Aast

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Aast
Aast
La mairie.
Blason de Aast
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Pau
Intercommunalité Communauté de communes du Nord-Est Béarn
Maire
Mandat
Loïc Hervé
2024-2026
Code postal 64460
Code commune 64001
Démographie
Gentilé Aastois
Population
municipale
189 hab. (2021 en augmentation de 9,25 % par rapport à 2015)
Densité 40 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 17′ 25″ nord, 0° 05′ 21″ ouest
Altitude Min. 367 m
Max. 393 m
Superficie 4,75 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Pau
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Vallées de l'Ousse et du Lagoin
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Aast
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Aast
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Aast
Liens
Site web aast.free.fr

Aast est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

La prononciation locale est [a-s], avec un 'a' fortement nasalisé et le 't' final muet[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation et communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Carte

La commune d'Aast se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].

Elle se situe à 27 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département, et à 15 km de Pontacq[4], bureau centralisateur du canton des Vallées de l'Ousse et du Lagoin dont dépend la commune depuis 2015. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Tarbes[2].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Gardères (2,0 km), Luquet (3,7 km), Séron (3,8 km), Saubole (3,8 km), Ponson-Dessus (4,1 km), Eslourenties-Daban (4,4 km), Oroix (5,0 km), Ger (5,1 km).

Le village, situé sur le plateau de Ger, est composé d'une quinzaine de maisons éparses et est frontalier avec les deux enclaves des Hautes-Pyrénées présentes à l'est du département : Gardères et Séron, enclaves des Hautes-Pyrénées dans les Pyrénées-Atlantiques.

Lieux-dits et hameaux[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier d'Aast.

La commune est drainée par le Carbouère et par un petit cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 5,23 km de longueur totale[8].

Le Carbouère, d'une longueur totale de 17,3 km, prend sa source dans la commune de Ger et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune dans sa partie centrale et se jette dans le Louet à Bentayou-Sérée, après avoir traversé 10 communes[9].

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat montagnard[10]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hiver très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[11].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 181 mm, avec 10,7 jours de précipitations en janvier et 8,8 jours en juillet[12]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Ger à 5 km à vol d'oiseau[13], est de 12,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 344,5 mm[14],[15]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[16].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[17],[18],[19].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Aast est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[20],[21],[22].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pau, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 228 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[23],[24].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (100 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (72,5 %), zones agricoles hétérogènes (27,5 %)[25]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune d'Aast est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité moyenne)[26]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[27].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Aast.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[28]. 0,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 5],[29].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 2009[26].

Voies de communications et transport[modifier | modifier le code]

La commune de Aast est desservie par les départementales D311/D70 en provenance de Gardères et allant à Ponson-Dessus et D64 venant de Ger

Voies de communications recensées
13 odonymes recensés à Aast

Au 1er février 2023

Cité Avenue Boulevard Chemin Cours Impasse Montée Promenade Place Esplanade Carrefour Route Rue Ruelle Square Autres Total
0 0 0 10 0 0 0 0 0 0 0 2 1 0 0 0 13

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le toponyme Aast apparaît sous les formes Hast (1429[30], censier de Montaner[31]), Ast (1544[30], réformation de Béarn[32]) et Aast (fin XVIIIe siècle[1], carte de Cassini).

D'après Dauzat et Rostaing Aast procède du basque ast « rocher ». Michel Grosclaude[1] suggère que le nom de la commune découle d'un anthroponyme composé de Aner + Aster. Brigitte Jobbé-Duval[33] rappelle qu’en 1429, Aast apparaît sous la forme Hast, qui signifie « lance » et avance dès lors qu’Aast pourrait rappeler un combat qui s’y serait déroulé. Jacques Lemoine fait dériver le toponyme Aast du béarnais aste « pieu, broche », rappelant sans doute l'existence en ces lieux d'un bois où l'on venait couper des perches, hampes et pieux en tous genres[34].

Aast est la 1re commune française dans l'ordre alphabétique (Zuytpeene en étant la dernière). Auparavant, Aas, une autre commune des Basses-Pyrénées, détint cette particularité jusqu'en 1861, année où elle forma avec la commune d'Assouste la nouvelle commune d'Eaux-Bonnes.

Son nom béarnais est Aast.

