Écausseville

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Écausseville
Écausseville
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Cherbourg
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Cotentin
Maire
Mandat
André Groult
2020-2026
Code postal 50310
Code commune 50169
Démographie
Gentilé Écaussevillais
Population
municipale
109 hab. (2021 en augmentation de 9 % par rapport à 2015)
Densité 21 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 27′ 47″ nord, 1° 22′ 23″ ouest
Altitude Min. 3 m
Max. 31 m
Superficie 5,27 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Valognes
Législatives Première circonscription
Localisation
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Écausseville
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Écausseville

Écausseville est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 109 habitants[Note 1].

Géographie[modifier | modifier le code]

La commune est à l'est de la presqu'île du Cotentin. Son bourg est à 4 km au sud de Montebourg et à 8,5 km au nord-ouest de Sainte-Mère-Église[1].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Normandie (Cotentin, Orne), caractérisée par une pluviométrie relativement élevée (850 mm/a) et un été frais (15,5 °C) et venté[4]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat maritime », correspondant au Cotentin et à l'ouest du département de la Manche, frais, humide et pluvieux, où les contrastes pluviométrique et thermique sont parfois très prononcés en quelques kilomètres quand le relief est marqué[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 10,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 818 mm, avec 13,5 jours de précipitations en janvier et 7 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Sainte-Marie-du-Mont à 14 km à vol d'oiseau[6], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 890,0 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Écausseville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[10],[11],[12]. La commune est en outre hors attraction des villes[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (99,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (99,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (45,4 %), prairies (41,9 %), terres arables (12,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,3 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est mentionné sous les formes Escaullevilla en 1147, Escallevilla vers 1175, Escaldavilla vers 1180 (notes Delisle), Escallevilla 1203 (Stapelton, II, 511) et en 1232 (cartulaire de Montebourg, f° 109), Escauville, Escaleuville en 1252 (cartulaire de Coutances), Escaullevilla en 1268 (cartulaire de Montebourg, ibid.), Escauleville vers 1280 (pouillé), Escaullevilla vers 1320; (cartulaire Luthum), Escaulleville en 1407, Escauseville en 1683 (état civil)[16], Escavilla sans date.

L'hypothétique forme *Skalkia villa suggérée par Albert Dauzat[17] ne correspond pas aux formes véritablement attestées.

Il s’agit d’une formation toponymique médiévale en -ville au sens ancien de « domaine rural ». Le premier élément Ecausse- figure un anthroponyme conformément au cas général[17],[16],[18].

Escaulle- / Escalle- représente le nom de personne vieux norrois Skalli (vieux danois Scalli, vieux suédois Skalle[19])[16],[18], dont il est l'évolution régulière en ancien français. On le retrouve par ailleurs dans le chemin es Escaulleiz au XVe siècle (terrier de Montebourg, copie Delisle, forme adjectivale de ce même toponyme) ; Escaulleclif (ancien nom de Doville, Manche, klif étant l'appellatif vieux norrois klif « falaise, escarpement, rocher » cf. islandais klif similaire à l'anglais cliff, bien représenté dans la toponymie normande) et Ecolleville (Saint-Sauveur-de-Pierrepont, Manche, Escauleville XVe siècle), ainsi qu'en Angleterre dans Scalby (Scallebi, sans date) par exemple[16]. René Lepelley cite « le nom de personne scandinave Skali »[20], alors qu'il n'apparaît sous cette forme avec un seul « l » que dans une inscription runique.

L'évolution en Ecausseville (ou formes analogues en [s] ou [z]) constatée sporadiquement dès le XVIe siècle est de type aberrant[16]. Elle est peut-être motivée par un microtoponyme voisin aujourd'hui disparu.

À noter que « le nom de personne scandinave Skalli est attesté en tant que sobriquet en ancien danois (Scalli), en tant que nom individuel et sobriquet en anciens suédois et norois de l'Ouest (Skalli). On le relève également dans les inscriptions runiques sous la forme ᛇᚲᚫᛚᛁ (skali). Il représente le réemploi de l'ancien scandinave skalli « tête chauve », littéralement « crâne rasé » (du radical germanique *skal- « coquille, coque, enveloppe » < indo-européen *(s)kel- « couper ». »[18].

Le gentilé est Écaussevillais.

