et b « La ferme Etxeparea », notice no IA64000907, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  14. a et b « La ferme Irazabalea », notice no IA64000906, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  15. « Fiche communale d'Ainhice-Mongelos », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
  16. « Hydro » sur Géoportail (consulté le 9 août 2021)..
  17. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  18. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
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  23. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
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  25. « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Ainhice-Mongelos », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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  27. « site Natura 2000 FR7200789 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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  46. Titres publiés par don José Yanguas y Miranda
  47. a et b Derecho de naturaleza que la merindad de San-Juan-del-pie-del-puerto, una de las seys de Navarra, tiene en Castilla - 1622 petit in-4°
  48. Collection manuscrite de 11 volumes de délibérations (1606 à 1789) - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  49. Titres publiés par don José Yanguas y Miranda - Diccionario de Antiguedades del reino de Navarra ; 1840 ; Pampelune
  50. Contrats retenus par Ohix, notaire de Soule - Manuscrit du XVe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  51. Manuscrit du XVIIIe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  52. a b et c Brigitte Jobbé-Duval, Dictionnaire des noms de lieux - Pyrénées-Atlantiques, Archives et Culture, (ISBN 978-2-35077-151-9).
  53. a et b - Académie de la langue basque
  54. 1512 – 1522 : Dix années pour conquérir la Navarre sur le site de Nabarralde.
  55. Ordonnance du 16 août 1841 (Bulletin des lois de la République française).
  56. Comersis, « Liste des groupements d'Ainhice-Mongelos ».
  57. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  58. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  59. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  60. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  61. « La ferme Elizaldea », notice no IA64000909, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  62. a et b « L'église de l'Assomption », notice no IA64000908, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.