Histoire[modifier | modifier le code]

La seigneurie d'Aast achetée en 1410 par Bernard de Coarraze, appartint aux Monet (1610), Lacaze (1631), Incamps puis aux Day de 1674 à la Révolution. L'abbaye laïque, non répérée sur le territoire de la commune appartenait en 1569 aux Labat[35]. Elle a été supprimée en 1791. La seigneurie d'Aast fut possession de la famille de Day de 1674 à la Révolution. En 1678, Jérome de Day, conseiller du roi, acquit l'abbaye et la dîme avec les droits du patronage ; ceux-ci consistaient à présenter le curé, à percevoir une partie de la dîme, à siéger dans le chœur, à recevoir le premier le pain bénit, à être enseveli dans l'église[36].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
2020 novembre 2023 (démission) Jean-François Garnier    
mars 2024[38] En cours Loïc Hervé    

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Aast fait partie de six structures intercommunales[39] :

La commune accueille le siège du SIVOM du canton de Montaner.

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Lors des élections européennes de 2019, Aast vote plus qu’au niveau national,(61,99 contre 50,12 au niveau national). La République en Marche arrive en tête de la commune, mais avec un résultat moindre qu’au niveau national (19,80 contre 22,4) et les Républicains (droite) arrive en seconde position eux-æquo (4emes au niveau national) avec un score supérieur à celui qu’ils ont réalisé au niveau national (14,85 contre 8,48).Le Rassemblement National arrive 2e ex-æquo avec 14,85 contre 23,41 au niveau national. Europe Écologie les Verts’ y fait quasiment le même score (12,87 contre 13,48) Génération.s, le parti de Benoit Hamon y fait un score (9,90 contre 3,27). Enfin, le PS y fait un score supérieur (6,93 contre 6,19 au niveau national)[40].

Le résultat de l'élection présidentielle de 2012 dans cette commune est le suivant[41] :

Candidat Premier tour Second tour
Voix % Voix %
Eva Joly (EÉLV) 4 3,01
Marine Le Pen (FN) 21 15,79
Nicolas Sarkozy (UMP) 32 24,06 69 53,08
Jean-Luc Mélenchon (FG) 8 6,02
Philippe Poutou (NPA) 0 0,00
Nathalie Arthaud (LO) 0 0,00
Jacques Cheminade (SP) 1 0,75
François Bayrou (MoDem) 35 26,32
Nicolas Dupont-Aignan (DLR) 2 1,50
François Hollande (PS) 30 22,56 61 46,92
Inscrits 157 100,00 157 100,00
Abstentions 21 13,38 14 8,92
Votants 136 86,62 143 91,08
Blancs et nuls 3 2,21 13 9,09
Exprimés 133 97,79 130 90,91

Le résultat de l'élection présidentielle de 2017 dans cette commune est le suivant[42] :

Candidat Premier tour Deuxième tour
% Voix % Voix
Nicolas Dupont-Aignan (DLF) 8,45 12
Marine Le Pen (FN) 10,56 15 22,03 26
Emmanuel Macron (EM) 27,46 39 77,97 92
Benoît Hamon (PS) 12,68 18
Nathalie Arthaud (LO) 0,70 1
Philippe Poutou (NPA) 0,70 1
Jacques Cheminade (SP) 0,00 0
Jean Lassalle (RES) 4,93 7
Jean-Luc Mélenchon (LFI) 14,79 21
François Asselineau (UPR) 0,00 0
François Fillon (LR) 19,72 28
Inscrits 165 100,00 165 100,00
Abstentions 18 10,91 22 13,33
Votants 147 89,09 143 86,67
Blancs 0 0,00 18 12,59
Nuls 5 3,40 7 4,90
Exprimés 142 96,60 118 82,52

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Le nom des habitants est Aastois[43].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[45].

En 2021, la commune comptait 189 habitants[Note 6], en augmentation de 9,25 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
140138140173168175167188206
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
220237209213199190183200214
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
186191183160167145140126140
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
140203115140163190182181178
2018 2021 - - - - - - -
185189-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[46] puis Insee à partir de 2006[47].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Le classement 2006 de l'Insee, indiquant le revenu fiscal médian par ménage, pour chaque commune de plus de 50 ménages (30 687 communes parmi les 36 681 communes recensées)[48], classe Aast au rang 5 274, pour un revenu de 18 858 .