Histoire[modifier | modifier le code]

La commune est située sur la voie romaine qui reliait Alauna (Alleaume) à Crociatonum[21].

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Néel III de Saint-Sauveur ( 1097), vicomte du Cotentin, confirma aux religieux de Saint-Sauveur-le-Vicomte des biens situés à Écausseville. Peu après la mort d'Henri Ier, roi d'Angleterre et duc de Normandie, en 1135, Roger II de Saint-Sauveur, cité comme vicomte du Cotentin, renonce, devant Algare, évêque de Coutances, aux droits qu'il s'était attribué sur l'église du lieu, au détriment des moines de Saint-Sauveur[22].

Les premiers seigneurs connus d'Écausseville sont les Harcourt au XIIe siècle. En , Saint Louis ratifie et confirme l'acte par lequel Jean d'Harcourt, chevalier, donne et abandonne à son frère, Raoul d'Harcourt, tout ce qu'il détient à Écausseville (hommes, fiefs, revenus, terres, près, moulins, etc.)[22].

En 1268, Raoul d'Harcourt, renonce à se prévaloir contre les religieux de l'abbaye de Montebourg, du marché ou de la foire d'Écausseville[23].

Guerre de Cent Ans[modifier | modifier le code]

C'est sur le territoire de la paroisse que se tint pendant la guerre de Cent Ans, en une bataille qui opposa les armées du roi de France, mené par Guillaume du Merle, capitaine général et Grand Bailli de Caen et du Cotentin de 1360 à 1368[23], à une troupe de Charles le Mauvais, qui une fois défaite se replia sur le castel de Quarentan[24].

Époque moderne[modifier | modifier le code]

Roissy, en 1598, dans sa recherche de noblesse trouva noble à Écausseville la famille Thomas, et y ajourna Guillaume Le Chien[22].

Au milieu du XVIIIe siècle, le village a pour seigneur Pierre-Georges-François-Robert Pitteboult (1712-1764)[Note 3], qui décéda sans postérité au chateau d'Écausseville.

L'héritage de la famille Pitteboult passa à sa sœur, Madeleine Pitteboult, fille de Pierre Pitteboult et de Madeleine de Cussy, et épouse de Jean-Baptiste-François Le Rossignol, qui meure au château d'Écausseville en [Note 4]. C'est une cousine de Madeleine, Marie-Bernardine de Hennot (° 1750), qui suit, fille de Pierre-François du Hennot et de Bernadine-Louise-Françoise Cabieul, qui hérite des biens[25].

Marie-Bernardine Hennot du Rozel, dame de Barneville, d'Écausseville et du Rozel épouse le Jérôme (alias Jean)-Frédéric Bignon (1747-1784), seigneur d'Hardricourt, avocat, conseiller au Parlement (2e chambre des enquêtes), Bibliothécaire du Roi en 1770 à la suite de la démission de son père. Il fait achever le salon de la Bibliothèque royale, rue de Richelieu, où sont exposés les globes de Vincenzo Coronelli. Membre de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres en 1781, et acquéreur du château du Plessis-Piquet en 1776[26]. Marie-Bernardine Hennot du Rozel, figura, en 1789, à l'assemblée des trois ordres du grand bailliage du Cotentin[22].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Circonscriptions administratives avant la Révolution[modifier | modifier le code]

La paroisse d'Écausseville relevait sous l'Ancien Régime de l'intendance de Caen, du bailliage de Saint-Sauveur-le-Vicomte, de l'élection de Valognes, du quart-bouillon de Valognes et de la sergenterie de Pont-l'Abbé.

Les maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires
Période Identité Étiquette Qualité
v. 1840   Jean Liot[27]    
1983 En cours André Groult[28] SE Agriculteur
Les données manquantes sont à compléter.

Le conseil municipal est composé de sept membres dont le maire et un adjoint[28].

Démographie[modifier | modifier le code]

Sous l'Ancien régime[modifier | modifier le code]

Masseville et Dumoulin donnent 48 feux imposables, et Expilly, 215 habitants[22].

Depuis la Révolution[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[30].

En 2021, la commune comptait 109 habitants[Note 5], en augmentation de 9 % par rapport à 2015 (Manche : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %). Écausseville a compté jusqu'à 306 habitants en 1846.