Culture et patrimoine[modifier | modifier le code]

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

La commune présente un ensemble de fermes[7] des XVIIIe et XIXe siècles, notamment au lieu-dit Bayet.

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

Une église fut brulée le 6 août 1569[35]. Consacrée à saint Martin de Tours, l'église[49] a été bâtie en 1854, sous Napoléon III, durant l'administration du maire Barthélémy Lassus. Récemment rénovée par l'artiste peintre Villarubias, on peut admirer, entre autres, deux tableaux[50] du XIXe siècle de Lataste. L'église recèle également du mobilier[51], des verrières[52], des tableaux[53], des statues[54] et des objets[55] inscrits à l'inventaire général du patrimoine culturel.

  • Église Saint-Martin d'Aast. L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général Région Nouvelle-Aquitaine[56]. De nombreux objets sont référencés dans la base Palissy (voir les notices liées)[56].

Patrimoine environnemental[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason Blasonnement :
D'argent aux deux armes d'hast (hallebardes) de sable passées en sautoir, à l'écusson de gueules aux deux vaches colletées et clarinées d'or passant l'une sur l'autre, brochant en abîme sur le tout[57],[36].

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

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  2. a et b « Métadonnées de la commune d'Aast », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Aast et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. Stephan Georg, « Distance entre Aast et Pontacq », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Communes les plus proches d'Aast », sur villorama.com (consulté le ).
  6. a b c d e f g h i j k l m n o et p Géoportail - IGN, « Géoportail » (consulté le ).
  7. a et b « Les fermes anciennes », notice no IA00027123, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, Notice no IA00027122, Notice no IA00027121.
  8. « Fiche communale d'Aast », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
  9. Sandre, « le Ruisseau de Carbouère ».
  10. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  11. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  12. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  13. « Orthodromie entre Aast et Ger », sur fr.distance.to (consulté le ).
  14. « Station Météo-France « Ger » (commune de Ger) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  15. « Station Météo-France « Ger » (commune de Ger) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  16. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  17. « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Aast », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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  23. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Pau », sur insee.fr (consulté le ).
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  28. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
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  31. Manuscrit de 1429 - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques.
  32. Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siècle ».
  33. Brigitte Jobbé-Duval, Dictionnaire des noms de lieux : Pyrénées-Atlantiques, Paris, Archives et Culture, , 167 p. (ISBN 978-2-35077-151-9).
  34. Jacques Lemoine. Toponymie du Languedoc et de la Gascogne. Contribution à l'étude du Midi pyrénéen. Paris, Picard, 1975.
  35. a et b Ouvrage Collectif, Vic-Bilh, Morlaas, Montaneres, Pyrénées Atlantique, Inventaire Topographique, Paris, , 720 p. (ISBN 2-11-080952-3), p. 234.
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  37. « Résultats de l'élection municipale de 2014 à Aast »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur amf.asso.fr (consulté le ).
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  40. « Aast : Découvrez les résultats des élections Européennes 2019 », sur LCI (consulté le ).
  41. Ministère de l'Intérieur - Pyrénées-Atlantiques (Aquitaine), « Résultats de l'élection présidentielle de 2012 à Aast » (consulté le ).
  42. Ministère de l'Intérieur - Pyrénées-Atlantiques (Nouvelle-Aquitaine), « Résultats de l'élection présidentielle de 2017 à Aast » (consulté le ).
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  46. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  47. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
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  49. « L'église Saint-Martin », notice no IA00027125, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  50. « Le tableau de Lataste, de l'église Saint-Martin », notice no M64000008, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  51. « Le mobilier de l'église Saint-Martin », notice no IM64000006, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture, Notice no IM64000005, Notice no IM64000004, Notice no IM64000003.
  52. « Les verrières de l'église Saint-Martin », notice no M64000002, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  53. « Les tableaux de l'église Saint-Martin », notice no IM64000009, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  54. « Les statues de l'église Saint-Martin », notice no M64000007, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  55. « Les objets référencés de l'église Saint-Martin », notice no IM64000012, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture, Notice no IM64000011, Notice no IM64000010.
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