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
132143170211214265302306270
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
286222215206177163142151152
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
138122130132143134142121147
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
14012911387898810598100
2021 - - - - - - - -
109--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

La commune se situe dans la zone géographique des appellations d'origine protégée (AOP) Beurre d'Isigny et Crème d'Isigny[33].

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Le hangar à dirigeables.
  • Hangar à dirigeables (1917) classé monument historique[34]. Construit lors de la Première Guerre mondiale, il fut achevé en 1919. Initialement prévu pour abriter des dirigeables de la Marine nationale chargés de surveiller les sous-marins opérant en Manche, le développement de l'aviation rendit caduque cette utilisation. Il servit d'entrepôt pendant la Seconde Guerre mondiale[35]. Du matériel pour sous-marins fut entreposé jusqu'en 1994. En 1999, la Marine le remit à une association.
  • Ancien château du XVIIe siècle, détruit après la Révolution par la famille de Blangy, après avoir été la possession des comtes d'Harcourt et d'Olonde.
La mairie d'Écausseville est située dans l'un des pavillons[23].
Elle abrite une Vierge à l'Enfant du XVe classée au titre objet aux Monuments historiques[36], les statues d'une sainte Trinité (XVIe), de saint Martin (XVe), ainsi qu'une verrière de Charles Plessart dont un vitrail dédié à saint Michel a été offert en remerciement de la libération de la commune, le par les troupes US.
  • If funéraire millénaire de plus de cinq mètres de diamètre.
  • Croix de cimetière du XVIIe siècle.

Activité et manifestations[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Population municipale 2021.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. Pierre-Georges-François-Robert Pitteboult, né le , qui avait épousé Anne-Catherine-Jacqueline de Hennot ( 22 brumaire an IV () à Valognes), était également seigneur de Graffard (aveu du ), de Sortosville-en-Beaumont (aveu du ), de Barneville (1747) et de Saint-Georges-de-la-Rivière en partie.
  4. Madeleine Pitteboult sera inhumée au haut de la nef de l'église de Barneville le .
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  • Altitudes : répertoire géographique des communes[37].
  • Coordonnées, superficie : IGN[38].
  1. Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr.
  2. « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée ».
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2.
  6. « Orthodromie entre Écausseville et Sainte-Marie-du-Mont », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Ste Marie du Mo » (commune de Sainte-Marie-du-Mont) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Ste Marie du Mo » (commune de Sainte-Marie-du-Mont) - fiche de métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a b c d et e François de Beaurepaire (préf. Yves Nédélec), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, Paris, A. et J. Picard, , 253 p. (ISBN 2-7084-0299-4, OCLC 15314425), p. 113.
  17. a et b Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, , p. 257b.
  18. a b et c Dominique Fournier, « Écausseville » in Wikimanche (lire en ligne) [1].
  19. Site de Nordic Names : Skalli (lire en anglais).
  20. René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Condé-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, (ISBN 2-95480-455-4 (édité erroné), BNF 36174448), p. 113a.
  21. René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 189.
  22. a b c d et e Jean-Yves Cuquemelle, Montebourg et le pays Cassin, Éditions Heimdal, , 92 p., p. 86.
  23. a b et c Gautier 2014, p. 189.
  24. Maurice Lecœur, Le Moyen Âge dans le Cotentin : Histoire & Vestiges, Isoète, , 141 p. (ISBN 978-2-9139-2072-9), p. 20.
  25. Jean Barros, Le canton de Barneville-Carteret (Côte des Isles) : Le patrimoine, t. 1, Valognes, Éditions de la Côte des Isles, , 391 p. (ISBN 2-9505339-1-4), p. 47.
  26. Généalogie des Bignon, Racines histoire, p. 7.
  27. Annuaire du département de la Manche, 12e année, 1840, p 229.
  28. a et b Réélection 2014 : « Écausseville (50310) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. AOP Beurre d'Isigny et Crème d'Isigny.
  34. Notice no PA50000012, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  35. Alain Fergent, « Promenade insolites : bizarre, le hangar ! », La Manche libre, no 3366,‎ .
  36. « Statue : Vierge à l'Enfant », notice no PM50000379.
  37. Site de l'IGN.
  38. « Écausseville sur le site de l'Institut géographique national » (archive Wikiwix).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Daniel Delattre et Emmanuel Delattre, La Manche les 602 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, , 280 p. (ISBN 978-2-9159-0709-4), p. 77.
  • René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 189.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]